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A long terme, les technologies de surveillance (la vidéosurveillance notamment) pourraient bien avoir des effets nocifs sur leur développement social, notamment en ce qui concerne leur "attitude à l'égard de la notion de vie privée".

plus les parents surveillent leur enfant, moins celui-ci leur fera confiance.

Fondamentale pour "promouvoir la maîtrise de soi" et le "développement sain" des enfants, la confiance est "sapée par cette surveillance intrusive", constate l'OPC.

Les membres du groupe de travail ne sont, en grande majorité, nullement experts du sujet traité,

Une grande partie des affirmations avancées dans ce rapport sont dénuées de tout fondement scientifique et ne reflètent que les préjugés ou opinions des auteurs.

il apparaît au vu de la littérature scientifique disponible qu'un petit enfant aura toutes les chances de grandir infiniment mieux sans tablette.

Si nous avons inventé les écrans, c’est certainement parce que le support du livre ne suffisait pas à satisfaire nos attentes.

On sous-estime souvent l’importance des révolutions cognitives sur le cerveau lui-même.”

lors que la culture du livre est centrée sur la temporalité et la mémoire, celle du numérique favorise une pensée spatialisée.

les médias se font l'écho d'une autre tendance dans les écoles "alternatives" qui privilégient le travail manuel et interdisent absolument l'usage des ordinateurs

Dans cette école, les enfants apprennent à tricoter, à faire du pain, mais l'usage des ordinateurs est interdit. Pourquoi des parents geeks choisissent-ils ce type d'éducation pour leurs enfants? Que reprochent-ils aux ordinateurs?

Apprendre à se servir de l’ordinateur ne peut donc être la finalité de l’éducation scolaire, car cela instrumentalise la relation aux savoirs. La vraie question, pour l’école, est de savoir à quelles conditions l’usage des technologies numériques peut contribuer à l’émergence de la pensée. En effet, les apprentissages scolaires ne peuvent pas être uniquement techniques, au risque de la perte de sens, et donc de l’ennui, du désintérêt : ils doivent être porteurs de sens et ne pas se contenter d’acquisitions mimétiques.

les jeunes ont soif de voir leurs copains en personne.

Alors si les enfants semblent ne pas pouvoir socialiser, qui donc les parents devraient blâmer? La réponse de cette experte en médias sociaux est fort simple, ils devraient se blâmer eux-mêmes! Pour être plus précis, c’est la société adulte qui a engendré ces habitudes numériques chez les jeunes, entre autres à cause des nombreuses peurs continuellement alimentées par nos médias ainsi que nos systèmes sociaux et politiques.