En France, et plus généralement en Europe, le premier diplôme reste primordial. « Un diplômé de l'X se placera mieux qu'un Supélec qui se placera lui-même mieux qu'un universitaire », insiste Jacques Tournut. Cependant, un MBA peut « transformer » le diplôme initial. « Il est clair qu'un MBA n'efface pas le passé, précise Dan Evans, mais il permet de rendre des compétences transférables. » Il permet également, et c'est là son principal atout, de s'exporter à l'étranger où les écoles d'ingénieurs restent encore méconnues. À L'HEURE du turnover à tout-va, certains choisissent pourtant d'ancrer leur carrière dans une seule et même entreprise. C'est le cas de Gabriel Toffani, aujourd'hui directeur délégué de Degrémont SAS, société spécialisée dans le traitement des eaux, qui gravit les échelons de la société depuis seize ans. burberry pas cher authentique Sa pointe d'accent hispanophone explique le reste. Né en Argentine, Gabriel arrive en France à l'âge de 20 ans, et met un peu de temps à trouver sa voix : spécialiste des sciences et technologies de l'eau. Vision plus large « Mon stage de troisième année, je l'ai fait chez Degrémont. Depuis, je n'ai jamais quitté l'entreprise. » Routine ? Loin de là. La carrière de Gabriel Toffani est faite de rebonds. Après un poste très technique chez Ozonia, une filiale, il devient ingénieur d'affaire. burberry pas cher trench La suite de son parcours se fait hors de nos frontières. « Au Caire, d'abord, où j'ai géré une succursale pendant deux ans ; puis au Brésil, pour une courte mission, et enfin au Mexique, où je suis resté cinq ans en tant que président de Degrémont. » De son expérience d'expatrié, il pourrait parler des heures : « Cela donne une vision plus large du métier, des marchés, des clients. » Depuis septembre 2005, Gabriel est de retour à Paris, au siège. « J'ai plus de 350 personnes sous ma direction. » A-t-il troqué sa casquette d'ingénieur contre celle de manager ? « Évidemment, il y a beaucoup de management dans mon quotidien. Mais le côté ingénieur reste omniprésent : je dois prendre des décisions très techniques, suivre la conception et l'exploitation des usines et stations de traitement. burberry pas cher sac Ma formation de spécialiste est donc indispensable. » À 48 ans, Gabriel se dit prêt à « relever de nouveaux défis » pour Degrémont. « APRÈS avoir été juriste au Crédit lyonnais pendant quatre ans, j'étais à la recherche d'une activité qui me laisserait un peu de disponibilité pour épauler mon mari qui se lançait dans l'immobilier. J'ai alors démarré comme responsable pédagogique chez Acadomia avant de passer chef d'agence. Le directeur général, Philippe Coléon, m'a ensuite demandé de me pencher sur Shiva. C'est vraiment lui qui m'a fait croire à l'aventure des services à la personne. Sur ce créneau du ménage, nous voulions reprendre le modèle d'Acadomia et n'être que des mandataires, le particulier étant l'employeur du personnel de maison.
Sa pointe d'accent hispanophone explique le reste. Né en Argentine, Gabriel arrive en France à l'âge de 20 ans, et met un peu de temps à trouver sa voix : spécialiste des sciences et technologies de l'eau. Vision plus large « Mon stage de troisième année, je l'ai fait chez Degrémont. Depuis, je n'ai jamais quitté l'entreprise. » Routine ? Loin de là. La carrière de Gabriel Toffani est faite de rebonds. Après un poste très technique chez Ozonia, une filiale, il devient ingénieur d'affaire. burberry pas cher trench La suite de son parcours se fait hors de nos frontières. « Au Caire, d'abord, où j'ai géré une succursale pendant deux ans ; puis au Brésil, pour une courte mission, et enfin au Mexique, où je suis resté cinq ans en tant que président de Degrémont. » De son expérience d'expatrié, il pourrait parler des heures : « Cela donne une vision plus large du métier, des marchés, des clients. » Depuis septembre 2005, Gabriel est de retour à Paris, au siège. « J'ai plus de 350 personnes sous ma direction. » A-t-il troqué sa casquette d'ingénieur contre celle de manager ? « Évidemment, il y a beaucoup de management dans mon quotidien. Mais le côté ingénieur reste omniprésent : je dois prendre des décisions très techniques, suivre la conception et l'exploitation des usines et stations de traitement. burberry pas cher sac
Ma formation de spécialiste est donc indispensable. » À 48 ans, Gabriel se dit prêt à « relever de nouveaux défis » pour Degrémont. « APRÈS avoir été juriste au Crédit lyonnais pendant quatre ans, j'étais à la recherche d'une activité qui me laisserait un peu de disponibilité pour épauler mon mari qui se lançait dans l'immobilier. J'ai alors démarré comme responsable pédagogique chez Acadomia avant de passer chef d'agence. Le directeur général, Philippe Coléon, m'a ensuite demandé de me pencher sur Shiva. C'est vraiment lui qui m'a fait croire à l'aventure des services à la personne. Sur ce créneau du ménage, nous voulions reprendre le modèle d'Acadomia et n'être que des mandataires, le particulier étant l'employeur du personnel de maison.
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