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Contents contributed and discussions participated by einalem7

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Deux historiens débattent sur la commémoration de 14-18 | La-Croix.com - 5 views

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    Accords et désaccords entre un historien français et son homologue allemand sur le besoin typiquement français de se souvenir, la construction de la sacralisation du "poilu" et mise en perspective avec les autres pays belligérants du conflits.
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Les historiens et la commémoration de la Grande Guerre - 2 views

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    Itw d'Antoine Prost qui en définissant la place du conseil scientifique de la Mission du centenaire dont il est le Président rappelle le rôle de chacun dans cette commémoration à venir : rôle des politiques qui définissent les messages à faire passer et des "historiens" qui "éduquent" et sont garants de la "vérité" sur la guerre dans toutes ses dimensions.
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Pourquoi les Français se passionnent-ils pour 14-18 ? - 1 views

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    Interview et analyse d'Antoine Prost, historien et président du conseil scientifique de la mission du centenaire de 1914-1918.
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« La journée du Poilu » - L'Histoire par l'image - 0 views

  • L’épisode de la bataille de la Marne, au début du mois de septembre 1914, soude les Français derrière leurs combattants. Cependant, la conviction que la guerre était inévitable n’a pas été suivie d’autre effet que la mise en condition psychologique des populations. L’impréparation sur le plan logistique le dispute à l’impossible prévision de l’issue d’un conflit où de gigantesques masses d’hommes se trouvent broyées. Fin 1914, la guerre de mouvement laisse place à la guerre de position, symbolisée par l’enterrement des armées ennemies dans des systèmes de tranchées qui se font face. Désormais durable, quotidienne, non héroïque, cette guerre longue impose la mobilisation de l’ensemble de la société et entraîne la sacralisation de la figure du poilu.
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      contexte historique Sept 1914 : bataille de la Marne fédère les français derrière leurs combattants fin 1914 : à la guerre de mouvement repond une guerre de position qui s'enlise dans  un système de tranchées ennemies quasi face à face  le français prend conscience que la guerre ne va pas être aussi rapide que prévue .... durable,quotidienne et non héroique impose la mobilisation de toute la société derrière ses combattants  entraîne la sacralisation de la figure du poilu
  • Dès les premiers mois du conflit, le mot « poilu » devint d’un usage courant au sens qu’il avait dans l’argot militaire à la fin du XIXe siècle : « courageux », « brave ». Le port de la barbe et de la moustache par les soldats du front participa alors au vif succès que rencontra son emploi pour désigner familièrement le père, le mari, le fils, le frère qui se sacrifie pour les civils de l’arrière
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      origine du "poilu" : l'homme courageux désigne le père, le mari, le fils, le frère  qui se sacrifie pour les civils de l'arrière
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    guerre de position, symbolisée par l'enterrement des armées ennemies dans des systèmes de tranchées qui se font face. Désormais durable, quotidienne, non héroïque, cette guerre longue impose la mobilisation de l'ensemble de la société et entraîne la sacralisation de la figure du poilu."
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Le soldat français et l'expression de la conscience nationale - 1 views

  • représentation est souvent associée au culte de la nation
  • stigmatiser l’Allemagne désignée comme l’ennemie de la liberté et de la démocratie.
  • homme du peuple, héros ordinaire faisant consciemment son métier de soldat par devoir pour la patrie et les siens.
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La photographie et sa place dans le reportage de guerre - 0 views

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      1ere reportages de guerre Guerre de Crimée evolutions techniques de la presse et de la photo qui va devenir un moyen privilégié pour raconter l'histoire du COnflit
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      transforment la notion d guerre et sa perception peinture de bataille représentation académique avec une valeur informative limitée
  • sortent la guerre de l’héroïsme et de l’épopée. L’image photo est avant tout une pensée de l’instant et de l’individu. C’est pourquoi les nouvelles images de la guerre nous montrent d’abord le quotidien du soldat, la matérialité de l’activité guerrière et son temps long : les popotes, les parties de carte, les campements, les marches, les armements…. Cette humanisation de la guerre se trouve également renforcée par l’impression de familiarité suscitée chez le lecteur par la régularité de l’information sur la guerre et avec ceux qui la font.
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  • elles se trouvent subordonnées à l’acte héroïque ou au chef victorieux qui occupent le centre de la composition.
  • la prédispose dès lors aux documents d’archives
  • photographe officiel aux armées est négligeable.
  • émoigner des déterminants propagandistes et idéologiques qui ont présidé à la constitution d’une base d’archives visuelles par l’État. De nombreux clichés sont en effet le produit de mises en scène, longuement préparées, durant lesquelles le photographe n’hésite pas à utiliser des dizaines de figurants bénévoles déguisés tour à tour en soldats, en prisonniers, en espions, en cadavres …et qui parfois, mises bout à bout fabriquent une histoire à la manière de nos romans-photos.
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La photographie du soldat Pilette - 1 views

