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polo lacoste pas cher auquel domicile nous sommes arrivé - 0 views

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  • brick0213
     
    Et vous, monsieur . continuatil en s'adressant au second ami de M. Ledru. Et il répéta exactement les mêmes questionsqu'il avait faites au premier. PierreJoseph Moulle, âgé de soixante et un ans, ecclésiastique, attaché à l'église de SaintSulpice, demeurant rue Servandoni,n° 11, répondit d'une voix douce celui qu'il interrogeait. Et vous, monsieur . demandatil en s'adressant à moi. solde lacoste, Alexandre Dumas, auteur dramatique, âgé devingtsept ans, demeurant à Paris, rue de l'Université, n° 21, répondisje, M. Ledru se retourna de mon côté et me fit un gracieux salut, auquel je répondissur le même ton, du mieux que je pus. Bien , fit le commissaire de police, Voyez si c'est bien cela, messieurs, et si vous avez quelques observations àfaire, III LE PROCÈSVERBAL. 21 Page 25 Les mille et un fantomes Et, de ce ton nasillard et monotone qui n'appartient qu'aux fonctionnaires publics, illut . «Cejourd'hui, 1er septembre 1831. à deux heures de relevée, ayant été averti par la rumeur publique qu'un crime de meurtre venait d'être commis, dansla commune de FontenayauxRoses, sur la personne de MarieJeanne Ducoudray, par le nommé Pierre Jacquemin, son mari, et que le meurtrier s'était rendu audomicile de M. JeanPierre Ledru, maire de ladite commune de FontenayauxRoses, pour se déclarer, de son propre mouvement, l'auteur de ce crime, nous noussommes empressé de nous rendre, de notre personne, au domicile dudit JeanPierre Ledru, rue de Diane, n° 2 . polo lacoste pas cher auquel domicile nous sommes arrivé, encompagnie du sieur Sébastien Robert, docteurmédecin, demeurant dans ladite commune de FontenayauxRoses, et là, avons trouvé déjà entre les mains de lagendarmerie le nommé Pierre Jacquemin, lequel a répété devant nous qu'il était auteur du meurtre de sa femme, sur quoi nous l'avons sommé de nous suivredans la maison où le meurtre avait été commis. Ce à quoi il s'est refusé d'abord . mais bientôt, ayant cédé sur les instances de M. le maire, nous noussommes acheminés vers l'impasse des Sergents, où est située la maison habitée par le sieur Pierre Jacquemin. Arrivés à cette maison et la porte refermée surnous pour empêcher la population de l'envahir, avons d'abord pénétré dans une première chambre où rien n'indiquait qu'un crime eût été commis . puis, surl'invitation dudit Jacquemin luimême, de la première chambre avons passé dans la seconde, à l'angle de laquelle une trappe donnant accès à un escalier étaitouverte, Cet escalier nous ayant été indiqué comme conduisant à une cave où nous devions trouver le corps de la victime, nous nous mîmes à descendre leditescalier, sur les premières marches duquel le docteur a trouvé une épée à poignée faite en croix, à lame large et tranchante, que ledit Jacquemin nous aavoué avoir été prise par lui lors de la révolution de Juillet au Musée d'artillerie, et lui avoir servi à la perpétration du crime, Et sur le sol de lacave avons trouvé le corps de la femme Jacquemin, renversé sur le dos et nageant dans une mare de sang, ayant la tête séparée du tronc, laquelle tête avaitété placée droite sur un sac de plâtre adossé à la muraille, et ledit Jacquemin ayant reconnu que le cadavre et cette tête étaient bien ceux de sa femme, enprésence de M. JeanPierre Ledru, maire de la commune de Fontenay III LE PROCÈSVERBAL.

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