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xcathy147

Kleidung moncler preiswert Il n'en reste - 0 views

started by xcathy147 on 03 Nov 14
  • xcathy147
     
    'exigence de point de vue stable déniée par le train aboutit ainsi à une sorte de schizophrénie du regard.Voilà ce que l'on observe du haut du talus d'Arpley :En regardant vers l'ouest, les hautes cheminées de Runcorn et le chateau d'Halton se distinguent clairement. La vue à partir des ruines de cette ancienne forteresse, détruite dans les guerres civiles, est très étendue ; nous n'avons pas la place ici pour la décrire, mais si nos lecteurs séjournent pour quelque temps à Liverpool, nous ne saurions trop leur conseiller de prendre le bateau à vapeur pour Runcorn, leur assurant une réelle satisfaction à la visite du chateau et de ses environs.[39] [39] « Looking to the westward, the high chimneys at Runcorn,...suitePeinture et paysages en train45 Que le train ait remis en question l'un des fondements de la vision du monde qui l'a précédé, en bouleversant la stabilité du point de vue, est une donnée majeure qui trouve bien entendu des échos dans la peinture de paysage. Kleidung Ralph Lauren Mann
    Puisque c'est avant tout d'une vue picturale du monde qu'il s'agissait, il est naturel de chercher dans la peinture des réponses à ces changements. Or, là comme ailleurs, la confusion règne, et les solutions proposées tendent à contourner le problème plut?t qu'à l'aborder de front.46 En effet, si les représentations du chemin de fer sont relativement nombreuses dans les premières années de son apparition, très rares sont les ?uvres donnant à voir un paysage aper?u du train. Le point de vue est systématiquement hors de la machine, sur une éminence à part. On le constate aussi bien dans les premières grandes séries d'illustrations de chemin de fer, celles effectuées dès 1831 par Thomas Talbot Bury pour la ligne Liverpool-Manchester et les deux célèbres long prints de Isaac Shaw (Travelling on the Manchester and Liverpool Railway en 1831 aussi), que dans les représentations de John Cooke Bourne (Drawings of the London and Birmingham Railway en 1839). à chaque fois, c'est le train qui est représenté, non une vue à partir de lui. Bien entendu, il est possible d'objecter à cela que c'est le train lui-même qui était somme toute la nouveauté, et qu'il était donc logique qu'il soit le centre des représentations. Kleidung moncler preiswert Il n'en reste pas moins que les titres de certains recueils d'illustrations suggèrent eux-mêmes une volonté d'attention portée à l'environnement de la ligne de chemin de fer (ainsi de l'autre recueil d'Isaac Shaw, toujours en 1831, Views of the most interesting Scenery on the […] Liverpool and Manchester Railway), et qu'il est surprenant qu'aucune représentation ne soit jamais faite à partir du train lui-même - lorsqu'il est en mouvement. De même, dans ses Rides on Railways[40] [40] Samuel Sidney, Rides on Railways, London, William S. Orr...suite, Samuel Sidney parsème son ouvrage d'illustrations, toutes prises d'un point de vue extérieur et englobant le train. C'est là, sans doute, un signe de l'embarras des peintres devant les perceptions nouvelles apportées par le chemin de fer. Doudoune North Face pas cher
    Il n'y a pas d'équivalent chez eux des tentatives littéraires de reproduire le regard nouveau que le train permet de porter sur les choses. Ce défi qu'était la représentation de la vitesse en peinture, et l'impossibilité pour la plupart de le relever, se retrouve dans la représentation des trains eux-mêmes, qui, comme l'a bien souligné Michael Freeman, tiennent presque de la nature morte, tant l'engin est rendu de fa?on statique. Ce qui explique que l'intérêt se soit porté le plus souvent sur les infrastructures spectaculaires nées de l'imagination et du travail des ingénieurs:47 Alors que J.C. Bourne produisait ses dessins du Great Western Railway au milieu des années 1840, une iconographie caractéristique du chemin de fer était apparue, centrée sur ses structures statiques par opposition aux trains qui leur passaient dessus. à bien des égards, Bourne a fourni au public des voyageurs des images qu'ils ne pouvaient voir du train lui-même. La vue de la fenêtre d'un wagon pouvait certes offrir aux passagers des panoramas inédits auparavant […], mais la plupart ne pouvaient apprécier les traits précis des structures de la ligne au cours de leur voyage

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