Il était clair que c'est un spectacle flamboyant et extraordinaire. Mais après avoir vu tellement de photos statiques, et de vidéos en time-lapse, j'avais l'impression que les aurores ne bougeaient pas rapidement. Il y avait du mouvement, mais c'était lent. Et puis, un peu plus tôt cette année, je suis tombé sur une vidéo qui montrait des aurores bouger en temps réel et j'étais sous le choc. C'était fantastique. Elles vacillent et dansent, et bougent parfois assez rapidement. Pourtant, il est rare de voir ces lumières bouger de cette façon. sac lancel bb Elles sont normalement relativement lentes. Mais le photographe Ole C. Salomonsen a eu de la chance: à Tromsø, en Norvège, entre août et novembre, il a pu saisir de tels moments et les résultats sont spectaculaires. Regardez par vous-même. C'était incroyable, pas vrai? Aux alentours de 3 minutes 30, j'ai eu du mal à respirer, alors qu'il penchait la caméra pour nous montrer une couronne, avec des couleurs en cascade un peu comme de l'encre qui coule. Les aurores polaires sont causées par de rapides particules subatomiques qui viennent du soleil et qui ont été acheminées dans l'atmosphère terrestre par le champ magnétique de notre planète. Cela peut former de longues couches de lumière alors que les particules filent comme des balles et excitent les molécules dans l'air, les forçant à luire. sac lancel bb pas cher A une certaine distance, ces couches ressemblent à des serpentins et des rubans, mais si vous vous trouvez juste dessous, alors vous regardez un phénomène en 3D. C'est comme se coucher sur le sol et regarder en l'air des rideaux balayés par le vent. C'est ça la couronne. Ecarter la mer en deux comme Moïse dans «Exodus», est-ce scientifiquement possible? Moïse qui sépare la mer Rouge en deux: voilà une image à laquelle on va avoir du mal à échapper en ce mois de décembre, entre la sortie cinéma d'Exodus: Gods and Kings, de Ridley Scott, et les inévitables rediffusions télévisées des Dix Commandements de Cecil B. DeMille à l'occasion des fêtes. Si dans ce dernier film, Moïse écartait les eaux en deux murs, Ridley Scott promet quant à lui que les eaux d'Exodus s'effaceront de manière plus réaliste, à la suite d'un tsunami, rapporte The Wall Street Journal. Quoi qu'il en soit, ce phénomène considéré comme un miracle a peut-être une (voire plusieurs) explications scientifiques. lancel pas cher Comme nous l'expliquions déjà sur Slate, une équipe du National Centre For Atmospheric Research de l'Université du Colorado avait effectué en 2010 des simulations du phénomène par ordinateur. Ces dernières auraient permis de découvrir qu'un vent de l'est aurait soufflé pendant 12 heures et aurait pu écarter les eaux en créant un passage d'environ 3 km sur 5, béant pendant quatre heures. La direction supposée de ce vent laisse penser que la séparation des eaux n'aurait pas eu lieu dans la mer Rouge, mais dans le delta du Nil. Carl Drews, auteur du livre Between Migdol and the Sea: Crossing the Red Sea with Faith and Science, qui a dirigé les recherches, expliquait que la traduction originale des termes en hébreu «yam suf» seraient non pas la mer Rouge, mais la «mer des Roseaux». Les investigations archéologiques menées par le chercheur pour retrouver ce lieu donnent à penser qu'il s'agirait du lac de Tanis, situé sur l'une des branches du Nil, rapporte The Washington Post. Carl Drews le décrit: «Un lac saumâtre peu profond, et c'était l'endroit idéal pour que les roseaux de papyrus grandissent. Alors si vous voulez trouver une mer de roseaux, même aujourd'hui, c'est ça.
Elles sont normalement relativement lentes. Mais le photographe Ole C. Salomonsen a eu de la chance: à Tromsø, en Norvège, entre août et novembre, il a pu saisir de tels moments et les résultats sont spectaculaires. Regardez par vous-même. C'était incroyable, pas vrai? Aux alentours de 3 minutes 30, j'ai eu du mal à respirer, alors qu'il penchait la caméra pour nous montrer une couronne, avec des couleurs en cascade un peu comme de l'encre qui coule. Les aurores polaires sont causées par de rapides particules subatomiques qui viennent du soleil et qui ont été acheminées dans l'atmosphère terrestre par le champ magnétique de notre planète. Cela peut former de longues couches de lumière alors que les particules filent comme des balles et excitent les molécules dans l'air, les forçant à luire. sac lancel bb pas cher A une certaine distance, ces couches ressemblent à des serpentins et des rubans, mais si vous vous trouvez juste dessous, alors vous regardez un phénomène en 3D. C'est comme se coucher sur le sol et regarder en l'air des rideaux balayés par le vent. C'est ça la couronne. Ecarter la mer en deux comme Moïse dans «Exodus», est-ce scientifiquement possible? Moïse qui sépare la mer Rouge en deux: voilà une image à laquelle on va avoir du mal à échapper en ce mois de décembre, entre la sortie cinéma d'Exodus: Gods and Kings, de Ridley Scott, et les inévitables rediffusions télévisées des Dix Commandements de Cecil B. DeMille à l'occasion des fêtes. Si dans ce dernier film, Moïse écartait les eaux en deux murs, Ridley Scott promet quant à lui que les eaux d'Exodus s'effaceront de manière plus réaliste, à la suite d'un tsunami, rapporte The Wall Street Journal. Quoi qu'il en soit, ce phénomène considéré comme un miracle a peut-être une (voire plusieurs) explications scientifiques. lancel pas cher
Comme nous l'expliquions déjà sur Slate, une équipe du National Centre For Atmospheric Research de l'Université du Colorado avait effectué en 2010 des simulations du phénomène par ordinateur. Ces dernières auraient permis de découvrir qu'un vent de l'est aurait soufflé pendant 12 heures et aurait pu écarter les eaux en créant un passage d'environ 3 km sur 5, béant pendant quatre heures. La direction supposée de ce vent laisse penser que la séparation des eaux n'aurait pas eu lieu dans la mer Rouge, mais dans le delta du Nil. Carl Drews, auteur du livre Between Migdol and the Sea: Crossing the Red Sea with Faith and Science, qui a dirigé les recherches, expliquait que la traduction originale des termes en hébreu «yam suf» seraient non pas la mer Rouge, mais la «mer des Roseaux». Les investigations archéologiques menées par le chercheur pour retrouver ce lieu donnent à penser qu'il s'agirait du lac de Tanis, situé sur l'une des branches du Nil, rapporte The Washington Post. Carl Drews le décrit: «Un lac saumâtre peu profond, et c'était l'endroit idéal pour que les roseaux de papyrus grandissent. Alors si vous voulez trouver une mer de roseaux, même aujourd'hui, c'est ça.
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