Les syndicalistes se sont pris à imaginer le retour au bercail de milliers de carcasses à losange. Par wagons, camions – ceux qui pénètrent l’usine à vide et repartent à plein –, barges ou péniches. Et des ouvriers, plus nombreux encore qu’aujourd’hui, de désosser des Renault, leurs bébés, les yeux fermés ; trier en initiés les différents métaux, plastiques, verres et textiles ; partager le butin entre les aciéries de Dunkerque, les fonderies de Lorient, Cléon, et autres industries locales (huiles usagées)... et enfin construire d’autres Renault.
Group items matching
in title, tags, annotations or url
1 - 2 of 2
Showing 20▼ items per page