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  #1 xshirely445589 on 04 Jan 15

   

  suite?. Il adhère au discours du Parlement qui affirme avoir la légitimité pour réformer l'état de manière à restaurer l'ordre public. Lorsqu'il décrit le lit de justice du?31?juillet?1648, qui tente de limiter de telles prétentions, ainsi que la médiation de Gaston d'Orléans entre le Conseil et le Parlement, Rosenhane les considère comme des tentatives hypocrites ayant pour but de permettre au ministère de rassembler suffisamment de troupes pour renverser la situation. Rosenhane ne croit pas que la Fronde soit un simple affrontement entre le Parlement et le gouvernement, car il rapporte qu'il y a ?une autre conspiration se tramant parmi les grands personnages de la cour dirigée en grande partie contre la personne du Cardinal?. Il raille les initiatives de Mazarin pour mettre fin aux troubles, notant que ?ceux qui avaient jusqu'à présent loué la prudence du Cardinal sont conduits à se former une autre opinion?, et suggère que les intérêts personnels du ministre en Italie empêchent la France d'aboutir à une paix avec l'Espagne[31] [31] «?Foruthan thenna troublen haffwar 228;lliest en annan... echarpe moncler pas cher
  suite.17 De la même manière, quand la populace parisienne descend dans la rue, Rosenhane lui donne le nom de peuple, terme aussi bien suédois (folket) que fran?ais. Il interprète cet événement comme un soutien au Parlement et émet l'opinion que ?presque toutes les provinces de France sont également mécontentes et se trouvent disposées au changement et à la révolte? [32] [32] «?m228;st all a provincierna h228;r i Frankrike 228;hr malcontent...suite. Bien qu'il regrette le vacarme (buller) produit par les agissements de la population ainsi que ses effets sur la négociation de la paix en Wespthalie et bien qu'il ait entendu des rumeurs indiquant que la paix en Allemagne serait séparée de celle avec l'Espagne, il éprouve néanmoins de la sympathie pour l'intervention de la foule parisienne. sac a main longchamp prix soldes Si, dans ses lettres à Oxenstierna, il déverse son mépris sur les hommes d'état suédois de basse extraction, il analyse les motifs des grands nobles fran?ais et des gens de la cour avec une suspicion prudente. Alors qu'habituellement il applaudit le Parlement pour ses actions avisées et modérées en vue de corriger les erreurs du gouvernement fran?ais, il décrit toujours les princes de sang et les autres grands nobles comme poursuivant leurs intérêts personnels sous le masque de l'intérêt public.18 Il réserve son plus grand mépris à Mazarin, dont l'avidité est de plus en plus per?ue comme la cause unique et essentielle des troubles. Il remarque que19 ?parmi les fautes qui lui sont reprochées et qui nourrissent les récriminations, la principale semble être qu'il a été quelque peu prodigue avec les ressources et les revenus de l'état, et ce qu'il a détourné à son profit reste encore un secret. Mais, de plus, il a protégé ceux qui ont été le plus accusés de ces malversations et il a soutenu que le Parlement et les états ont porté directement atteinte à l'autorité du roi quand ils évoquaient ce sujet[33] [33] «?Men hvad Cardinalen widh kommer, ibland m229;nga andra... Sac vanessa bruno lin pas cher
  suite?.20 Ses lettres vont au-delà d'un simple récit des événements en essayant de comprendre pourquoi et comment l'art de gouverner de Mazarin aboutit à un échec. Dans un compte rendu particulièrement développé, il note que Mazarin a abandonné21 ?les maximes de Richelieu et n'a ni attiré le peuple par des avantages ou des flatteries, ni en se rendant redoutable par sa rigueur... Il est toujours resté, comme disent les Fran?ais, invisible, quand il lui était nécessaire de tenir compte du peuple en lui parlant, ce qui lui a non seulement attiré la haine et le mépris des gens de cour, mais a aussi fait de lui, dans l'opinion des gens du peuple comme de tout le pays, le seul responsable de leurs misères[34] [34] «?Sedan haffuer han warit sui negligens, f246;rm228;ttat..

