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longchamp pliage pas cher suite. P. Lieb - 0 views

started by fiona3322116 on 01 Nov 14
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    à titre d'exemple, P. Lieb justifie le statut de franc-tireur systématiquement appliqué aux résistants en reprenant à son compte la conception restrictive allemande du droit des populations civiles à se soulever et en s'appuyant sur une remise en cause du concept de ?guerre juste[27?] [27?] Peter Lieb, Konventioneller. . . , op. ?cit. , p. sac longchamp pas cher
    ?239, 271. ... ... longchamp pliage pas cher suite. P. Lieb reproche ainsi aux derniers travaux parus sur la question de prendre systématiquement le contre-pied des études publiées auparavant, c'est-à-dire de focaliser leur attention sur les responsabilités du MBF en laissant de c?té les autres acteurs de la politique des otages. Dont acte, mais les conclusions qu'il en tire et le détail de ses analyses méritent d'être discutées.27 Les doutes exprimés au printemps 1941 - c'est-à-dire avant le déclenchement de la lutte armée en France - par l'administration militaire allemande quant à l'opportunité des exécutions d'otages en France sont ainsi présentés de fa?on quelque peu anachronique en contrepoint des mesures draconiennes ordonnées par Berlin à l'automne 1941, c'est-à-dire après les premiers assassinats de militaires allemands. Peter Lieb omet par ailleurs de rappeler que contrairement aux exécutions massives de Nantes (22 octobre 1941), celles de Bordeaux (23 et 24 octobre 1941), et surtout celles du mois de décembre 1941 au mont Valérien, relèvent de la seule initiative du MBF. S'interrogeant sur les raisons qui ont pu pousser le MBF à combattre les exécutions massives d'otages, l'historien se contente de signaler que la question fait toujours débat au sein de la communauté scientifique. sac longchamp
    Pourtant, lorsqu'il évoque un peu plus loin la démission d'Otto von Stülpnagel en février 1942, seuls les problèmes de conscience qui l'y auraient poussé retiennent son attention.28 Enfin, si Peter Lieb prend acte du caractère idéologique des mesures anti-juives et anti-communistes prises par l'appareil militaire allemand avant comme après le déclenchement de la lutte armée en France, il en relativise, à notre sens, excessivement l'ampleur. Il insiste notamment sur le fait que les Juifs n'étaient pas au départ visés par les représailles allemandes, alors que les gaullistes l'étaient au même titre que les communistes. C'est oublier un peu vite qu'en pratique, dès le mois de septembre 1941, la proportion de Juifs fusillés comme otages est loin d'être négligeable, que certains documents internes du MBF font état du ciblage des Juifs comme otages bien avant décembre 1941, enfin, que dès la fin du mois d'octobre 1941, les gaullistes ne sont plus censés figurer sur les listes d'otages. évoquant la proposition faite par le MBF, le 5 décembre 1941, de recourir à des ?déportations-représailles? de Juifs et de communistes vers l'Est, l'auteur minimise par ailleurs les responsabilités de celui-ci en s'appuyant sur les travaux de Barbara Lambauer et sur de simples hypothèses quant au r?le joué dans cette affaire par la Sipo-SD[31] [31] Le lien 233;tabli 224; cette occasion avec l'affaire des synagogues.

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