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  #1 tomscheapshoe tomscheapshoe on 17 Dec 14

   

  Je ne reviendrai pas sur cette rumeur, mais je tiens à rappeler que depuis 1995, année de son entrée dans le groupe, la Fnac a toujours livré au moins 5% de croissance annuelle. C'est loin d'être négligeable, alors que la consommation des ménages ne progresse, elle, que d'environ 2 à 2,5% par an. La Fnac possède en outre un réel potentiel de développement à l'échelle européenne, ce qui n'était pas, à mes yeux, le cas du Printemps. En cédant ce grand magasin récemment, nous avons aussi voulu tirer parti du niveau élevé des prix de l'immobilier à Paris.On vous prête l'intention de renforcer le groupe PPR dans le luxe, en procédant à de nouvelles acquisitions, notamment de marques italiennes. Cette perspective est-elle envisageable sans de nouvelles cessions ?Pour moi, le développement de PPR passe davantage par la valorisation du potentiel de nos marques que par des opérations de croissance externe. longchamp pas cher
  Cependant, compte tenu de l'amélioration de nos résultats financiers, nous aurions les moyens de procéder à de nouvelles acquisitions sans toucher au périmètre actuel du groupe. Toutefois, face à telle ou telle opportunité, en France comme à l'étranger, je resterai très serein. Par ailleurs, s'il est vrai que le luxe offre une rentabilité très importante, plus de deux fois supérieure à celle de la distribution, je souhaite préserver un juste équilibre entre nos activités de «mass market», qui positionnent le groupe sur des marchés matures et solides, et le luxe, qui s'apparente à une activité dite de «niches». C'est un marché à la fois très rentable et très volatil, qui implique une part de risque. Chaque nouvelle collection est un pari, de même que l'embauche d'un nouveau designer. Par exemple, quand Nicolas Ghesquière a été nommé directeur artistique de Balenciaga, nous avons fait un pari sur l'avenir. Ce choix est aujourd'hui couronné de succès. sac longchamp pliage pas cher Comment percevez-vous l'avenir du marché du luxe ?C'est un marché très prometteur puisqu'il devrait presque avoir doublé de taille, à l'échelle mondiale, de 2004 à 2014. C'est aussi un marché très récent. Le phénomène de mondialisation du luxe a démarré il y a sept à huit ans, avec l'émergence de nouveaux acteurs très importants comme la Chine, la Russie ou l'Inde. Ces trois pays représentent 18% du marché mondial du luxe, part qui, selon les experts, pourrait atteindre 32% en 2014.La démocratisation du luxe ne risque-t-elle pas d'entraîner sa banalisation ?Si un nombre croissant d'individus dans le monde ont accès aux produits de luxe, ce n'est pas parce que ces derniers sont moins chers et de moins bonne qualité, mais parce que les clients ont davantage de moyens pour se les offrir. Le créneau du luxe très haut de gamme est en développement, à l'échelle de la planète, et constitue un marché à part entière, stratégique à mes yeux : il a un effet d'entraînement évident sur l'ensemble du marché, car il contribue à augmenter la désirabilité d'une marque auprès d'une clientèle plus large. En oubliant cet effet de spirale et en vulgarisant à outrance leurs produits, certaines marques ont perdu de leur attractivité et, oserai-je dire, de leur capacité à faire rêver. sac longchamps bleu pas cher
  .. Chez Gucci, nous sommes particulièrement soucieux de préserver un juste équilibre entre nos produits haut de gamme - séries limités, commandes spéciales... - qui entretiennent l'imaginaire véhiculé par la marque et des produits moins élitistes.Plus abordables ?Sans aucun doute.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Je ne reviendrai pas sur cette rumeur, mais je tiens à rappeler que depuis 1995, année de son entrée dans le groupe, la Fnac a toujours livré au moins 5% de croissance annuelle. C'est loin d'être négligeable, alors que la consommation des ménages ne progresse, elle, que d'environ 2 à 2,5% par an. La Fnac possède en outre un réel potentiel de développement à l'échelle européenne, ce qui n'était pas, à mes yeux, le cas du Printemps. En cédant ce grand magasin récemment, nous avons aussi voulu tirer parti du niveau élevé des prix de l'immobilier à Paris.On vous prête l'intention de renforcer le groupe PPR dans le luxe, en procédant à de nouvelles acquisitions, notamment de marques italiennes. Cette perspective est-elle envisageable sans de nouvelles cessions ?Pour moi, le développement de PPR passe davantage par la valorisation du potentiel de nos marques que par des opérations de croissance externe. <a rel="nofollow" title="longchamp pas cher" href="http://www.jjr-architectures.fr/">longchamp pas cher</a> <br /> Cependant, compte tenu de l'amélioration de nos résultats financiers, nous aurions les moyens de procéder à de nouvelles acquisitions sans toucher au périmètre actuel du groupe. Toutefois, face à telle ou telle opportunité, en France comme à l'étranger, je resterai très serein. Par ailleurs, s'il est vrai que le luxe offre une rentabilité très importante, plus de deux fois supérieure à celle de la distribution, je souhaite préserver un juste équilibre entre nos activités de «mass market», qui positionnent le groupe sur des marchés matures et solides, et le luxe, qui s'apparente à une activité dite de «niches». C'est un marché à la fois très rentable et très volatil, qui implique une part de risque. Chaque nouvelle collection est un pari, de même que l'embauche d'un nouveau designer. Par exemple, quand Nicolas Ghesquière a été nommé directeur artistique de Balenciaga, nous avons fait un pari sur l'avenir. Ce choix est aujourd'hui couronné de succès. <a rel="nofollow" title="sac longchamp pliage pas cher" href="http://www.jjr-architectures.fr/">sac longchamp pliage pas cher</a> Comment percevez-vous l'avenir du marché du luxe ?C'est un marché très prometteur puisqu'il devrait presque avoir doublé de taille, à l'échelle mondiale, de 2004 à 2014. C'est aussi un marché très récent. Le phénomène de mondialisation du luxe a démarré il y a sept à huit ans, avec l'émergence de nouveaux acteurs très importants comme la Chine, la Russie ou l'Inde. Ces trois pays représentent 18% du marché mondial du luxe, part qui, selon les experts, pourrait atteindre 32% en 2014.La démocratisation du luxe ne risque-t-elle pas d'entraîner sa banalisation ?Si un nombre croissant d'individus dans le monde ont accès aux produits de luxe, ce n'est pas parce que ces derniers sont moins chers et de moins bonne qualité, mais parce que les clients ont davantage de moyens pour se les offrir. Le créneau du luxe très haut de gamme est en développement, à l'échelle de la planète, et constitue un marché à part entière, stratégique à mes yeux : il a un effet d'entraînement évident sur l'ensemble du marché, car il contribue à augmenter la désirabilité d'une marque auprès d'une clientèle plus large. En oubliant cet effet de spirale et en vulgarisant à outrance leurs produits, certaines marques ont perdu de leur attractivité et, oserai-je dire, de leur capacité à faire rêver. <a rel="nofollow" title="sac longchamps bleu pas cher" href="http://www.jjr-architectures.fr/">sac longchamps bleu pas cher</a> <br /> .. Chez Gucci, nous sommes particulièrement soucieux de préserver un juste équilibre entre nos produits haut de gamme - séries limités, commandes spéciales... - qui entretiennent l'imaginaire véhiculé par la marque et des produits moins élitistes.Plus abordables ?Sans aucun doute.</div>

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