Les prières de la vieille reine étaient des ordres. MarieThérèse se leva pour rentrer dans son appartement, et Madame pour faire appeler La Vallière par un page. Chapitre CLXII TriumFéminat 237 Page 243 Chapitre CLXIII Première querelle La Vallière entra chez la reine mère, sans se douter le moins du monde qu'il se fût tramé contre elle un complot dangereux. Elle croyait qu'il s'agissait du service, et jamais la reine mère n'avait été mauvaise pour elle en pareille circonstance. D'ailleurs, ne ressortissant pas immédiatement à l'autorité d'Anne d'Autriche, elle ne pouvait avoir avec elle que des rapports officieux, auxquels sa propre complaisance et le rang de l'auguste princesse lui faisaient un devoir de donner toute la bonne grâce possible. Elle s'avança donc vers la reine mère avec ce sourire placide et doux qui faisait sa principale beauté. Comme elle ne s'approchait pas assez, Anne d'Autriche lui fit signe de venir jusqu'à sa chaise.pull lacoste pas cher, Alors Madame rentra, et, d'un air parfaitement tranquille, s'assit près de sa bellemère, en reprenant l'ouvrage commencé par MarieThérèse. La Vallière, au lieu de l'ordre qu'elle s'attendait à recevoir surlechamp, s'aperçut de ces préambules, et interrogea curieusement, sinon avec inquiétude, le visage des deux princesses. Anne réfléchissait. Madame conservait une affectation d'indifférence qui eût alarmé de moins timides. Mademoiselle, fit soudain la reine mère sans songer à modérer son accent espagnol, ce qu'elle ne manquait jamais de faire à moins qu'elle ne fût en colère, venez un peu, que nous causions de vous, puisque tout le monde en cause. De moi . s'écria La Vallière en pâlissant.lacoste soldesFeignez de l'ignorer, belle . savezvous le duel de M. de Guiche et de M. de Wardes . Mon Dieu ! madame, le bruit en est venu hier jusqu'à moi, répliqua La Vallière en joignant les mains. Et vous ne l'aviez pas senti d'avance, ce bruit . Chapitre CLXIII Première querelle 238 Page 244 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III.polo lacoste pas cher, Pourquoi l'eusséje senti, madame . Parce que deux hommes ne se battent jamais sans motif, et que vous deviez connaître les motifs de l'animosité des deux adversaires. Je l'ignorais absolument, madame. C'est un système de défense un peu banal que la négation persévérante, et, vous qui êtes un bel esprit mademoiselle, vous devez fuir les banalités. Autre chose. Mon Dieu ! madame, Votre Majesté m'épouvante avec cet air glacé. Auraisje eu le malheur d'encourir sa disgrâce .
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