Lacoste Homme pas cher Faute - 0 views

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  #1 opinions1 opinions1 on 28 Feb 15

   

  Ils estiment que la querelle « porte sur l'argent, pas l'idéologie » et finira donc par être surmontée. D'autres, à l'instar du député SPD Karl Lauterbach, plaident pour reporter l'entrée en vigueur de la réforme. Prévue pour 2008, elle a déjà été repoussée d'un an pour ne pas perturber les scrutins régionaux en Hesse et en Bavière notamment. Or, l'année 2009 sera dominée par la campagne pour les législatives. Un nouveau renvoi à 2010, au-delà du scrutin, ôterait cet obstacle, mais signifierait que la « grande coalition » aurait échoué dans un de ses principaux objectifs. LA ROUMANIE, qui intégrera le 1er janvier prochain l'Union européenne, a décidément bien du mal à tourner les pages noires de son histoire. C'est sous les quolibets des ultranationalistes et de la gauche postcommuniste que le président Traian Basescu a condamné hier solennellement le communisme lors d'une séance extraordinaire du Parlement. Lacoste pas cher
  Cette initiative, très chahutée car elle met en cause une large partie de la classe politique actuelle, s'appuie sur un volumineux rapport réalisé par une commission de chercheurs indépendants.Ces travaux couvrent la période 1945-1989. Plusieurs chapitres sont consacrés au rôle joué par la Securitate, l'ancienne police politique communiste. On y trouve notamment une liste d'anciens officiers, tels que Frant Tandara, qui « exerçait ses talents à l'hôpital psychiatrique numéro 9 de Bucarest et s'était vanté d'avoir tué une centaine d'opposants par injection létale ». Plusieurs de ces tortionnaires sont encore en vie et n'ont jamais été inquiétés.L'étude décrit également comment la Securitate recrutait ses informateurs, estimés à plusieurs centaines de milliers, mais aussi ses méthodes de répression qui demeurent en partie d'actualité, comme en témoigne l'affaire Litvinenko. À l'instar du KGB, la Securitate privilégiait en effet l'internement des dissidents dans des hôpitaux psychiatriques et l'empoisonnement (lire encadré). Lacoste Homme pas cher Faute de volonté politique, la Roumanie a longtemps occulté son passé. L'arrivée au pouvoir de Traian Basescu en décembre 2004 a enfin permis d'ouvrir partiellement les archives de la Securitate détenues par les services secrets (SRI), le Service d'information extérieur (SIE) et le ministère de la Justice. Le Conseil national chargé des archives de la Securitate (CNAS) estime cependant que les services secrets retiennent encore quelque 500 000 dossiers. Sa mission est d'autant plus ardue que des fuites orchestrées par des forces obscures s'ingénient régulièrement à brouiller les pistes. La commission commanditée par le président Basescu reconnaît elle-même qu'on lui a mis des bâtons dans les roues. L'accès à un certain nombre de documents lui a été refusé et plusieurs de ses membres ont été calomniés. L'historien franco-roumain Mihnea Berindei a été ainsi accusé sur un site Internet d'avoir collaboré avec la police politique. Lacoste Femme pas cher
  « Mais lorsque j'ai demandé mon dossier au SIE, on m'a répondu qu'il n'existait pas » raconte M. Berindei.Depuis l'entrée de la Roumanie dans l'Otan, les États-Unis pressent les autorités roumaines de faire le ménage au sein des services secrets, qui, selon Marius Oprea, conseiller du premier ministre pour la sécurité, n'auraient subi jusqu'ici qu'une « réforme biologique ». Bon nombre d'anciens « sécuristes » se sont reconvertis dès le début des années 1990 dans les affaires ou dans la politique. Ils continueraient d'entretenir avec la vieille garde des services secrets des liens informels mais étroits. Ces réseaux, de type mafieux, se sont révélés très efficaces l'an dernier pour la libération des trois journalistes roumains détenus en Irak, puis de Florence Aubenas.Cet automne, le SRI et le SIE ont été décapités après la fuite à l'étranger de l'homme d'affaires syrien Omar Hayssam impliqué dans l'enlèvement des trois otages roumains.