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">suite?. Il adhère au discours du Parlement qui affirme avoir la légitimité pour réformer l'état de manière à restaurer l'ordre public. Lorsqu'il décrit le lit de justice du?31?juillet?1648, qui tente de limiter de telles prétentions, ainsi que la médiation de Gaston d'Orléans entre le Conseil et le Parlement, Rosenhane les considère comme des tentatives hypocrites ayant pour but de permettre au ministère de rassembler suffisamment de troupes pour renverser la situation. Rosenhane ne croit pas que la Fronde soit un simple affrontement entre le Parlement et le gouvernement, car il rapporte qu'il y a ?une autre conspiration se tramant parmi les grands personnages de la cour dirigée en grande partie contre la personne du Cardinal?. Il raille les initiatives de Mazarin pour mettre fin aux troubles, notant que ?ceux qui avaient jusqu'à présent loué la prudence du Cardinal sont conduits à se former une autre opinion?, et suggère que les intérêts personnels du ministre en Italie empêchent la France d'aboutir à une paix avec l'Espagne[31] [31] &laquo;?Foruthan thenna troublen haffwar 228;lliest en annan... <a href="http://www.agrh2013.fr/doudoune-moncler-longue-homme/" title="echarpe moncler pas cher" rel="nofollow">echarpe moncler pas cher</a> <br /> suite.17 De la même manière, quand la populace parisienne descend dans la rue, Rosenhane lui donne le nom de peuple, terme aussi bien suédois (folket) que fran?ais. Il interprète cet événement comme un soutien au Parlement et émet l'opinion que ?presque toutes les provinces de France sont également mécontentes et se trouvent disposées au changement et à la révolte? [32] [32] &laquo;?m228;st all a provincierna h228;r i Frankrike 228;hr malcontent...suite. Bien qu'il regrette le vacarme (buller) produit par les agissements de la population ainsi que ses effets sur la négociation de la paix en Wespthalie et bien qu'il ait entendu des rumeurs indiquant que la paix en Allemagne serait séparée de celle avec l'Espagne, il éprouve néanmoins de la sympathie pour l'intervention de la foule parisienne. <a href="http://www.arkosmetics.fr/sac-longchamp-xl-pas-cher/" title="sac a main longchamp prix soldes" rel="nofollow">sac a main longchamp prix soldes</a> Si, dans ses lettres à Oxenstierna, il déverse son mépris sur les hommes d'état suédois de basse extraction, il analyse les motifs des grands nobles fran?ais et des gens de la cour avec une suspicion prudente. Alors qu'habituellement il applaudit le Parlement pour ses actions avisées et modérées en vue de corriger les erreurs du gouvernement fran?ais, il décrit toujours les princes de sang et les autres grands nobles comme poursuivant leurs intérêts personnels sous le masque de l'intérêt public.18 Il réserve son plus grand mépris à Mazarin, dont l'avidité est de plus en plus per?ue comme la cause unique et essentielle des troubles. Il remarque que19 ?parmi les fautes qui lui sont reprochées et qui nourrissent les récriminations, la principale semble être qu'il a été quelque peu prodigue avec les ressources et les revenus de l'état, et ce qu'il a détourné à son profit reste encore un secret. Mais, de plus, il a protégé ceux qui ont été le plus accusés de ces malversations et il a soutenu que le Parlement et les états ont porté directement atteinte à l'autorité du roi quand ils évoquaient ce sujet[33] [33] &laquo;?Men hvad Cardinalen widh kommer, ibland m229;nga andra... <a href="http://www.netdentiste.fr/survetement-burberry-pas-cher/" title="Sac vanessa bruno lin pas cher" rel="nofollow">Sac vanessa bruno lin pas cher</a> <br /> suite?.20 Ses lettres vont au-delà d'un simple récit des événements en essayant de comprendre pourquoi et comment l'art de gouverner de Mazarin aboutit à un échec. Dans un compte rendu particulièrement développé, il note que Mazarin a abandonné21 ?les maximes de Richelieu et n'a ni attiré le peuple par des avantages ou des flatteries, ni en se rendant redoutable par sa rigueur... Il est toujours resté, comme disent les Fran?ais, invisible, quand il lui était nécessaire de tenir compte du peuple en lui parlant, ce qui lui a non seulement attiré la haine et le mépris des gens de cour, mais a aussi fait de lui, dans l'opinion des gens du peuple comme de tout le pays, le seul responsable de leurs misères[34] [34] &laquo;?Sedan haffuer han warit sui negligens, f246;rm228;ttat..</div>

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