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started by devueoakleyhomme devueoakleyhomme on 11 Oct 12
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    Le voyage en avion jusqu'à Rome dura si peu de temps que la fatigue n'eut pas le loisir de me submerger. Je pressentais que le vol entre Rome et Atlanta serait une autre histoire, surtout qu'Alice nous avait acheté, une fois encore, des places confortables en première classe. Voilà pourquoi je priai l'hôtesse de m'apporter un Coca. Bella ! me morigéna Edward. Il connaissait ma faible résistance à la caféine. Installée derrière nous, Alice marmottait dans son portable, en pleine conversation avec Jasper. doudoune moncler pas cher
    Je refuse de dormir, protestai-je. Si je ferme les yeux maintenant, des images horribles vont défiler dans ma tête. Je risque d'avoir des cauchemars. II ne discuta pas cette excuse à peu près plausible. C'eût été un moment idéal pour parler et obtenir les réponses dont j'avais besoinsans en avoir très envie cependant. La perspective de ce que je risquais d'entendre m'emplissait déjà de désespoir. moncler pas cher Nous disposions de plusieurs heures devant nous ; il ne pourrait pas m'échapper, dans cet endroit confiné qu'était l'avion. Personne ne nous entendrait, excepté Alice ; il était tard, la plupart des passagers éteignaient les lampes au-dessus de leur siège et demandaient des oreillers à voix basse ; bavarder m'aiderait à lutter contre l'éreintement. Pourtant, manœuvre perverse, je retins mon flot d'interrogations. La fatigue amoindrissait sans doute mes capacités de raisonnement. N'empêche, j'espérais qu'en retardant le moment d'une explication, j'en retirerais quelques heures supplémentaires en sa compagnie, j'obtiendrais une autre nuit, telle Schéhérazade. Bref, je ne cessai de boire des sodas et de lutter contre l'envie même de battre des paupières. doudoune moncler homme pas cher
    De son côté, Edward semblait pleinement satisfait de me serrer dans ses bras, ses doigts caressant encore et encore mon visage. Geste que je lui rendais, incapable de me retenir, alors que je craignais que cela me blesse, plus tard, quand je me retrouverais seule. Il baisait toujours mes cheveux, mon front, mes poignets... mais jamais mes lèvres, ce qui était bien.

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