  • L’interdiction formelle faite par l’armée aux soldats de photographier sur le front est alors une donnée bien établie, mais qui fut enfreinte par bon nombre de reporters amateurs, envers lesquels nous sommes aujourd’hui très reconnaissants de profiter de leur audace.
  • tout le cliché pris sur le vif
  • atmosphère de la zone de combats, la notion même du danger. Ces clichés ont été fort appréciés par les magazines illustrés de l’époque ; neuf titres les publièrent de 1914 à 1918,
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  • ne disposant pas de confidences sur la façon dont opérait René Pilette pour ces instantanés de guerre, nous pourrions émettre l’hypothèse de scènes reconstituées cependant, un caporal devant montrer l’exemple et obéir à ses supérieurs, aurait-il eu la possibilité de demander à ses hommes de recréer des scènes en gaspillant des grenades au risque de leur vie 
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BnF - photographier la guerre - 0 views

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      CONCLUSION sur l'evolution de la photographie de guerre
  • a guerre était un antique sujet de création plastique et l'apparition de la photographie au moment de la guerre de Crimée a constitué une révolution visuelle.
  • Dans les grandes étapes d'une transformation de la vision, on peut distinguer la Première Guerre mondiale, dernière guerre peinte et dessinée, où se mettent en place des médias assurant une large diffusion de la photographie, la guerre d'Espagne à l'occasion de laquelle on assiste au changement du rôle et de la place du reporter-photographe (ce que symbolise Capa), la guerre du Vietnam, où la photographie reste prééminente, et la guerre du Golfe, où elle est confisquée par les militaires et supplantée par la télévision.
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  • combats en mouvement, les blessés graves ou les morts ne figurent pas dans leurs photographies qui n’exploitent pas encore l’instantanéité (à cause des contraintes matérielles) et mettent en scène la guerre à des fins de propagande.
  • ais les dessinateurs-graveurs durent recopier les photos
  • presse ne pouvait pas encore reproduire les photos et que l’on devait passer par la gravure
  • On commence à passer de la vision synthétique et épique du combat représenté par des peintres et graveurs à une vision plus analytique permise par la photographie.
  • meilleure intégration des images, dans le contenu avec le développement des reportages et dans l'offre avec la diversification des genres, l'accroissement des formats et de la pagination
  • explosion de la production artistique et à la montée en puissance de la photographie : photographie aérienne, photographie instantanée, photographie amateur, vues stéréoscopiques, cartes postales, services photographiques des armées...
  • Ce fut au contraire un véritable âge d’or pour les magazines, qui permirent de « voir » la guerre, une guerre sans cadavre français, où les ruines attestaient de la barbarie allemande.
  • Cette vision de propagande fit beaucoup pour le succès du Miroir, de L’Illustration q
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« Le plus grand des photographes de guerre » - 0 views

  • Le photoreportage est non seulement une pratique qui apparaît au début du xxe siècle – et qui se développe massivement dans les années 1930 –, mais il doit également être compris comme une étape supplémentaire dans la quête de crédibilité de la presse d’information en général
  • Les gravures publiées dans les premiers journaux d’actualité illustrés des années 1840 sont présentées comme des vecteurs pédagogiques plus efficaces que le texte – car supposés plus immédiats –, et l’authenticité présumée de la photographie légitime un usage massif au début du xxe siècle. Si l’usage du photo­reportage dans la presse au début du xxe siècle relève de paramètres économiques, culturels et esthétiques, son processus de légitimation s’inscrit dans cette dynamique qui anime la presse d’information
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La section photographique de l'armée et la Grande Guerre - 0 views

  • Dès 1914, l’Allemagne semble maîtriser, sans commune mesure, les possibilités données par la photographie et elle en fait un outil de propagande internationale. En réaction, la France met en place au printemps 1915, la section photographique de l’armée (SPA) destinée à contrer l’action allemande auprès des pays neutres en alimentant les services du ministère des Affaires étrangères. Le ministère de la Guerre fournit des hommes, convoite les photographes et se charge de la censure sur les images
  • fournir des images de propagande aux pays neutres submergés de photographies allemandes
  • fournir des images de propagande aux pays neutres submergés de photographies allemandes
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  • prendre des clichés des monuments classés et endommagés par la guerre,
  • Le ministère de la Guerre reste le commanditaire des reportages et le donneur d’ordres de missions. À l’origine d’une volonté interministérielle, la mise en place et l’existence de la SPA gardent la triple empreinte de ses fondateurs. Si le personnel est militaire ; les locaux 
  • Appareil politique et artistique à diverses facettes, la SPA n’en est pas moins une organisation photographique vouée au fonds d’archives qu’elle constitue. C’est d’ailleurs en reconnaissant la valeur de ce fonds d’images comme fonds d’archives nécessaire à la construction de l’histoire de la guerre mondiale à peine achevée que les pouvoirs politiques permettent à la SPA, perdant alors son appellation, de continuer à faire vivre ses clichés sous la tutelle d’un autre ministère. La vente des clichés ne faiblit pas après la guerre. Les films, comme les photographies, continuent à être diffusés, ils sont là pour témoigner de la fin de la guerre.
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L'apprentissage de l'événement - 0 views

