Tradition bioclimatique Immanquablement vêtu d'une chemise fleurie à la tahitienne, Pascal Erhel Hatuuku, 45 ans, a fait ses études en Bretagne avant de s'impliquer dans la mise en valeur de la culture et de la nature en Polynésie. Il est actuellement responsable du dossier de candidature des Marquises au patrimoine mondial de l'Unesco. Alors, quitte à y passer six mois comme il dit lui-même, il a tenu à venir à Paris, mais pas seul. ? Je suis en compagnie de 36 jeunes de 18 à 25 ans qui participent à la Conférence des jeunes, la COY, pour dire que la Polynésie est là. Nous ne voulons pas n'être que des victimes ?, assure-t-il. Aux Marquises, il est en train de mettre en place plusieurs aires marines protégées éducatives dont sont responsables des écoliers, en s'appuyant sur la notion ancestrale du ? Rahui ? coutumier, qui prévoit un accès limité à certaines ressources. Gérer les réserves halieutiques, demander aux parents d'aller mouiller leurs bateaux de pêche plus loin donne lieu à des débats animés, tout aussi essentiels.sac longchamp L'idée a séduit à Paris. Mercredi 2 décembre, dans (...)Sous la pluie fine, avec l'air satisfait du jardinier amateur, Eric Daoust inspecte les plates-bandes. Entre les paillis tout frais, les fougères, les graminées et les rosiers n'ont pas encore eu le temps de prendre leur aise, mais leur seule présence tout au long de la rue sonne déjà comme le triomphe de la nature sur l'asphalte. ? Le temps ne permettra pas de sortir les ? mousses ? [bières], tant pis on remettra l'inauguration à plus tard ?, regrette Eric.longchamp soldesIl y a encore quelques semaines, l'appartement de cet architecte à l'allure décontractée, donnait sur une ruelle ordinaire du quartier Rosemont-La Petite-Patrie, dans l'est de Montréal. Aujourd'hui, grace à son implication et à celle de ses voisins, sa voie s'est transformée en une ? ruelle verte ?, ouverte à la circulation automobile mais où le bitume a cédé en partie la place aux végétaux. Comme d'autres villes d'Amérique du Nord, Chicago, Los Angeles, Vancouver ou encore Québec, Montréal a lancé il y a huit ans un programme de verdissement des voies publiques, en retirant des portions de goudron sur les c?tés ou au milieu de la chaussée pour les remplacer par des parterres de vivaces et d'arbustes. En Europe, et notamment en France, la démarche est beaucoup plus timide. En juillet 2015, la ville de Paris a accordé à ses habitants le droit de ? végétaliser ? certains espaces publics, au pied des arbres, le long d'un mur ou d'un poteau par exemple. Jusqu'à présent, toute plantation ? sauvage ? était arrachée. A la mi-septembre, près de trois cents projets ont déjà été déposés par les Parisiens, selon la direction des espaces verts.sac longchamps pas cher Mais pour l'instant, ces aménagements n'impliquent pas l'enlèvement du bitume. La renaturalisation par les riverains de leur environnement n'est pas une utopie dans la capitale économique du Québec. Le paysage urbain s'y prête. La ville compte un réseau de plus de quatre cents kilomètres de ruelles construites au milieu du XIXe siècle, qui permettaient l'accès aux jardins et aux (...)CLIMAT - Les maires des plus grandes villes du monde participent au sommet des élus locaux pour le climat… Madrid, Rio de Janeiro, Vancouver, Sydney… Ils sont venus, ils sont tous là autour de la maire de Paris, Anne Hidalgo.
L'idée a séduit à Paris. Mercredi 2 décembre, dans (...)Sous la pluie fine, avec l'air satisfait du jardinier amateur, Eric Daoust inspecte les plates-bandes. Entre les paillis tout frais, les fougères, les graminées et les rosiers n'ont pas encore eu le temps de prendre leur aise, mais leur seule présence tout au long de la rue sonne déjà comme le triomphe de la nature sur l'asphalte. ? Le temps ne permettra pas de sortir les ? mousses ? [bières], tant pis on remettra l'inauguration à plus tard ?, regrette Eric. longchamp soldes Il y a encore quelques semaines, l'appartement de cet architecte à l'allure décontractée, donnait sur une ruelle ordinaire du quartier Rosemont-La Petite-Patrie, dans l'est de Montréal. Aujourd'hui, grace à son implication et à celle de ses voisins, sa voie s'est transformée en une ? ruelle verte ?, ouverte à la circulation automobile mais où le bitume a cédé en partie la place aux végétaux. Comme d'autres villes d'Amérique du Nord, Chicago, Los Angeles, Vancouver ou encore Québec, Montréal a lancé il y a huit ans un programme de verdissement des voies publiques, en retirant des portions de goudron sur les c?tés ou au milieu de la chaussée pour les remplacer par des parterres de vivaces et d'arbustes. En Europe, et notamment en France, la démarche est beaucoup plus timide. En juillet 2015, la ville de Paris a accordé à ses habitants le droit de ? végétaliser ? certains espaces publics, au pied des arbres, le long d'un mur ou d'un poteau par exemple. Jusqu'à présent, toute plantation ? sauvage ? était arrachée. A la mi-septembre, près de trois cents projets ont déjà été déposés par les Parisiens, selon la direction des espaces verts. sac longchamps pas cher
Mais pour l'instant, ces aménagements n'impliquent pas l'enlèvement du bitume. La renaturalisation par les riverains de leur environnement n'est pas une utopie dans la capitale économique du Québec. Le paysage urbain s'y prête. La ville compte un réseau de plus de quatre cents kilomètres de ruelles construites au milieu du XIXe siècle, qui permettaient l'accès aux jardins et aux (...)CLIMAT - Les maires des plus grandes villes du monde participent au sommet des élus locaux pour le climat… Madrid, Rio de Janeiro, Vancouver, Sydney… Ils sont venus, ils sont tous là autour de la maire de Paris, Anne Hidalgo.
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