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started by opinions1 opinions1 on 05 May 14
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    «Cela nous parle plus que la notion de propriété intellectuelle» développée à l'OMC et dont relèvent ces appellations d'Indication géographique.La Thaïlande dispose depuis avril 2004 d'une loi protégeant les Indications géographiques. Trois produits ont déjà été enregistrés : le pamplemousse de Nakonchaisee, à la chair juteuse et ferme et à la saveur aigre-douce, le tamarin de Petchabun, dont la pulpe est appréciée par les ménagères thaïlandaises, et le riz Hom Mali de Surin, dont le parfum de jasmin est réputé ici. «340 produits sont dans les tiroirs», explique Pajchima Tanasanti. Rallier la Thaïlande à la philosophie européenne des origines contrôlées relevait pourtant de la gageure. Bangkok ne veut froisser ni les Etats-Unis, ni ses partenaires du groupe de Cairns des principaux pays exportateurs de produits agricoles, qui estiment que ces appellations ne sont pas des signes de qualité légitimes et leur préfèrent le système des marques.Mais voilà, le riz est un sujet sensible en Thaïlande. faux oakley radar
    En 1998, Bangkok découvre que RiceTec, un semencier texan, a réussi à modifier le patrimoine génétique du riz au parfum de jasmin et à l'adapter aux conditions climatiques américaines. Ce riz aromatique compte pour 25% des exportations thaïlandaises de riz et rapporte 2,5 millions de dollars par an au pays. «Le gouvernement thaïlandais a obtenu que RiceTec ne dépose pas de brevet. Mais cette affaire nous a servi de leçon. Elle nous a obligés à mettre à jour un arsenal juridique pour protéger notre patrimoine agricole», explique Pajchima Tanasanti. La Thaïlande, royaume de la contrefaçon, découvre la nécessité de lutter contre les imitations.Le président Mahmoud Ahmadinejad laisse planer la menace d'un possible retrait de l'Iran du traité de non-prolifération. faux oakley replica LES IRANIENS, en visite à Moscou, risquent d'être difficiles à convaincre. A J 15 de la prochaine réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Téhéran continue à insister sur son droit d'enrichir l'uranium sur son propre territoire, au risque de se voir imposer des sanctions. La semaine dernière, le président Mahmoud Ahmadinejad laissait même planer la menace d'un possible retrait de l'Iran du traité de non-prolifération. Et si, ce week-end, la République islamique s'est rapidement réjouie d'une proposition qu'aurait faite Mohammad ElBaradei, le chef de l'AIEA, c'est parce qu'elle suggère un enrichissement limité sous la condition d'un contrôle des inspecteurs. «C'est un pas en avant», a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, au cours de sa visite en Tunisie, d'après l'agence IRNA.Si cette proposition se confirme, il n'est pas garanti qu'elle satisfasse les exigences des diplomates occidentaux. Pour l'heure, ils rejettent en bloc l'idée d'autoriser l'Iran à procéder à l'enrichissement d'uranium sur son propre territoire. lunettes ray ban optical center
    C'est pourquoi ils soutiennent fermement la proposition russe, qui serait, pour eux, l'unique garantie que l'Iran ne cherche pas à se doter de la bombe atomique. Le 4 février, les membres du Conseil des gouverneurs de l'AIEA se sont mis mis d'accord pour transmettre «pour information» le dossier iranien au Conseil de sécurité de l'ONU. La réaction de Téhéran ne s'est pas fait attendre : elle a aussitôt repris ses activités dans l'usine de Natanz. Un geste perçu par les Européens et les Américains comme précipité et provocateur dans le contexte actuel.Ce geste a été considéré, à l'inverse, comme légitime et normal du côté de Téhéran. «Après plus de deux ans de suspension de nos activités, nous avons décidé de les relancer dans le domaine de la recherche afin de permettre à nos 4 000 ingénieurs de reprendre leur travail», se justifie Kazem Jalali, le porte-parole iranien de la commission parlementaire en charge des affaires étrangères et des questions de sécurité. A l'impatience croissante des Occidentaux, il répond : «On a signé le TNP il y a bien longtemps.

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