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  #1 xowen11158 on 28 Oct 14

   

  Mais il abordait aussi le problème de la formation des prêtres160;: 24 160;Si on veut leur faire étudier la même chose qu'on étudie en Europe dans les classiques, il faudra leur apprendre le latin, la philosophie, la Scholastique160;; leur faire pendre partie dans le thomisme ou dans le scotisme ou dans le molinisme [ …] On pourra, dira-t-on, leur donner la Bible en latin. Mais quelle peine n'auront-ils pas à apprendre le latin[11][11] ,...suite160;?160;Mariophile (ici en 1950) où se réfugia le Collège général .(Archives MEP.)25 C'était au début du xviiie siècle. lacoste homme pas cher
  Au cours des siècles suivants cependant il semble que les missionnaires se soient assez bien accommodés de la nécessité d'enseigner le latin aux futurs prêtres. On l'enseignait dans les petits séminaires, et dans les grands séminaires les cours étaient souvent donnés en latin. D'une fa?on générale, on trouvait normal d'introduire dans les séminaires d'Asie les mêmes programmes de formation qu'en Europe. On peut lire dans un rapport, en date de 1924, sur le grand séminaire de Pondichéry en Inde160;: 160;Dans ce grand séminaire, les études sont exactement celles qui se font en France, et pour tout on suit les prescriptions du Droit Canon[12][12] Rapport des Missions étrangères sur le Clergé Indien...suite. sac imitation longchamp pas cher 160; Je me permets d'ajouter que lorsque j'ai moi-même été nommé directeur dans ce même grand séminaire, en 1956, à peu de chose près, le même qu'en France, 150; et pas seulement dans les séminaires diocésains mais aussi chez les religieux et religieuses 150; des programmes de formation con?us en Europe pour des Européens. Mais ceci demanderait un autre colloque.Difficultés liées à certains éléments des cultures locales ou à l'hétérogénéité des communautés chrétiennes27 En Inde, en particulier, la division de la société en castes fut à l'origine de bien des problèmes. En 1844, à Pondichéry, Mgr Bonnand réunit un synode au cours duquel beaucoup de temps fut consacré à la formation des prêtres. On y mit au point des programmes précis pour le recrutement et la formation des séminaristes au petit au grand séminaire. Mais des chrétiens estimèrent que certaines décisions allaient à l'encontre des coutumes locales. Ils allèrent jusqu'à écrire à Rome accusant les missionnaires de ne pas respecter les usages des castes nobles160;! L'année suivante il fallut même fermer le séminaire pendant plusieurs mois[13][13] Ibidem, p. polo lacoste pas cher
  10. ...suite. 28 Plus ou moins à la même époque, en Birmanie, non seulement les catholiques étaient peu nombreux mais ils provenaient de différentes communautés ethniques opposées entre elles par divers contentieux160;: des Birmans, des Karens, des Tamouls, des Eurasiens. Il était difficile d'établir des relations cordiales entre ces divers groupes et plus difficile encore d'obtenir qu'une communauté accepte le ministère presbytéral d'un prêtre originaire d'une autre communauté.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Mais il abordait aussi le problème de la formation des prêtres160;: 24 160;Si on veut leur faire étudier la même chose qu'on étudie en Europe dans les classiques, il faudra leur apprendre le latin, la philosophie, la Scholastique160;; leur faire pendre partie dans le thomisme ou dans le scotisme ou dans le molinisme [ …] On pourra, dira-t-on, leur donner la Bible en latin. Mais quelle peine n'auront-ils pas à apprendre le latin[11][11] ,...suite160;?160;Mariophile (ici en 1950) où se réfugia le Collège général .(Archives MEP.)25 C'était au début du xviiie siècle. <a rel="nofollow" title="lacoste homme pas cher" href="http://www.caramboles.fr/lacoste-pas-cher1/">lacoste homme pas cher</a> <br /> Au cours des siècles suivants cependant il semble que les missionnaires se soient assez bien accommodés de la nécessité d'enseigner le latin aux futurs prêtres. On l'enseignait dans les petits séminaires, et dans les grands séminaires les cours étaient souvent donnés en latin. D'une fa?on générale, on trouvait normal d'introduire dans les séminaires d'Asie les mêmes programmes de formation qu'en Europe. On peut lire dans un rapport, en date de 1924, sur le grand séminaire de Pondichéry en Inde160;: 160;Dans ce grand séminaire, les études sont exactement celles qui se font en France, et pour tout on suit les prescriptions du Droit Canon[12][12] Rapport des Missions étrangères sur le Clergé Indien...suite. <a rel="nofollow" title="sac imitation longchamp pas cher" href="http://www.wellness-institut.fr/sac-longchamp/sac-longchamp-bleu-marine-pas-chersac-longchamp-bleu-marine-soldes/">sac imitation longchamp pas cher</a> 160; Je me permets d'ajouter que lorsque j'ai moi-même été nommé directeur dans ce même grand séminaire, en 1956, à peu de chose près, le même qu'en France, 150; et pas seulement dans les séminaires diocésains mais aussi chez les religieux et religieuses 150; des programmes de formation con?us en Europe pour des Européens. Mais ceci demanderait un autre colloque.Difficultés liées à certains éléments des cultures locales ou à l'hétérogénéité des communautés chrétiennes27 En Inde, en particulier, la division de la société en castes fut à l'origine de bien des problèmes. En 1844, à Pondichéry, Mgr Bonnand réunit un synode au cours duquel beaucoup de temps fut consacré à la formation des prêtres. On y mit au point des programmes précis pour le recrutement et la formation des séminaristes au petit au grand séminaire. Mais des chrétiens estimèrent que certaines décisions allaient à l'encontre des coutumes locales. Ils allèrent jusqu'à écrire à Rome accusant les missionnaires de ne pas respecter les usages des castes nobles160;! L'année suivante il fallut même fermer le séminaire pendant plusieurs mois[13][13] Ibidem, p. <a rel="nofollow" title="polo lacoste pas cher" href="http://www.caramboles.fr/lacoste-pas-cher1/">polo lacoste pas cher</a> <br /> 10. ...suite. 28 Plus ou moins à la même époque, en Birmanie, non seulement les catholiques étaient peu nombreux mais ils provenaient de différentes communautés ethniques opposées entre elles par divers contentieux160;: des Birmans, des Karens, des Tamouls, des Eurasiens. Il était difficile d'établir des relations cordiales entre ces divers groupes et plus difficile encore d'obtenir qu'une communauté accepte le ministère presbytéral d'un prêtre originaire d'une autre communauté.</div>

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