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started by opinions1 opinions1 on 24 Jul 14
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    Le Parlement a voté avant-hier soir une nouvelle Constitution dans laquelle Belgrade affirme sa souveraineté sur le Kosovo. Elle sera soumise à un référendum fin octobre. Un tribunal de Tbilissi a en effet ordonné le placement en détention provisoire pour deux mois de deux des quatre officiers russes accusés d'espionnage militaire par les autorités géorgiennes. Le procès des deux autres accusés se déroulait hier à Batoumi, à l'ouest du pays.Cette nouvelle crise entre Moscou et Tbilissi a éclaté mercredi lorsque les forces de sécurité géorgiennes ont interpellé quatre officiers russes soupçonnés d'espionnage militaire et de liens avec les organisateurs d'un attentat commis en février 2005, suscitant la colère de Moscou qui a dénoncé des accusations «débiles et inventées». La police géorgienne encercle depuis le siège des forces armées russes à Tbilissi.Appel à la modération. sac ralph laurenDans un geste diplomatique sans précédent malgré les tensions qui opposent les deux pays depuis la sécession des deux régions pro-russes, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, il y a quinze ans, le Kremlin a commencé hier à rapatrier les premiers de plusieurs centaines de ressortissants russes qui doivent quitter le pays. Moscou a également recommandé à ses ressortissants d'éviter de se rendre en Géorgie. Le président Vladimir Poutine, qui se trouve dans la station balnéaire de Sotchi, sur la mer Noire à quelques dizaines de kilomètres de la frontière géorgienne, n'a pour l'instant fait aucune déclaration sur cette crise.Tandis qu'à la demande de la Russie, le Conseil de sécurité de l'ONU devait examiner cette crise du Caucase, l'Otan a appelé hier les deux parties «à la modération et à la désescalade». Le ministre russe de la Défense Serguei Ivanov participait précisément à une réunion ministérielle de l'Alliance atlantique en Slovénie.<p>Le secrétaire américain à la Défense, Donald Rumsfeld, qui avait eu le matin même un entretien avec Serguei Ivanov, a déclaré que la confrontation entre les deux pays était «un sujet d'inquiétude». Washington soutient le régime géorgien, dirigé depuis la «révolution de la rose» de 2004 par Mikheil Saakachvili. casquette ralph lauren Ce dernier s'est rapproché d'un cran de l'Otan le 18 septembre en engageant «un dialogue intensifié». Le Kremlin a toujours déclaré que l'adhésion de la Géorgie à l'Alliance atlantique serait une grave atteinte à ses intérêts.Devant les membres de l'Otan, le ministre russe a accusé sans les nommer des membres récents de l'Alliance en d'autres termes, d'anciens membres du Pacte de Varsovie d'avoir fourni à la Géorgie des armes de fabrication soviétique, alors que, selon lui, ils n'ont pas le droit de revendre ces armes sans l'accord de Moscou. Il a par ailleurs indiqué qu'il avait «exposé aux ministres de l'Otan les faits et le scénario qui pourrait en résulter», sans préciser davantage sa pensée.LES ÉLECTIONS législatives anticipées, qui se tenaient hier en Autriche, ont accouché d'une surprise de taille. Alors que tous les sondages donnaient le parti démocrate-chrétien (ÖVP, centre droit) large vainqueur du scrutin, c'est le parti d'opposition social-démocrate (SPÖ, centre gauche) qui est sorti gagnant. Avec 35,7% des voix contre 34,2% à l'ÖVP, d'après les résultats officiels provisoires. ralph lauren big ponyLe SPÖ décroche ainsi 68 sièges sur les 183 que compte le Parlement, contre 66 pour l'ÖVP.<p>Le chancelier conservateur, Wolfgang Schüssel, a reconnu sa défaite, dès hier soir, et a félicité le chef du SPÖ Alfred Gusenbauer, 46 ans. «Je sais bien que vous n'avez pas le coeur à la fête, moi non plus», a-t-il déclaré devant ses militants. «Il faudrait un petit miracle pour que les choses changent encore», a-t-il ajouté, soulignant qu'il n'avait pas l'intention de se retirer avant la formation du futur gouvernement.<p>Pour Wolfgang Shüssel, cette défaite est un véritable fiasco. À la tête du gouvernement autrichien depuis le 4 février 2000, il avait connu une première réélection triomphale, lors des législatives de novembre 2002, avec 42,3% des voix. La surprise est d'autant plus grande que le chancelier semblait avoir gagné son duel télévisé, le 22 septembre, face au candidat social-démocrate, l'austère Alfred Gusenbauer, pourtant moins à l'aise en public et moins populaire.

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