Dominateur. Intimidant pour ses adversaires, mais aussi ses partenaires. Récemment, un ancien intime du vestiaire parisien racontait cette scène : " À l'entraînement, lors des oppositions, il ne voulait prendre que les jeunes avec lui. Et se frotter aux titulaires. Il avait cette envie de gagner. Moralité, son équipe gagnait systématiquement. " C'est aussi ça que le PSG et Leonardo étaient venus chercher avec le Suédois.Ralph Lauren pas cher Un état d'esprit de conquérant. Un winner. Avant son arrivée, le PSG courrait après un titre de champion depuis 1994. En quatre ans, Ibrahimović et sa bande auront triplé le palmarès du club. Mais celui de 2013 était le plus important. C'était le premier. Celui qui complexait tant les dirigeants Qataris.Ralph Lauren Homme pas cherAu fond de lui, Zlatan Ibrahimović s'est senti chez lui au PSG, car il en était le roi. Personne au-dessus de lui. Que ce soit financièrement ou sportivement. Son rêve de gagner la Ligue des champions s'est envolé à l'endroit où ses limites se voient le plus : dans les gros matchs à enjeux. Alors oui, il aura fait le boulot sur certaines confrontations (Barcelone 2013, Chelsea cette saison), mais l'histoire retiendra que le PSG d'Ibrahimović s'est arrêté quatre fois de suite en quart de finale et que le grand Suédois a raté sa dernière sortie contre Manchester City. Zlatan Ibrahimović n'était pas parfait. Son arrogance et son sens de la formule en auront choqué certains, mais le PSG vient de perdre un joueur capable de changer le cours d'un match où il ne se passe rien sur un tir.Pantalon Ralph Lauren pas cher Un dribble. Une passe. Une inspiration. Le PSG se sépare d'un compétiteur rare. Unique. Mythique. Il ne faut pas chercher à le remplacer, il est irremplaçable, mais apprendre à vivre sans lui.
Un état d'esprit de conquérant. Un winner. Avant son arrivée, le PSG courrait après un titre de champion depuis 1994. En quatre ans, Ibrahimović et sa bande auront triplé le palmarès du club. Mais celui de 2013 était le plus important. C'était le premier. Celui qui complexait tant les dirigeants Qataris. Ralph Lauren Homme pas cher Au fond de lui, Zlatan Ibrahimović s'est senti chez lui au PSG, car il en était le roi. Personne au-dessus de lui. Que ce soit financièrement ou sportivement. Son rêve de gagner la Ligue des champions s'est envolé à l'endroit où ses limites se voient le plus : dans les gros matchs à enjeux. Alors oui, il aura fait le boulot sur certaines confrontations (Barcelone 2013, Chelsea cette saison), mais l'histoire retiendra que le PSG d'Ibrahimović s'est arrêté quatre fois de suite en quart de finale et que le grand Suédois a raté sa dernière sortie contre Manchester City. Zlatan Ibrahimović n'était pas parfait. Son arrogance et son sens de la formule en auront choqué certains, mais le PSG vient de perdre un joueur capable de changer le cours d'un match où il ne se passe rien sur un tir. Pantalon Ralph Lauren pas cher
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