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"Le corps européen de solidarité est une nouvelle initiative de l'Union européenne qui vise à donner aux jeunes la possibilité de se porter volontaires ou de travailler dans le cadre de projets organisés dans leur pays ou à l'étranger et destinés à aider des communautés et des personnes dans toute l'Europe. Les jeunes qui y participent devront accepter et adhérer à sa mission et ses principes. Vous pouvez vous inscrire à partir de 17 ans, mais vous devez avoir plus de 18 ans pour pouvoir démarrer un projet. La participation aux projets est ouverte jusqu'à l'âge de 30 ans. Au terme d'une simple procédure d'inscription, les participants peuvent être sélectionnés pour prendre part à un large éventail de projets (prévention de catastrophes naturelles, travaux de reconstruction, aide dans des centres de demandeurs d'asile ou assistance sociale auprès de populations dans le besoin, p. ex.). Les projets ont une durée de deux à douze mois. Ils seront menés de manière générale dans les États membres de l'Union européenne."

"Amélie, 25 ans, éducatrice spécialisée, est volontaire en République Démocratique du Congo avec la Délégation Catholique pour la Coopération pour un an. Retrouvez-la dans le Journal d'une jeune volontaire !"

"Ces dernières années, des organisations catholiques envoyant des volontaires à l'international pour des missions longues ont plus de mal à recruter. Conscience écologique, nouveau rapport à l'engagement… les jeunes se montrent moins enclins à sauter le pas d'une aventure au long cours à l'étranger."

"Des miliers de personnes, notamment des jeunes, partent chaque année à l'étranger participer à des programmes de solidarité. Leurs motivations, leurs rôles et leurs statuts se révèlent extrêmement divers."

"À Jakarta (Indonésie), des volontaires internationaux accompagnent l'inclusion professionnelle et sociale de jeunes en situation de grande pauvreté. Récit de Romain Mailliu, parti avec la DCC."

"Adèle Capeyron, jeune infirmière de 25 ans s'est lancée le merveilleux défi de partir une année en Terre Sainte en tant que volontaire de solidarité internationale. Originaire du diocèse de Bordeaux, elle confie quelques jours avant son départ la genèse de son projet."

Diocèses Evry Sur les coopérants de la DCC CS - Vu le 07/11/2012

"Le service de volontariat international des Jésuites de France et de Belgique, crée en 2006 sous le nom de Jeunes volontaires internationaux (JVI) prend un nouveau nom : INIGO. Ceci dans le but « d'accompagner son développement pour une identité plus visible et identifiable », indique le service."

"Venir en aide à ceux qui en ont besoin en donnant un peu de son temps, ou en s'engageant pour plusieurs mois sur le terrain… Les missions humanitaires sont pour les jeunes une formidable occasion de s'épanouir et de découvrir de nouveaux horizons. Et aussi : à télécharger : notre guide 2014 des missions humanitaires. "

"Annick Girardin, secrétaire d'État au développement et à la francophonie, veut arriver à un guichet unique, beaucoup plus lisible."

"Solène Coirier, de Nantes, a 22 ans. Elle est diplômée des métiers de l'animation sociale, socio-éducative et socioculturelle."

"Rencontre avec des jeunes candidats volontaires de la DCC, lors de leur week-end d'orientation et de discernement."

"Chaque année depuis 2011, la Délégation catholique pour la coopération lance un prix de la solidarité internationale pour aider au financement et à l'accompagnement d'un projet étudiant de développement. À partir de mardi 9 avril, les jeunes, organisés en équipe, ont jusqu'à fin mai pour déposer leur dossier."

"À 63 ans, Francis Firmin, fraîchement retraité, s'apprête à partir deux ans en Haïti. Une aventure que cet éducateur sportif a longuement préparée. "

"Ils s'appellent Nicolas, Emilie, Charles et Ambroise et sont confinés sur leur lieu de mission ou rentrés précipitamment en France. Ces quatre jeunes volontaires angevins, partis avec les Missions étrangères de Paris (MEP)ou avec la Délégation catholique pour la coopération (DCC) témoignent de leur situation pendant la crise sanitaire qui frappe la planète depuis plus d'un mois."

A l'occasion de la Journée Internationale des Volontaires, le 5 décembre, France Volontaires dévoile les résultats de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut OpinionWay, en partenariat avec Courrier International, sur le thème : « Les Français et les engagements volontaires et solidaires à l'international ». Ce sondage révèle les désirs d'engagements des Français, les motivations et les freins, ainsi que la manière dont ils répondent aux enjeux sociétaux ici et là-bas. Parmi les principaux enseignements de cette étude : Les Français perçoivent les bénéfices de l'engagement volontaire à l'international, qui permet de créer une société plus solidaire et plus ouverte à autrui. Près d'une personne sur trois s'est d'ailleurs déj̀ engagée personnellement dans une mission de solidaríté, en France ou à l'international. S'ils en avaient l'opportunité, un tiers des Français seraient prêts à s'engager volontairement pour effectuer des missions à l'international, et en particulier les jeunes. Si tous ne sont pas prêts à partir, la majorité des personnes interrogées voient les bénéfices d'accueillir également en France des volontaires d'autres pays et considèrent ce principe de réciprocité dans le volontariat international comme un bon moyen de favoriser la cohésion sociale et l'ouverture de la société. Les personnes prêtes à partir en mission aspirent avant tout à se rendre utiles, et perçoivent les bénéfices sur le plan personnel que ces missions peuvent apporter : une ouverture sur le monde, des compétences professionnelles, un projet de vie... Les individus prêts à s'engager aimeraient avant tout participer à des missions concernant l'accès à l'éducation, les droits de l'homme ou la lutte contre la pauvreté et les inégalités. Le suivi des parcours d'engagement des individus est un élément important : les per

"Un jeune nantais, Olivier Renard, nous dit quelques mots avant de partir en mission à Jérusalem avec la Délégation Catholique à la Coopération."

""L'amour de la Terre doit commencer dès le plus jeune âge pour créer un bon rapport, entre la nature et l'Homme" Afin d'aider à la préservation du patrimoine naturel de Madagascar, aujourd'hui menacé par le réchauffement climatique et la déforestation, le diocèse de Clermont propose d'envoyer des coopérants spécialisés en agroforesterie dans le diocèse d'Antsiranana, à Madagascar, en collaboration avec la DCC (Délégation Catholique pour la Coopération)."

Diocèses Evreux Présentation de D. Odienne, volontaire pour la DCC au Tchad CS - Vu le 06/07/2012

"En septembre 2019, il y a 1 an et demi, je partais pour une mission d'un an au Gabon auprès des Sœurs Salésiennes de Don Bosco. Ma mission consiste à accompagner les sœurs des 4 pays qui composent la Province Afrique Équatoriale (Cameroun, Congo Brazza, Gabon et Guinée Équatoriale) dans la rédaction et la réalisation de leurs projets. En mai 2020, j'ai renouvelé cette mission pour 9 mois supplémentaires, soit jusqu'en mai 2021."