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gilet Lacoste La Serbie - 0 views

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started by opinions1 opinions1 on 21 Jun 14
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    Les Occidentaux réalisent que la liberté dont bénéficient Mladic et Karadzic est une entrave à la normalisation du pays. Ils menacent. Mladic est contraint de se cacher. L'ancien général déménage ensuite à Belgrade. La capitale de la Serbie, où il possède une maison, est jugée plus sûre. Hormis le fait qu'aucune force de l'Otan n'y patrouille, Mladic peut compter sur la bienveillance du président Slobodan Milosevic et sur la protection fournie par ses réseaux de soutien dans l'armée serbe et l'Eglise orthodoxe. On l'aperçoit souvent dans la capitale serbe. Lacoste pas cher femme
    Il dîne dans des restaurants chics, fréquente les matchs de football, se montre à des fêtes d'anniversaire.Nouvelle rupture fin 2000, avec la chute de Milosevic. Les réformateurs accèdent au pouvoir. Ils envisagent une coopération avec le TPI. Après avoir, contre la volonté du président Vojislav Kostunica, extradé Milosevic à La Haye, le premier ministre Zoran Djindjic promet au procureur de lui envoyer Mladic. Il n'en n'aura pas le temps. Il est assassiné en mars 2003, probablement pour avoir, justement, voulu s'en prendre au général bosno-serbe. gilet Lacoste La Serbie entre à nouveau dans un tunnel sombre. Les hommes de Milosevic reviennent au pouvoir, les réformes sont stoppées. Occupés en Afghanistan et en Irak, les Occidentaux délaissent la question des criminels de guerre. Mladic peut à nouveau dormir tranquille. Il partage son temps, dit-on, entre Belgrade, la province serbe et la Republika Srpska, la partie serbe de Bosnie. Cependant, la pugnacité du procureur du TPI Carla Del Ponte, associée aux menaces de sanctions économiques des Etats-Unis usent la détermination des autorités serbes. Del Ponte veut Mladic en décembre 2005, pour les dix ans de Dayton. polo Lacoste feance
    Elle menace de révéler les raisons pour lesquelles les pays occidentaux ont si longtemps traîné des pieds pour arrêter les inculpés.Un levier d'influence sur la SerbieL'Union européenne revient alors dans le jeu. Elle possède enfin un levier d'influence sur la Serbie. Choquée par la diffusion de cassettes vidéo accablantes pour les forces serbes en Bosnie, l'opinion publique a évolué. Elle regarde davantage vers l'Union européenne. Et comprend que le prix à payer passe par le sacrifice de Mladic. Toujours anti-TPI, Kostunica, devenu depuis premier ministre, finit par se résigner au départ du général bosno-serbe à La Haye.

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