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longchamp soldes D'où - 0 views

sac longchamp soldes pas cher

started by opinions1 opinions1 on 22 Jul 14
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    Des coupures de presse relatant les exactions de la bande à laquelle ils appartiennent et qu'ils collectionnent comme des trophées, dans une sorte de délire narcissique. «On se demande parfois pour certains si la médiatisation de leurs actes n'est pas le seul but recherché», confie, effaré, un vieux routier de la Brigade antigang.La police a, en réalité, de plus en plus de mal à appréhender ces «nouveaux barbares». Leur communauté se révèle souvent impénétrable. Quiconque s'aventure dans la cité est immédiatement repéré. Et l'infiltration dans ces milieux relève du tour de force, surtout lorsque, comme dans les gangs d'Africains, le groupe se compose principalement de frères et de cousins. En cas de «coup dur», ceux-là savent qu'ils ont toujours la possibilité de se réfugier dans leur pays d'origine, comme le fit Youssouf Fofana, Français d'origine ivoirienne, arrêté au nord-ouest d'Abidjan. sac longchamp soldesY a-t-il un risque qu'un jour ces groupes se structurent davantage ? Pour l'heure, dans les cités, les plus gros trafics restent la chasse gardée de grandes familles de voyous issus des communautés gitane et maghrébine. Le milieu, qui n'a pas disparu en France, dirige toujours ses affaires, notamment depuis l'Espagne et le Maroc où quelques têtes d'affiche se sont repliées. Mais il ne faut pas se leurrer. Comme la police, les gros voyous commencent à être submergés par cette génération spontanée. Ce qui inquiète le plus les responsables du ministère de l'Intérieur, c'est de voir le vivier criminel évoluer lentement vers une situation à l'américaine, avec des quartiers qui entreraient en sécession à mesure que progresserait le communautarisme. En clair : une vraie «ghettoïsation».Pour les policiers, dès lors, l'enjeu numéro un consiste à ne pas perdre pied dans les banlieues. longchamp soldes D'où l'importance notamment de la réforme des Renseignements généraux, appelés, par leur ministre Nicolas Sarkozy, à se spécialiser sur les violences urbaines. Discrètement, et par dizaines, les «grandes oreilles» intègrent donc des agents issus de l'immigration. Par le biais de la «discrimination positive», une même logique de diversification du recrutement s'étend lentement à l'ensemble de la police, jusque chez les commissaires. Pour ramener du renseignement et être mieux accepté dans les quartiers dits sensibles, il faut en effet une police représentative des populations qui y habitent. Le «premier flic de France» n'a plus qu'à espérer que la justice accompagne le mouvement. Car à mesure que tomberont ces réseaux, il faudra se donner les moyens de les garder à l'ombre. Grand reporter, spécialiste de la police, au service Société du Figaro. sac longchamp pas cherAffrontements à Dublin IRLANDE. Des nationalistes irlandais ont affronté des policiers samedi à Dublin, où des manifestations contre un défilé de protestants d'Irlande du Nord ont provoqué les incidents les plus violents depuis plus de dix ans dans la capitale irlandaise. Les émeutiers protestaient contre des parents de personnes tuées par l'Armée républicaine irlandaise (IRA) qui projetaient de défiler dans le centre de Dublin avec des groupes musicaux probritanniques. Nous avons tous été saisis d'horreur en apprenant, le 13 février, la séquestration, les tortures et l'assassinat d'Ilan Halimi. Mais notre consternation n'est pas de celles que l'on ressent devant les simples faits divers, expression de la monstruosité d'un individu : de nouveau, c'est le phénomène des quartiers difficiles qui nous frappe de plein fouet, non plus cette fois sous la forme de destructions ludiques, massives et impersonnelles, comme en novembre 2005, mais sous celle du crime organisé contre une personne soigneusement attirée dans un piège, avatar terrible mais pas vraiment nouveau de la violence urbaine.Le crime de Bagneux entre dans la logique des lignes de force de l'évolution des quartiers difficiles mises en lumière par les renseignements généraux.A la création de notre observatoire, nous cherchions à repérer, sur l'ensemble du territoire français, les zones susceptibles de connaître des émeutes du type de celle d'octobre 1990 à Vaux-en-Velin ; nous nous sommes appuyés sur le relevé des violences gratuites et provocatrices commises au quotidien par des petits groupes plus ou moins informels de jeunes défavorablement connus, mettant en cause les institutions et les diverses formes de l'autorité.

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