Lunettes de soleil Ray Ban Aviator Au lieu - 0 views

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  Annex to the Communication from the Commission, «An EU-India Strategic Partnership», Bruxelles, 16 juin 2004. Directeur du Ceri-Sciences po/CNRS, auteur de Inde : la démocratie par la caste (Fayard, 2005) et de L'Inde contemporaine (Fayard, 2006). L'Inde et l'Europe, de bonnes intentions mais des divergences de fond Coup sur coup, l'affaire Mittal et celle du Clemenceau viennent de rappeler l'Inde au souvenir des Français. Sa montée en puissance ne fait maintenant plus de doute avec un taux de croissance de 8% l'an et une force de frappe militaire en plein essor. Or, ce pays regarde de plus en plus vers l'Asie et les États-Unis pas vers l'Europe, ni vers la France ou aucun des pays membres de l'UE qui, pris individuellement, sont maintenant bien trop petits pour exister à ses yeux. En 2005 l'Asie est devenue le premier partenaire commercial de l'Inde (pour la première fois devant l'Union européenne) grâce, notamment, à l'essor de ses échanges avec la Chine. Quant au lien avec les États-Unis, il se renforce et se diversifie à vitesse grand V : les Américains sont à la fois le premier partenaire commercial des Indiens et les premiers investisseurs en Inde ; mais, au-delà, les deux pays ont conclu en 2004 un accord, le Next Step towards Strategic Partnership, qui commence à déboucher sur des collaborations nouvelles dans le domaine nucléaire et celui du spatial. Lunettes de soleil Ray Ban Clubmaster
  Les Européens, eux, perdent du terrain. </p> Avec leur motion de censure à retardement, les socialistes pensaient avoir trouvé l'oeuf de Colomb. Suffisamment éloignée des manifestations anti-CPE du 7 février pour que le souvenir de leur échec se soit estompé, suffisamment proche de la «journée de mobilisation» du 7 mars pour ranimer la flamme, la censure, élargie à l'ensemble de la politique gouvernementale, était censée convaincre l'opinion de la capacité des socialistes à porter, enfin, une alternative politique. A l'évidence, c'est raté. Au-delà du rejet arithmétiquement inévitable de la motion, au-delà des coups de menton dont François Hollande a été prodigue, le PS a surtout affiché la vacuité de son programme et l'extraordinaire obsolescence de ses idées.Depuis des semaines, les socialistes vont répétant que le CPE est l'abomination de la désolation. On aurait pu penser qu'ils seraient arrivés à l'Assemblée avec une contre-proposition en bonne et due forme. Lunettes de soleil Ray Ban Aviator Au lieu de quoi, le premier secrétaire a agité un slogan «précarité» comme on brandit un épouvantail, et a décliné un sigle «contrat sécurité formation» dont le contenu sera, si la commission ad hoc se met d'accord, précisé au printemps. Les jeunes, condamnés à enchaîner stages et CDD sans perspective d'emplois stables, et à vérifier chaque jour l'illusoire protection d'un Code du travail qui décourage l'embauche, sont donc priés d'attendre que les éléphants s'extirpent de l'ornière où les surenchères idéologiques du congrès du Mans les ont plongés.Car le PS, contrairement à ce qui se dit et s'écrit, a un programme. Et même fort précis. En novembre, au Mans, les socialistes se sont engagés, s'ils reviennent au pouvoir, à favoriser la «progressivité» de l'impôt sur le revenu, à augmenter l'impôt sur les sociétés, à développer l'emploi public, à renationaliser au moins EDF, à interdire les licenciements boursiers, à revenir aux 35 heures pour tous les salariés et, bien sûr, à abroger la réforme des retraites, la réforme de la Sécurité sociale, la réforme de l'apprentissage ainsi que les ordonnances créant le CNE. La coupe paraissait pleine ? Il faudra pourtant y ajouter le retrait du CPE !Le problème est que, à l'heure où la compétitivité fiscale et sociale des Etats fait le succès ou l'échec dans la bataille économique mondiale, la collection d'archaïsmes qui composent le programme du PS, et qui l'isolent de tous ses partenaires européens, est si visiblement absurde, si évidemment contraire aux lois qui gouvernent le monde, que même les socialistes n'osent plus s'en réclamer. Faute de pouvoir assumer leurs folies, ils comptent donc que les vieilles ficelles de l'obstruction parlementaire et de la gesticulation politicienne dissimuleront le vide de leur pensée. réplique ray ban pas cher
  En panne de crédit politique, ils espèrent que la piétaille étudiante et la mitraille syndicale leur donneront dans la rue les victoires que ne saurait leur valoir l'anémie de leurs idées. Dominique de Villepin, qui a annoncé qu'il allait lancer sans tarder la «troisième étape» de sa bataille pour l'emploi, a eu raison de leur répondre qu'il ne se laisserait pas impressionner. La communauté internationale se penche sur le statut du Kosovo L'histoire du Kosovo s'écrit en noir. Ou ne s'écrit pas. Humiliations, oppressions, exclusions ; rébellions, répressions, épuration...

