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doudoune lacoste pas cher Aussi, lorsque trois - 0 views

started by xcathy147 on 13 Nov 14
  • xcathy147
     
    ..suite. Ainsi Godet peut-il justifier la substitution du premier au septième jour de la semaine, expliquer la manière dont le dimanche doit être célébré et appeler les chrétiens à propager son observation.13 Un homme, une théologie, mais il fallait encore que la rencontre ait lieu dans un climat favorable à la naissance d'une vocation?: ce sera l'assemblée de l'Alliance évangélique.14 Le 28 septembre 1861, dans la cathédrale de Genève, à la seconde séance des grandes assises de l'Alliance évangélique, Frédéric Godet présentait son rapport sur le Jour du Seigneur et les meilleurs moyens d'en avancer la sanctification?:15 Vénérés pères et frères, y dit-il, ce jour qui nous rassemble en si grand nombre et de tant de pays divers, dans la ville où Calvin soutint une lutte victorieuse contre tous les genres de libertinisme, ne serait-il pas celui que le Seigneur aurait marqué pour la formation d'une association générale de toute la chrétienté, dont la devise serait?: Gloire au Seigneur?! Respect à son jour?!16 Un récit tardif rapporte ce qui ce serait alors passé?: ?Dans l'auditoire se trouvait Alexandre Lombard?; et comme au sortir de la séance on s'entretenait de ce qu'on venait d'entendre, un Anglais lui frappa sur l'épaule?: "You are the man", lui dit-il, "vous êtes l'homme pour entreprendre une croisade". Ce fut pour Alexandre Lombard l'appel de Dieu? [11] [11] Cit233; par Philippe Godet, Fr233;d233;ric Godet… , op. Trousse longchamp pas cher
    cit. ,...suite.17 Plus s?rement que cette interpellation britannique amicale, on peut tenir pour décisifs dans la prise de conscience de Lombard trois éléments successifs?: ses voyages de banquier à l'étranger, relatés en 1847 dans ses Souvenirs d'Angleterre et d'écosse, et Observations relatives à l'état religieux de ces contrées, lui avaient montré l'importance du respect du dimanche dans ces pays et le r?le que celui-ci pouvait avoir dans leur prospérité. Accueilli en 1858 avec sa famille chez le banquier toulousain Frank Courtois, il re?ut de son h?te en cadeau de bienvenue une des publications de la Société des Livres religieux de Toulouse que Courtois avait fondée?: celle qui tomba entre les mains de Lombard et dont la lecture lui laissa de vives impressions fut le traité du pasteur Timothée Delhorbe intitulé Le Jour du Seigneur, ou le jour du péché. doudoune lacoste pas cher Aussi, lorsque trois ans plus tard Lombard entendit à Genève l'appel lancé par Frédéric Godet, puis les discours qui l'ont suivi des pasteurs Frank Coulin et émile Demole, du révérend Andrew Thomson de l'Alliance dominicale d'écosse, l'idée pouvait s'épanouir pleinement. Mais on peut penser qu'elle ne le put que grace au contexte créé par la conférence évangélique.18 Fruit du piétisme et du revivalisme, l'Alliance évangélique a été fondée à Londres en 1846, pour associer des protestants de différentes dénominations, qui se réclament du double héritage de la Réforme et des Réveils. Rassemblant les délégués de nombreux pays, la conférence de Genève fut l'occasion pour les visiteurs anglais d'exprimer leur triste étonnement devant le relachement manifeste des anciennes habitudes religieuses genevoises et le nombre de travailleurs du dimanche. ?étrange et triste spectacle pour un des berceaux de la Réforme, réputé naguère pour sa vie religieuse?!?, commentera Alexandre Lombard.19 ?Il faut mettre la main à l'?uvre?, se dirent aussit?t quelques Genevois, et avant même la fin des Conférences ils réunirent un petit comité. Mais la bonne volonté ne suffit pas lorsqu'il faut établir les bases de l'action future?: il fallait parvenir à concilier des principes qui, sans diverger sur la sanctification nécessaire de ce jour ni sur la perpétuité de l'institution d'un jour de repos sur sept, différaient quant au r?le que devrait jouer aujourd'hui le quatrième commandement dans la question du dimanche. burberry femme pas cher
    Faute d'accord les tentatives antérieures avaient échoué. Deux doctrines en la matière s'affrontaient?: les uns invoquant la stricte obéissance au commandement de Dieu, les autres se retranchant derrière l'affranchissement opéré par la grace et réclamant les droits de la liberté chrétienne. Il fallait ou concilier les deux points de vue, ou se condamner à l'impuissance et à la noyade dans les flots d'encre que les deux partis alimentaient. La solution fut trouvée?: sur le plan pratique dans l'adoption du principe de l'Alliance évangélique (une alliance entre individus des diverses églises protestantes sur une base doctrinale commune)?; et sur le plan théorique dans la théologie esquissée par Frédéric Godet. Le petit comité parvint ainsi à rédiger un Exposé des principes?: celui-ci fut validé le 3 novembre par une assemblée restreinte choisie parmi les membres influents des églises libre et nationale?; le 17 novembre une assemblée d'une cinquantaine de personnes approuva le texte et constitua un comité définitif dont le pasteur Charles Barde prit la présidence?; le 24 novembre la Société genevoise pour la sanctification du dimanche tenait sa première assemblée générale.Une ?uvre?: les Comités genevois, suisse et international pour la sanctification du dimanche20 Pour évoquer les multiples aspects de l'action de cette Société, laissons-nous guider par les choix des acteurs eux-mêmes, mis en scène dans la carte de membre réalisée pour le Congrès de 1876 reproduite ici.Au centre, la Bible21 La base doctrinale de la Société est simple?: la Bible bien s?r, et trois versets plus particulièrement?: ?Dieu bénit le septième jour et le sanctifia? (Genèse 2?: 3)?; ?Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier? (Exode 20?: 8, le quatrième commandement selon le décompte protestant [12] [12] Le D233;calogue existant en deux versions (Dt 5?: 5-21 et.

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