Car je vous appelle, au contraire, pour vous faire une querelle. À moi, Sire . Chapitre CXXXV L'orage. 31 Page 37 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III. Oui, et des plus sérieuses. En vérité, Votre Majesté m'effraie et cependant j'attends, plein de confiance dans sa justice et dans sa bonté. Que me dit-on, monsieur Fouquet, que vous préparez une grande fête à Vaux .sac longchamp pliage soldes, Fouquet sourit comme fait le malade au premier frisson d'une fièvre oubliée et qui revient. Et vous ne m'invitez pas . continua le roi. Sire, répondit Fouquet, je ne songeais pas à cette fête, et c'est hier au soir seulement qu'un de mes amis, Fouquet appuya sur le mot, a bien voulu m'y faire songer. Mais hier au soir je vous ai vu et vous ne m'avez parlé de rien, monsieur Fouquet. Sire, comment espérer que Votre Majesté descendrait à ce point des hautes régions où elle vit jusqu'à honorer ma demeure de sa présence royale . Excusez, monsieur Fouquet ; vous ne m'avez point parlé de votre fête.sac longchampJe n'ai point parlé de cette fête, je le répète, au roi d'abord parce que rien n'était décidé à l'égard de cette fête, ensuite parce que je craignais un refus. Et quelle chose vous faisait craindre ce refus, monsieur Fouquet . Prenez garde, je suis décidé à vous pousser à bout. Sire, le profond désir que j'avais de voir le roi agréer mon invitation. Eh bien ! monsieur Fouquet, rien de plus facile, je le vois, que de nous entendre. Vous avez le désir de m'inviter à votre fête, j'ai le désir d'y aller ; invitez-moi, et j'irai. Quoi ! Votre Majesté daignerait accepter .
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