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Annex to the Communication from the Commission, «An EU-India Strategic Partnership», Bruxelles, 16 juin 2004. Directeur du Ceri-Sciences po/CNRS, auteur de Inde : la démocratie par la caste (Fayard, 2005) et de L'Inde contemporaine (Fayard, 2006). L'Inde et l'Europe, de bonnes intentions mais des divergences de fond Coup sur coup, l'affaire Mittal et celle du Clemenceau viennent de rappeler l'Inde au souvenir des Français. Sa montée en puissance ne fait maintenant plus de doute avec un taux de croissance de 8% l'an et une force de frappe militaire en plein essor. Or, ce pays regarde de plus en plus vers l'Asie et les États-Unis pas vers l'Europe, ni vers la France ou aucun des pays membres de l'UE qui, pris individuellement, sont maintenant bien trop petits pour exister à ses yeux. En 2005 l'Asie est devenue le premier partenaire commercial de l'Inde (pour la première fois devant l'Union européenne) grâce, notamment, à l'essor de ses échanges avec la Chine. Quant au lien avec les États-Unis, il se renforce et se diversifie à vitesse grand V : les Américains sont à la fois le premier partenaire commercial des Indiens et les premiers investisseurs en Inde ; mais, au-delà, les deux pays ont conclu en 2004 un accord, le Next Step towards Strategic Partnership, qui commence à déboucher sur des collaborations nouvelles dans le domaine nucléaire et celui du spatial. <a rel="nofollow" title="Lunettes de soleil Ray Ban Clubmaster" href="http://www.caputimario.fr/lunettes-ray-ban-clubmaster-c-34.html">Lunettes de soleil Ray Ban Clubmaster</a> <br /> Les Européens, eux, perdent du terrain. </p> Avec leur motion de censure à retardement, les socialistes pensaient avoir trouvé l'oeuf de Colomb. Suffisamment éloignée des manifestations anti-CPE du 7 février pour que le souvenir de leur échec se soit estompé, suffisamment proche de la «journée de mobilisation» du 7 mars pour ranimer la flamme, la censure, élargie à l'ensemble de la politique gouvernementale, était censée convaincre l'opinion de la capacité des socialistes à porter, enfin, une alternative politique. A l'évidence, c'est raté. Au-delà du rejet arithmétiquement inévitable de la motion, au-delà des coups de menton dont François Hollande a été prodigue, le PS a surtout affiché la vacuité de son programme et l'extraordinaire obsolescence de ses idées.Depuis des semaines, les socialistes vont répétant que le CPE est l'abomination de la désolation. On aurait pu penser qu'ils seraient arrivés à l'Assemblée avec une contre-proposition en bonne et due forme. <a rel="nofollow" title="Lunettes de soleil Ray Ban Aviator" href="http://www.caputimario.fr/lunettes-ray-ban-aviator-c-37.html">Lunettes de soleil Ray Ban Aviator</a> Au lieu de quoi, le premier secrétaire a agité un slogan «précarité» comme on brandit un épouvantail, et a décliné un sigle «contrat sécurité formation» dont le contenu sera, si la commission ad hoc se met d'accord, précisé au printemps. Les jeunes, condamnés à enchaîner stages et CDD sans perspective d'emplois stables, et à vérifier chaque jour l'illusoire protection d'un Code du travail qui décourage l'embauche, sont donc priés d'attendre que les éléphants s'extirpent de l'ornière où les surenchères idéologiques du congrès du Mans les ont plongés.Car le PS, contrairement à ce qui se dit et s'écrit, a un programme. Et même fort précis. En novembre, au Mans, les socialistes se sont engagés, s'ils reviennent au pouvoir, à favoriser la «progressivité» de l'impôt sur le revenu, à augmenter l'impôt sur les sociétés, à développer l'emploi public, à renationaliser au moins EDF, à interdire les licenciements boursiers, à revenir aux 35 heures pour tous les salariés et, bien sûr, à abroger la réforme des retraites, la réforme de la Sécurité sociale, la réforme de l'apprentissage ainsi que les ordonnances créant le CNE. La coupe paraissait pleine ? Il faudra pourtant y ajouter le retrait du CPE !Le problème est que, à l'heure où la compétitivité fiscale et sociale des Etats fait le succès ou l'échec dans la bataille économique mondiale, la collection d'archaïsmes qui composent le programme du PS, et qui l'isolent de tous ses partenaires européens, est si visiblement absurde, si évidemment contraire aux lois qui gouvernent le monde, que même les socialistes n'osent plus s'en réclamer. Faute de pouvoir assumer leurs folies, ils comptent donc que les vieilles ficelles de l'obstruction parlementaire et de la gesticulation politicienne dissimuleront le vide de leur pensée. <a rel="nofollow" title="réplique ray ban pas cher" href="http://www.caputimario.fr/">réplique ray ban pas cher</a> <br /> En panne de crédit politique, ils espèrent que la piétaille étudiante et la mitraille syndicale leur donneront dans la rue les victoires que ne saurait leur valoir l'anémie de leurs idées. Dominique de Villepin, qui a annoncé qu'il allait lancer sans tarder la «troisième étape» de sa bataille pour l'emploi, a eu raison de leur répondre qu'il ne se laisserait pas impressionner. La communauté internationale se penche sur le statut du Kosovo L'histoire du Kosovo s'écrit en noir. Ou ne s'écrit pas. Humiliations, oppressions, exclusions ; rébellions, répressions, épuration...</div>

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