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Gucci Portefeuilles moin cher A peine - 0 views

Gucci Portefeuilles moin cher étuis Ipad

started by tomscheapshoe tomscheapshoe on 17 Jul 14
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    L'alternance n'aura pas lieu en Ouganda PLUS qu'une véritable élection présidentielle, c'est un référendum qui ne dit pas son nom qui se tiendra demain en Ouganda. Malgré ses promesses, Yoweri Museveni, au pouvoir depuis vingt ans, a choisi de briguer un nouveau mandat. La tâche n'a pas été simple. Pour se succéder à lui-même, le président a dû mettre fin au règne sans partage de son parti, le National Resistance Movement (NRM), offrant ainsi à l'Ouganda son premier scrutin multipartite depuis vingt-six ans. Autorisé à se présenter sous ses propres couleurs, celles du Forum for Democratic Change (FDC), Kizza Besigye, le principal opposant, a fait de la chute du «Big Man» son unique objectif. Mais, désormais, même lui ne semble plus trop y croire. Gucci Portefeuilles«La question de la victoire ne se pose même pas. Yoweri Museveni sera réélu honnêtement ou pas et avec une confortable majorité», affirme Andrew Mwenda, l'éditorialiste politique du quotidien Daily Monitor. Une analyse largement partagée à Kampala. Même si les sondages offrent près de 37% des voix à Kizza Besigye et un peu moins de la majorité au président, nul ne s'attend à un second tour. «Les sondages ne sont guère fiables», assure, dans un sourire, un diplomate en poste en Ouganda, qui remarque que l'Etat «n'a même pas prévu de budget» pour un éventuel nouveau vote. Mais «c'est peut-être mieux comme ça», conclut-il.L'espoir des bailleurs de fonds de voir cette élection présidentielle faire de l'Ouganda une véritable démocratie a vite laissé place à la crainte que le pays ne sombre dans la violence. Gucci Portefeuilles moin cher A peine entamée, la campagne électorale s'est en effet transformée en règlements de compte entre les deux principaux rivaux. Museveni et Besigye sont bien plus que de simples opposants aux ambitions contradictoires. Pendant toute la guerre civile qui devait mener le NRM au pouvoir en 1986, Kizza est resté dans l'ombre, tout à la fois conseiller et médecin personnel du mzee («chef», en swahili).Leur fidèle amitié éclate quinze ans plus tard, sur fond de jalousie et d'intrigues de chambres. «Museveni a trahi les idéaux de la révolution pour devenir un dangereux dictateur. Je me devais d'intervenir», affirme aujourd'hui Besigye pour expliquer la rupture et sa fuite, en 2001, en Afrique du Sud. Le président, quant à lui, ne parle plus de son ex-médecin que comme d'un «traître». étuis IpadLe retour triomphal d'exil de Besigye en octobre dernier n'a fait qu'envenimer les choses. «Le régime a alors véritablement eu peur», remarque Ronald Reagan Okumu, le vice-président du FDC. La réplique ne s'est pas fait attendre. Deux semaines plus tard, Besigye était inculpé sous des motifs souvent jugés «fantaisistes» «viol» et «trahison» et emprisonné. Il ne devait être libéré que début janvier. Mais l'opposant reste toujours sous la menace d'une condamnation. «Tout cela a été fait pour m'empêcher de me présenter et de faire campagne», martèle Kizza Besigye.

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