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started by tomscheapshoe tomscheapshoe on 12 Dec 14
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    Composée à 98 % d'autochtones mélanésiens, l'armée a d'abord renversé le premier gouvernement dirigé par un « Fidjo-Indien » en 1987. Mais elle a aussi empêché le coup d'État de 2000, malgré la mutinerie de certains soldats, pour se poser en garante de la représentativité de toutes les ethnies fidjiennes.La Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA) vient de publier une étude sur le profil des souscripteurs d'assurance en cas de vie. Par rapport à la précédente étude qui date de 2001, le profil du souscripteur marque une double évolution : la baisse de l'âge et du revenu moyens. L'âge moyen de souscription a baissé de trois ans en cinq ans, passant de 54 à 51 ans et les moins de trente ans représentent aujourd'hui 15% des souscripteurs de contrats d'assurance-vie, contre seulement 9% il y a cinq ans. Par ailleurs, les souscripteurs sont moins fortunés, le revenu annuel moyen par ménage étant de 30 000 euros bruts annuels. 43% des soucripteurs à l'assurance-vie déclarent même un revenu annuel inférieur à 20 000 euros. longchamp tour effile
    La retraite comme principale motivation La constitution d'une retraite reste l'objectif prioritaire toutes catégories socio-professionnelles confondues. En effet, 30% des souscripteurs affirment vouloir constituer un complément de retraite, une motivation encore plus forte chez les artisans et commerçants (61%), suivis des exploitants agricoles (49%) et des employés et ouvriers (43%). Si la retraite est la motivation la plus forte chez les 40-49 ans (49%), les moins de trente ans plébiscitent la constitution d'une épargne (43%), quand les seniors pensent avant tout à la transmission d'un capital. Toutes les catégories socio-professionnelles mettent en avant la fiscalité avantageuse, la rentabilité du contrat et un rôle non négligeable du conseiller financier dans leur choix. Ainsi, 25% d'entre eux déclarent que c'est leur conseiller bancaire ou finanacier qui les a poussé à se porter vers l'assurance en cas de vie. (1) Enquête réalisée auprès de 7045 souscripteurs de contrats d'assurance en cas de vie souscrits entre le 1er mars et le 15 mars 2006. Philippe Douste-Blazy l'a répété mercredi matin, la question qui se pose concernant l'Iran porte «sur l'étendue des sanctions, mais il y aura des sanctions» de l'ONU. sac longchamp noir pas cher Reste à savoir lesquelles. Réunis mardi soir à Paris, les Six (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne, plus l'Allemagne) n'ont pas réussi à s'entendre sur le contenu de ces sanctions imposées à l'Iran, qui refuse toujours de stopper son programme d'enrichissement nucléaire. Si les Six sont «tous d'accord sur la nécessité d'adopter une résolution efficace», en effet, la Russie traîne des pieds sur la mise en place concrète de mesures dissuasives à l'égard de Téhéran. «Nous avions espéré que cette discussion nous permettrait d'avancer de manière plutôt considérable et, pour être honnête, ce ne fut pas le cas», regrette un diplomate. Moscou souffle le chaud et le froid Moscou, qui avait fait un pas en fin de semaine dernière, approuvant l'idée d'un embargo sur des technologies ou du matériel utiles aux programmes nucléaire ou de missiles balistiques de l'Iran, a de nouveau reculé mardi soir. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov a jugé «irresponsable» d'envisager des mesures de fermeté contre la République islamique. Selon un diplomate, les autres pays ont fait savoir mardi soir «que pour la crédibilité de notre démarche et pour la crédibilité de la démarche du Conseil, il nous fallait désormais une décision avant la fin de l'année». sac longchamp pas cher
    La volonté de la majorité des pays du groupe est en effet de parvenir à l'unanimité sur de sanctions, même minimes, pour envoyer à Téhéran un message d'unité. Les discussions reprendront à New-York d'ici à la fin de la semaine. Bruxelles ne s'attendait certes pas à une telle vague sentimentale. Nom de code : les «eurocouples». Loin des discussions technocratiques et des désaccords politiques, les relations amoureuses entre jeunes Européens tendent à se multiplier. Car l'ouverture des frontières facilite aussi celle des coeurs. Pour la sociologue Gabrielle Varro, sociologue et chercheur au CNRS, «on a la nette impression d'une augmentation de ce type d'unions même si elles sont difficiles à chiffrer en raison du nombre croissant de personnes vivant en concubinage».

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