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Ils estiment que la querelle « porte sur l'argent, pas l'idéologie » et finira donc par être surmontée. D'autres, à l'instar du député SPD Karl Lauterbach, plaident pour reporter l'entrée en vigueur de la réforme. Prévue pour 2008, elle a déjà été repoussée d'un an pour ne pas perturber les scrutins régionaux en Hesse et en Bavière notamment. Or, l'année 2009 sera dominée par la campagne pour les législatives. Un nouveau renvoi à 2010, au-delà du scrutin, ôterait cet obstacle, mais signifierait que la « grande coalition » aurait échoué dans un de ses principaux objectifs. LA ROUMANIE, qui intégrera le 1er janvier prochain l'Union européenne, a décidément bien du mal à tourner les pages noires de son histoire. C'est sous les quolibets des ultranationalistes et de la gauche postcommuniste que le président Traian Basescu a condamné hier solennellement le communisme lors d'une séance extraordinaire du Parlement. <a href="http://www.cda-jazz.fr/" rel="nofollow" title="Lacoste pas cher">Lacoste pas cher</a> <br /> Cette initiative, très chahutée car elle met en cause une large partie de la classe politique actuelle, s'appuie sur un volumineux rapport réalisé par une commission de chercheurs indépendants.Ces travaux couvrent la période 1945-1989. Plusieurs chapitres sont consacrés au rôle joué par la Securitate, l'ancienne police politique communiste. On y trouve notamment une liste d'anciens officiers, tels que Frant Tandara, qui « exerçait ses talents à l'hôpital psychiatrique numéro 9 de Bucarest et s'était vanté d'avoir tué une centaine d'opposants par injection létale ». Plusieurs de ces tortionnaires sont encore en vie et n'ont jamais été inquiétés.L'étude décrit également comment la Securitate recrutait ses informateurs, estimés à plusieurs centaines de milliers, mais aussi ses méthodes de répression qui demeurent en partie d'actualité, comme en témoigne l'affaire Litvinenko. À l'instar du KGB, la Securitate privilégiait en effet l'internement des dissidents dans des hôpitaux psychiatriques et l'empoisonnement (lire encadré). <a href="http://www.cda-jazz.fr/" rel="nofollow" title="Lacoste Homme pas cher">Lacoste Homme pas cher</a> Faute de volonté politique, la Roumanie a longtemps occulté son passé. L'arrivée au pouvoir de Traian Basescu en décembre 2004 a enfin permis d'ouvrir partiellement les archives de la Securitate détenues par les services secrets (SRI), le Service d'information extérieur (SIE) et le ministère de la Justice. Le Conseil national chargé des archives de la Securitate (CNAS) estime cependant que les services secrets retiennent encore quelque 500 000 dossiers. Sa mission est d'autant plus ardue que des fuites orchestrées par des forces obscures s'ingénient régulièrement à brouiller les pistes. La commission commanditée par le président Basescu reconnaît elle-même qu'on lui a mis des bâtons dans les roues. L'accès à un certain nombre de documents lui a été refusé et plusieurs de ses membres ont été calomniés. L'historien franco-roumain Mihnea Berindei a été ainsi accusé sur un site Internet d'avoir collaboré avec la police politique. <a href="http://www.cda-jazz.fr/" rel="nofollow" title="Lacoste Femme pas cher">Lacoste Femme pas cher</a> <br /> « Mais lorsque j'ai demandé mon dossier au SIE, on m'a répondu qu'il n'existait pas » raconte M. Berindei.Depuis l'entrée de la Roumanie dans l'Otan, les États-Unis pressent les autorités roumaines de faire le ménage au sein des services secrets, qui, selon Marius Oprea, conseiller du premier ministre pour la sécurité, n'auraient subi jusqu'ici qu'une « réforme biologique ». Bon nombre d'anciens « sécuristes » se sont reconvertis dès le début des années 1990 dans les affaires ou dans la politique. Ils continueraient d'entretenir avec la vieille garde des services secrets des liens informels mais étroits. Ces réseaux, de type mafieux, se sont révélés très efficaces l'an dernier pour la libération des trois journalistes roumains détenus en Irak, puis de Florence Aubenas.Cet automne, le SRI et le SIE ont été décapités après la fuite à l'étranger de l'homme d'affaires syrien Omar Hayssam impliqué dans l'enlèvement des trois otages roumains.</div>

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