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started by tomscheapshoe tomscheapshoe on 12 Dec 14
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    #1 tomscheapshoe tomscheapshoe on 12 Dec 14
     
    Scaramella affirme également avoir mis en garde Litvinenko : « j'ai reçu plusieurs e-mails d'une source que Litvinenko m'a présentée il y a quelques années, disant que lui et moi étions la cible d'une attention toute particulière de personnes hostiles ». Mais Scaramella doutait de l'authenticité de ces informations : « ces e-mails étaient beaucoup trop détaillés », déclare-t-il, sans donner, justement, de détails. Il aurait pourtant remis à Litvinenko une liste des « cibles » désignées. Un « apprenti 007 » L'italien revient également sur sa rencontre avec Litvinenko au sushi bar Itsu, le 1 novembre. C'est ce jour là que l'ex-espion a été contaminé au polonium 210, une substance radioactive dont on a aussi retrouvé des traces dans l'organisme de Scaramella ainsi qu'au restaurant. Ce dernier ne croit pas que la contamination ait eu lieu durant leur entrevue. « Alexandre était en état d'alerte. echarpe burberry pas cher
    Et moi, j'ai survécu et je me sens bien », déclare-t-il. Un argument peu convaincant : il n'a rien mangé durant le repas… « Je n'aime pas les sushis », justifie Scaramella, contrairement à Litvinenko qui en était, selon lui, friand. Mais la parole de l'italien est à prendre avec des pincettes : l'homme entretient des relations troubles avec bon nombre de services secrets internationaux. CNN cite ainsi un conseiller en sécurité au sénat italien. Selon ce dernier, Scaramella est un « apprenti 007 qui aimerait jouer les premiers rôles alors qu'il ne fait que de la figuration ». Et de rappeler que Scaramella avait ainsi accusé l'actuel chef du gouvernement italien Romano Prodi, d'être un agent infiltré du KGB soviétique. Après s'être désengagée de Centrafrique il y a dix ans, la France est de retour dans ce « ventre mou » de l'Afrique centrale, un peu malgré elle. chemise burberry pas cher En 1997, dans le cadre d'une révision de son dispositif sur le continent noir, Paris avait décidé de fermer les deux bases de Bangui et Bouar. C'était la fin des Efao, les Éléments français d'assistance opérationnelle, quelque 1 400 hommes des armées de terre et de l'air déployés dans l'ancien Oubangui-Chari depuis 1982, à la suite de l'opération « Barracuda ». Un choix qui s'était fait au profit du Tchad, où le dispositif Épervier mis en place en 1986 - du provisoire qui dure - a été maintenu. Ce sont d'ailleurs les avions basés à N'Djamena qui interviennent aujourd'hui dans le nord de la Centrafrique. La coopération militaire avec Bangui a cependant été poursuivie. Depuis le début de l'année 2003, le détachement « Boali » fort de quelque 200 soldats français est déployé en Centrafrique pour restructurer son armée. Vaste programme puisque l'armée centrafricaine est forte de quelque 5 000 hommes dont moins d'un tiers seulement serait réellement en état de combattre. burberry pas cher
    L'opération «Boali» a reçu le renfort d'une centaine d'hommes le 19 novembre, portant les effectifs français à 300 hommes. À vol de Transall, on retrouve les 1 200 soldats français présents au Tchad. Le pays dont la stabilité reste la priorité du jour à Paris.Forte d'environ 3 200 hommes, l'armée fidjienne est l'une des plus petites du monde. Mais ses trois bataillons d'active sont des unités relativement bien entraînées, qui ont servi presque sans interruption dans plusieurs missions de l'ONU, notamment au Liban-Sud et dans le Sinaï. Les militaires jouent un rôle fondamental dans ce petit archipel traversé par des tensions ethniques.Les militaires sont intervenus dans plusieurs coups d'État, généralement sans faire couler le sang.

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