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judge0213

sac longchamp Fouquet entra respectueusement chez La Vallière - 0 views

started by judge0213 on 11 Dec 14
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    Puis il ajouta après un instant de silence : Ou je me trompe, ou cette petite fille sera la grande passion du roi. Remontons en voiture, et ventre à terre jusqu'au château. Chapitre CXXXVI La pluie. 47 Page 53 Chapitre CXXXVII Tobie Deux heures après que la voiture du surintendant était partie sur l'ordre d'Aramis, les emportant tous deux vers Fontainebleau avec la rapidité des nuages qui couraient au ciel sous le dernier souffle de la tempête, La Vallière était chez elle, en simple peignoir de mousseline, et achevant sa collation sur une petite table de marbre. Tout à coup sa porte s'ouvrit, et un valet de chambre la prévint que M. Fouquet demandait la permission de lui rendre ses devoirs. Elle fit répéter deux fois ; la pauvre enfant ne connaissait M. sac longchamp pliage soldes, Fouquet que de nom, et ne savait pas deviner ce qu'elle pouvait avoir de commun avec un surintendant des finances. Cependant, comme il pouvait venir de la part du roi, et, d'après la conversation que nous avons rapportée, la chose était bien possible, elle jeta un coup d'il sur son miroir, allongea encore les longues boucles de ses cheveux, et donna l'ordre qu'il fût introduit. La Vallière cependant ne pouvait s'empêcher d'éprouver un certain trouble. La visite du surintendant n'était pas un événement vulgaire dans la vie d'une femme de la Cour. Fouquet, si célèbre par sa générosité, sa galanterie et sa délicatesse avec les femmes, avait reçu plus d'invitations qu'il n'avait demandé d'audiences. Dans beaucoup de maisons, la présence du surintendant avait signifié fortune. Dans bon nombre de curs, elle avait signifié amour. sac longchamp Fouquet entra respectueusement chez La Vallière, se présentant avec cette grâce qui était le caractère distinctif des hommes éminents de ce siècle, et qui aujourd'hui ne se comprend plus, même dans les portraits de l'époque, où le peintre a essayé de les faire vivre. La Vallière répondit au salut cérémonieux de Fouquet par une révérence de pensionnaire, et lui indiqua un siège. Mais Fouquet, s'inclinant : Je ne m'assoirai pas, mademoiselle, dit-il, que vous ne m'ayez pardonné. Moi . demanda La Vallière. Chapitre CXXXVII Tobie. 48 Page 54 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III.

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