Skip to main content

Home/ Eco20/20/ Sac longchamp le pliage soldes Le nombre
xcute489

Sac longchamp le pliage soldes Le nombre - 0 views

started by xcute489 on 28 Nov 14
  • xcute489
     
    Pagès étant ensuite nommé dans un autre arrondissement frontalier, celui de la Tour-du-Pin en Isère, demande au Ministre de l'Intérieur, en 1834, à être promu préfet de l'Ain, avec comme arguments à l'appui son expérience dans ce domaine?: ?L'arrondissement de la Tour du Pin est limitrophe du département de l'Ain?; l'administration y offre les mêmes caractères et souvent des intérêts communs (…) La surveillance à exercer sur les deux frontières présente encore la même importance, car les intrigues de Genève (pour l'Ain) diffèrent peu de celles de Chambéry et d'Aix (pour la Tour du Pin) (…) Je n'aurai pas de noviciat (dans l'administration de la frontière) à faire (…)? [5] [5] Lettre de Pag232;s au Ministre de l'Int233;rieur, 16 mai...suite.3 La frontière franco-italienne en Isère sous la Restauration et la Monarchie de Juillet est l'une des plus difficiles à administrer, en raison des difficultés croisées nées du site (montagneux), de la situation (sur un grand axe de circulation commercial et touristique), du passé historique (liens traditionnels entre l'Isère et le royaume de Piémont-Sardaigne), du contexte militaire (crainte d'une nouvelle invasion et caractère stratégique de ce point des frontières fran?aises) et des riques politiques (forte agitation libérale dans les états italiens, susceptible de trouver un écho favorable dans un département fortement influencé par les idées républicaines).On souhaiterait donc, à travers cette étude de cas, proposer des données sur les contraintes et les méthodes de l'administration de ces confins du territoire national.Défense du territoire national et administration locale?: le gouvernement d'une zone stratégique4 La province du Dauphiné sous l'Ancien Régime puis le département de l'Isère depuis 1790 étaient frontaliers avec le royaume de Piémont-Sardaigne mais, depuis l'annexion de la Savoie par la France en 1792, la ligne politique séparant les deux pays s'était déplacée. doudoune bleu marine femme
    L'effondrement du régime et de l'Empire napoléonien entra?nent à nouveau une redéfinition de la ligne de partage politique entre les deux pays?: le roi de Piémont-Sardaigne, Victor Emmanuel 1er, retrouve tout d'abord, par le premier traité de Paris le 30 mai 1814, l'est de la Savoie, l'ouest restant fran?ais, puis, par le second traité de Paris, le 20 novembre 1815, l'intégralité. Ces deux traités de Paris redessinent donc une nouvelle fois les divisions politiques internationales et font de l'Isère un poste avancé du dispositif de défense fran?ais.Carte du département de l'Isère en 1833Carte du département de l'Isère en 18335 La frontière, point d'entrée du territoire national, est par essence une zone stratégique d'un point de vue militaire. Cependant, selon le contexte politique, le danger peut être plus ou moins grand en tel point ou en tel autre des limites nationales. Après 1815, le danger semble surtout venir de l'Est et la frontière franco-italienne revêt une importance stratégique pour la défense de la France sous la Restauration et la Monarchie de Juillet. Le roi de Piémont-Sardaigne ayant le soutien des Alliés, notamment des Autrichiens, l'Italie appara?t alors comme une menace sérieuse pour la France. L'inspecteur général des fortifications Haxo écrit ainsi, dans un mémoire rédigé en décembre 1814?: ?l'Italie est aujourd'hui sous la coupe des princes allemands donc il faut s'attendre à en voir sortir une ou plusieurs armées (…)? [6] [6] Haxo, M233;moire sur la fronti232;re de la France entre le. ceinture burberry pas cher ..suite.6 Le caractère stratégique du lieu pour la défense nationale a deux principales conséquences pour l'administration locale du département?: l'importance de la fonction militaire, et l'augmentation du nombre de fonctionnaires civils (ou à missions civiles comme pour les gendarmes) dans les communes proches de la frontière.7 Le nombre de militaires est très élevé en Isère au début du XIXe siècle. Grenoble est le siège d'une division militaire, la 7e, et le département, fait assez rare, compte deux places fortes (Grenoble et Fort-Barraux). La présence militaire était déjà très forte sous le Consulat et l'Empire, en une période où l'Isère n'était plus vraiment frontalier mais voisin d'un état annexé. Sac longchamp le pliage soldes
    Le nombre de soldats en résidence dans le département, toutes armes confondues, est estimé à 1 650 en l'an VIII [7] [7] Compte rendu du pr233;fet au Ministre de l'Int233;rieur sur...suite. Les effectifs augmentent ensuite très fortement sous la Restauration et la Monarchie de Juillet?: le nombre de soldats dans la seule garnison de Grenoble est, en 1835, de 4 000 hommes [8] [8] Vincent Rivier, Situation sommaire des affaires de la ville...

To Top

Start a New Topic » « Back to the Eco20/20 group