Lemon, qui a joué entre 1954 et 1978 avec les Harlem Globetrotters alors qu'ils étaient au summum de leur gloire, savait mieux que quiconque éblouir le public. Ses grigris techniques, ses tirs à une main du milieu du terrain, ses passes aveugles et son habitude de renverser des seaux de confettis sur les arbitres étaient devenus la marque de fabrique des Harlem Globetrotters. Surnommé "Clown Prince of Basketball", Lemon était connu pour ses numéros comiques même si, avant de glisser vers le spectacle, les Harlem Globetrotters -- qui sont originaires de Chicago -- étaient une vraie équipe professionnelle, qui a même remporté le World Professional Basketball Tournament, un tournoi de basket très renommé dans les années 40 avant la création de la National Basketball Association (NBA). Sa popularité était tellement importante qu'elle avait éclipsé l'arrivée dans l'équipe de Wilt Chamberlain, qui allait pourtant par la suite rejoindre la NBA pour devenir l'un des meilleurs joueurs de son histoire. "C'était un sportif incroyable, il a réjoui des millions de fans à travers la planète. Nous avons perdu un grand ambassadeur du basket", a déclaré Kurt Schneider, le directeur général de l'équipe, dans un communiqué. Durant le mouvement des droits civiques américain, des voix s'étaient élevées pour critiquer la bouffonnerie dont faisait preuve l'équipe, composée de joueurs noirs, sur le terrain.Ralph Lauren femme pas cher Leurs supporters préféraient mettre en avant l'impact culturel et diplomatique que l'équipe avait eu à l'étranger. Les Globetrotters avaient par exemple joué à Moscou du temps de l'Union soviétique et avaient rencontré Nikita Khrouchtchev, ou devant le pape à Rome. Meadowlark Lemon avait quitté l'équipe en 1978. Il était par la suite devenu pasteur.FOOTBALL - Dans le monde du football espagnol, la rivalité entre le Real Madrid et le FC Barcelone est bien supérieure à celle du PSG face à Marseille. Hors de question dès lors que les jeunes espoirs du Barça pactisent avec l'ennemi, en l'occurrence Raúl González Blanco, surnommé Raúl, ancien attaquant star de Real Madrid. Le 26 décembre était donné le coup d'envoi du tournoi La Liga Promises, qui met en avant 17 équipes de jeunes issues de grandes écuries européennes.Polo Ralph Lauren pas cherParmi les invités d'honneur, Raúl, qui après avoir salué les joueurs, devait immortaliser la scène en posant avec eux. Mais quand est venu le tour de la jeune équipe du Barça, tout ne s'est pas déroulé comme prévu. Mario Ruiz, responsable de la délégation du club catalan a empêché la photo. "Non, nous devons partir, maintenant", a-t-il dit, comme l'indique cet article de Metronews. C'est José Ramón de la Morena, directeur du programme sportif El Larguero, qui organisait le tournoi en partenariat avec La Liga, qui a relayé l'information sur Twitter. "Raúl a salué toutes les équipes de jeunes à Miami, mais le Barça n'a pas permis à ses gamins de prendre une photo avec lui", a-t-il posté. Cette décision a provoqué la colère des organisateurs du tournoi, dont Javier Tebas, président de La Liga, qui aurait contacté le FC Barcelone pour obtenir réparation, selon le site Foot Espagnol.Chemise Ralph Lauren pas cher Et visiblement, le club a accédé à sa demande puisque dès le lendemain, Raúl saluait la victoire des jeunes du FC Barcelone face à ceux du Crystal Palace, en prenant la pose avec eux. "Une fin heureuse pour tout le monde"', a commenté José ramon de la Morena. Le management volontiers positif de l'entraîneur général du Stade Français Gonzalo Quesada est soumis à l'épreuve de la mauvaise passe de son équipe, au bord de la zone de relégation en Top 14 après un énième revers dimanche à Oyonnax (12-25). C'est un cliché tenace, bien qu'il soit avéré ou non: pour sortir un groupe de l'ornière, il faut un meneur d'hommes capable de réveiller ses troupes en les bousculant, en montant dans les tours. Quesada, plutôt adepte d'un discours mesuré et positif, en public et même dans son vestiaire, n'est pas celui-là. Il en est parfaitement conscient: "Je sais que mon point faible est de ne pas savoir être extrêmement dur parfois", reconnaissait-il ainsi après le revers à domicile face à Bordeaux-Bègles (21-24) le 5 décembre. L'ailier parisien Jérémy Sinzelle acquiesce: "Il (Quesada) arrive à nous montrer qu'on est dans une situation assez critique.
