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started by tomscheapshoe tomscheapshoe on 24 Jul 14
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    À six semaines des élections, «nous aurions dû faire les choses correctement car nous allons devoir les refaire», a dit le sénateur républicain Gordon Smith. «Nous devions défendre nos valeurs et créer un exemple inspirant la fierté, pas la honte», a renchéri la démocrate Hillary Clinton.<p>Ph. G. (À Washington)C'EST UN PROJET déjà ancien des groupes armés les plus radicaux : frapper les bases américaines en Irak au moyen d'armes non conventionnelles. Al-Qaida vient de le rendre public, en mettant en ligne sur Internet un enregistrement audio, qui demande aux «pionniers et spécialistes (musulmans) des explosifs et de l'atome» de venir rejoindre la mouvance terroriste dans l'ancienne Mésopotamie. «Nous avons un besoin urgent de vos services, car les bases américaines sont le lieu idéal pour se livrer à des expériences non conventionnelles de guerre sale et biologique», affirme le chef d'al-Qaida, Abou Hamza al-Mouhajer. classic burberry trench coat price<p>La menace du successeur d'Abou Moussab al-Zarqaoui est proférée quelques jours seulement après les déclarations du président de la République Jalal Talabani sur la nécessité d'une présence américaine permanente pour protéger l'Irak.<p>Le message d'al-Qaida demande également à ses partisans d'enlever des Occidentaux pour les échanger contre un responsable religieux égyptien détenu aux États-Unis. «Puisse Allah nous permettre de capturer certains des chiens chrétiens afin de libérer notre Cheikh», déclare Abou Hamza, en référence à Omar Abdel Rahmane, condamné à la prison à vie aux États-Unis en 1996 pour «complot séditieux».<p>Attaques suicides en hausse<p>L'avertissement est pris d'autant plus au sérieux que le modus operandi de nombreux enlèvements a changé. «Al-Qaida, qui dispose de beaucoup d'argent, rachète maintenant les otages occidentaux aux mafias multiples qui les kidnappent, puis les terroristes les égorgent», raconte un expert. C'est ainsi que les quatre diplomates russes, capturés au début de l'été, ont été liquidés ensuite par al-Qaida. La mouvance terroriste compte profiter du début du ramadan pour orchestrer une nouvelle campagne médiatique. classic burberry trench coat sale Dans son message, Abou Hamza donne ainsi le signal d'une «offensive tous azimuts» contre la force multinationale dirigée par les États-Unis. D'ores et déjà, au cours de la première semaine du jeûne, le nombre d'attaques suicides a été le plus élevé depuis le début de la guerre en 2003, reconnaissent des responsables militaires américains.<p>Épicentre de la lutte pour le pouvoir, Bagdad est la plus touchée par ce déferlement de violence, qu'aucun plan sécuritaire n'a pu stopper jusqu'à maintenant. Une capitale où les escadrons de la mort ont commencé à revenir dans certains quartiers, parfois avec l'aide de la police irakienne. Tandis que chaque jour dans le reste du pays, des dizaines de civils sont retrouvés morts. Un pourrissement qui permet à al-Qaida de s'enraciner, fort de l'appui de certaines tribus et d'anciens partisans de Saddam Hussein.<p>Mais 4 000 de ses membres ont tout de même été tués ces trois dernières années en Irak, reconnaît la mouvance terroriste. doudoune burberry femme pas cherD'où «l'amnistie» proposée par Abou Hamza aux chefs tribaux sunnites, qui renonceraient à collaborer avec le gouvernement irakien pour rejoindre les rangs de «la résistance». «En ce mois sacré, je dis aux cheikhs qui se sont rangés aux côtés des traîtres et ont vendu leur religion et leur honneur : nous vous proposons une amnistie totale», leur promet Abou Hamza. Le parapluie des chefs de tribu est indispensable à la survie d'al-Qaida en Irak. Ces derniers mois, les services de sécurité irakiens et jordaniens ont multiplié les pressions pour que les responsables tribaux se désolidarisent des terroristes dans leur bastion de l'ouest du pays. En vain jusqu'à maintenant. Vu de Turquie, le président français a déclenché le premier les hostilités. «Chirac s'obstine : «reconnaissez le génocide arménien», titrait dimanche le quotidien populaire à grand tirage Sabah, commentant ses propos tenus au cours de la visite d'Etat qu'il a effectuée en Arménie.

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