vous II L'IMPASSEDES SERGENTS. 14 Page 18 Les mille et un fantomes trouverez le corps dans la cave, et, près du corps, dans un sac de plâtre, la tête, quant à moi,conduisezmoi en prison. Il faut que vous veniez, dit le commissaire de Police, Oh , mon Dieu , mon Dieu , s'écria Jacquemin, en proie à la plus effroyableterreur . oh , mon Dieu , mon Dieu , si j'avais su... Eh bien , qu'auraistu fait .pull lacoste pas cher, demanda le commissaire de police, Eh bien , je me serais tué. M. Ledrusecoua la tête, et, s'adressant du regard au commissaire de police, il sembla lui dire, Il y a quelque chose làdessous.Mon ami, repritil en s'adressant aumeurtrier, voyons, expliquemoi cela, à moi. Oui, à vous, tout ce que vous voudrez, monsieur Ledru, demandez, interrogez. Comment se faitil, puisque tu as eule courage de commettre le meurtre, que tu n'aies pas celui de te retrouver en face de ta victime, Il s'est donc passé quelque chose que tu ne nous dis pas. Oh , oui, quelque chose de terrible, Eh bien , voyons, raconte, Oh , non .lacoste pas cherevous diriez que ce n'est pas vrai, vous diriez que je suis fou. N'importe , ques'estil passe, dislemoi. Je vais vous le dire, mais à vous. Il s'approcha de M. Ledru. Les deux gendarmes voulurent le retenir . mais le maire leur fit unsigne, ils laissèrent le prisonnier libre, D'ailleurs, eûtil voulu se sauver, la chose était devenue impossible, la moitié de la population deFontenayauxRoses encombrait la rue de Diane et la GrandeRue, Jacquemin, comme je l'ai dit, s'approcha de l'oreille de M.
To Top