Leurs supporters préféraient mettre en avant l'impact culturel et diplomatique que l'équipe avait eu à l'étranger. Les Globetrotters avaient par exemple joué à Moscou du temps de l'Union soviétique et avaient rencontré Nikita Khrouchtchev, ou devant le pape à Rome. Meadowlark Lemon avait quitté l'équipe en 1978. Il était par la suite devenu pasteur.FOOTBALL - Dans le monde du football espagnol, la rivalité entre le Real Madrid et le FC Barcelone est bien supérieure à celle du PSG face à Marseille. Hors de question dès lors que les jeunes espoirs du Barça pactisent avec l'ennemi, en l'occurrence Raúl González Blanco, surnommé Raúl, ancien attaquant star de Real Madrid. Le 26 décembre était donné le coup d'envoi du tournoi La Liga Promises, qui met en avant 17 équipes de jeunes issues de grandes écuries européennes. Polo Ralph Lauren pas cher Parmi les invités d'honneur, Raúl, qui après avoir salué les joueurs, devait immortaliser la scène en posant avec eux. Mais quand est venu le tour de la jeune équipe du Barça, tout ne s'est pas déroulé comme prévu. Mario Ruiz, responsable de la délégation du club catalan a empêché la photo. "Non, nous devons partir, maintenant", a-t-il dit, comme l'indique cet article de Metronews. C'est José Ramón de la Morena, directeur du programme sportif El Larguero, qui organisait le tournoi en partenariat avec La Liga, qui a relayé l'information sur Twitter. "Raúl a salué toutes les équipes de jeunes à Miami, mais le Barça n'a pas permis à ses gamins de prendre une photo avec lui", a-t-il posté. Cette décision a provoqué la colère des organisateurs du tournoi, dont Javier Tebas, président de La Liga, qui aurait contacté le FC Barcelone pour obtenir réparation, selon le site Foot Espagnol. Chemise Ralph Lauren pas cher
Et visiblement, le club a accédé à sa demande puisque dès le lendemain, Raúl saluait la victoire des jeunes du FC Barcelone face à ceux du Crystal Palace, en prenant la pose avec eux. "Une fin heureuse pour tout le monde"', a commenté José ramon de la Morena. Le management volontiers positif de l'entraîneur général du Stade Français Gonzalo Quesada est soumis à l'épreuve de la mauvaise passe de son équipe, au bord de la zone de relégation en Top 14 après un énième revers dimanche à Oyonnax (12-25). C'est un cliché tenace, bien qu'il soit avéré ou non: pour sortir un groupe de l'ornière, il faut un meneur d'hommes capable de réveiller ses troupes en les bousculant, en montant dans les tours. Quesada, plutôt adepte d'un discours mesuré et positif, en public et même dans son vestiaire, n'est pas celui-là. Il en est parfaitement conscient: "Je sais que mon point faible est de ne pas savoir être extrêmement dur parfois", reconnaissait-il ainsi après le revers à domicile face à Bordeaux-Bègles (21-24) le 5 décembre. L'ailier parisien Jérémy Sinzelle acquiesce: "Il (Quesada) arrive à nous montrer qu'on est dans une situation assez critique.
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