  • C’est tout le rapport entre la photographie et l’information qu’il convient alors de revoir. Sous sa férule, progressivement, les photographies du Miroir passent du statut d’illustration à peine en rapport avec les textes à celui de support des nouvelles, voire de vecteur d’informations absentes du texte
  • Face au manque de documents lié à l’absence de photographes au front, Le Miroir puise dans ses traditions et met en place des concours photographiques récompensés par des sommes élevées, qui modifient la pratique photographique au front. En retour, les clichés que les soldats fournissent au Miroir transforment non seulement son langage photographique mais, plus largement encore, le regard que porte le public sur le premier conflit moderne.
  • Ce conflit sanglant est alors cantonné dans l’optimisme lénifiant des premiers mois de guerre, et les événements d’envergure nationale voire internationale sont réduits à une dimension locale et anecdotique
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  • absence de photographes au front, du moins au début du conflit. Comme à ses débuts, l’hebdomadaire est limité par l’impossibilité photographique d’approcher l’événement. C’est pourquoi les premières images des combats de la Grande Guerre sont des reconstitutions de combats ou des entraînements antérieurs au conflit, totalement figés dans des positions stéréotypées, et bien évidemment sans ennemis ni dangers
  • Les premiers mois du conflit racontent donc tout sauf le front.
  • Aucune intensité émotionnelle ni factuelle n’émerge
  • L’appel aux amateurs apparaît comme la solution permettant d’accéder à un regard neuf sur le conflit.
  • la participation des soldats-photographes à l’information de guerre26.
  • Action, souffrance, mort, les facettes les plus réalistes de la guerre apparaissent soudainement.
  • ertains passionnés sur la piste du document exceptionnel. Le Miroir fabrique donc un statut totalement atypique et conjoncturel, hybride de soldat et de photographe. Ce “proto-photoreporter” témoigne que la Première Guerre mondiale fut un moment à part dans l’histoire du photoreportage de guerre, où le photographe pouvait entrer au cœur de la fournaise puisqu’il en était l’acteur principal.
  • L’événement, saisi dans son essence – la violence – comme dans les multiples aspects de son déroulement, devient désormais le cadre de pensée de l’hebdomadaire. En instaurant les concours photographiques, Le Miroir a insufflé l’esprit du photoreportage à des amateurs qui restent avant tout des soldats. Il s’en est trouvé profondément transformé, inventant des pratiques d’information qui font entrer la photographie dans l’ère de l’émotion. La photographie n’est plus alors un simple miroir de la guerre. En tâtonnant, Le Miroir a découvert le pouvoir intrinsèque des photographies, cette propension à déclencher des émotions particulières, non pas celles que l’on éprouve face à l’événement, mais celle que le lecteur ressent face à son spectacle
  • Première métamorphose, Le Miroir du 4 avril 1912 : le choix du tout photographique. Seconde métamorphose, novembre 1913, adoption de l’héliogravure qui renforce la qualité des documents photographiques et permet au Miroir de se présenter comme « le plus bel illustré français ».
  • Pour ne citer qu’un exemple concernant l’importance de la participation des soldats-reporters à l’information française, Le Pays de France instaure lui aussi un concours photographique hebdomadaire en avril 1915.
  • L’absence des horreurs de la guerre est confirmée par les autres corpus privés, disponibles dans les archives de l’Historial de la Grande Guerre ou publiés :
  • Les premiers mois du conflit racontent donc tout sauf le front. Le Miroir se maintient dans un rapport à l’événement presque totalement lisse
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    Le miroir et la Grande guerre
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Le Miroir - 14-18, une guerre photographique - 2 views

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    Numéros numérisés du Miroir août 1914- décembre 1919 mis en ligne par le musée Nicéphore Niepce
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la premiére guerre mondiale - YouTube - 0 views

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    Numéro de C'est pas sorcier : causes de la guerre
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