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doudoune ralph lauren pas cher Certes - 0 views

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started by opinions1 opinions1 on 16 Dec 14
  • opinions1 opinions1
     
    C'est à peine si l'on a pu noter quelques tentatives méritantes, mais vouées à l'échec, de rappeler la primauté du civil sur le militaire. La plus réussie semble avoir été celle d'un milliardaire qui avait des visions mais ne sut faire partager la sienne à ses compatriotes. Rapidement l'armée était intervenue pour réaffirmer le droit à l'égalité de tous les Fidjiens, qui figure dans une Constitution gravée à l'anglaise sur Opale de Rives, avec paragraphes et incipit. On était en 2000 et depuis l'amiral Bainimarama rongeait son frein.Les freins ont lâché. C'est un peu comme si à Paris le président Sarkozy avait enfermé le premier Villepin dans son pavillon de la Lanterne sans lui couper le téléphone. Aussitôt le chef légitime du gouvernement fidjien a prévenu ses collègues du monde entier du mauvais coup qui lui était fait et réquisitionné, toujours par voie des ondes, trois bâtiments de la Marine australienne priés de rétablir l'ordre juste. sweat ralph lauren pas cher
    C'est ici que la diplomatie a pu s'exprimer en toute clarté.Le premier ministre australien, M. John Howard, après avoir examiné le problème au fond d'un verre de whisky, a fait savoir que des échanges de coups de feu entre soldats australiens­ et fidjiens n'étaient pas pour le moment, je le cite, une « perspective désirable ». On dira ce qu'on voudra, c'est le genre de propos qui vient à bout de n'importe quel imbroglio et dont je me permets de recommander l'usage à n'importe quelle personnalité française en voyage dans ces contrées lointaines, voire occupées : Mme Royal bien sûr, mais aussi M. Douste-Blazy notre sympathique ministre des Affaires qui lui restent étrangères. Car à l'intention de ceux qui le trouveraient elliptique, un tiers participant, celui-là premier ministre de Nouvelle-Zélande, a traduit en bon anglais le propos plein de bon sens quoique spéculatif de son homologue de Canberra : « L'amiral Bainimarama a complètement perdu la raison, le pouvoir lui est certainement monté à la tête. Nous nous y attendions depuis longtemps et je ne vois pas ce que nous pourrions y faire. doudoune ralph lauren pas cher »Certes la question de l'égalité des droits entre tous les Fidjiens reste posée. On ignore si elle sera maintenue par le putsch ou odieusement foulée aux pieds dans une perspective antidémocratique. Le volcanique amiral a fait savoir que sa prise du pouvoir ne serait pas permanente. Il reste à déterminer la valeur du permanent et du provisoire aux alentours du 17e parallèle. Mais si on le considère avec le sérieux qui convient, cet épisode devrait servir de conclusion à ce qui s'est passé pendant la tournée triomphale de la candidate socialiste dans une autre région où le provisoire a tout du définitif et où, depuis 1967, personne n'a été fichu de se mettre d'accord sur la façon de traduire exactement les résolutions de l'ONU. Je ne voudrais pas être accusé de prendre inconsidérément parti dans une affaire où, nous l'avons compris, personne n'a entendu ce que dit son voisin, mais je me permets de proposer à tous ceux qui de près ou de loin seront amenés à s'exprimer sur ce genre de sujet le style australien assorti du commentaire néo-zélandais : on verra ça l'année prochaine.La France a-t-elle besoin d'une politique industrielle ? À l'heure de la mondialisation, de la disparition des frontières économiques, de ce « monde plat » qui met toutes les régions de la planète en concurrence, la question peut paraître totalement anachronique. ralph lauren pas cher
    Ce qui valait du temps de Georges Pompidou a-t-il encore un sens ?La question, pourtant, peut difficilement être éludée dans le grand débat qui s'ouvre à l'occasion de la campagne présidentielle. L'industrie française décroche, c'est un fait que vient de rappeler l'Insee. Les fermetures de sites s'accélèrent. Notre tissu industriel souffre. Des filières comme l'automobile sont particulièrement touchées. Dans les régions, des bassins d'emploi meurent à petit feu. Le contraste est frappant entre une industrie française condamnée à rogner ses marges - donc ses capacités d'investissement et de rebond futures - pour survivre et une industrie allemande positionnée sur de meilleurs créneaux, impériale à l'exportation et même prête, après plusieurs années de très grande rigueur, à augmenter les salaires.

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