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"2200 jeunes des aumôneries étudiantes de France et jeunes professionnels chrétiens n'ont pu vivre le pèlerinage envisagé en Israël, " aux sources de la foi ". Ils le préparaient depuis 2 ans. Parmi eux, cinquante trois jeunes de notre diocèse de Nice. Leur déception ? Renoncer à ce temps de ressourcement de leur foi en Jésus Christ. Oui. Mais plus encore : l'échec de la paix, la victoire de la violence. Le pèlerinage du Pape François ainsi que l'accueil des présidents au Vatican avaient été porteurs d'Espérance. Est-elle morte ? Les évènements en Irak avec l'exode des chrétiens de Mossoul ainsi que celui des chiites ajoutent encore une note de pessimisme."

"À l'occasion de la Toussaint, le temps est favorable pour réfléchir à cette question qui nous concerne tous. Tandis que 35 millions de français vont ces jours-ci honorer leurs morts sur les tombes des cimetières, la progression de la pratique de la crémation vient bousculer la tradition. Qu'en sera-t-il demain ?"

"Sur le bois de la croix, selon l'évangéliste Jean (18, 26-27), voyant sa mère et, près d'elle, le disciple qu'il aimait, Jésus dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : «Voici ta mère.» Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui."

"Nathalie, parisienne, divorcée avec deux enfants, et Didier, marié avec trois enfants, dans le Limousin, ne se connaissent pas mais ont vécu le même chemin de croix. Ils ont voulu se faire débaptiser. Il n'existe pas de véritables statistiques sur le phénomène de débaptisation, mais un site spécialisé a procédé à un décompte minutieux, en Italie notamment. En 2009, environ 15 000 personnes avaient demandé à être débaptisées. De 2009 à 2012, elles étaient 5 000 de plus. D'après La Croix, en France, ils seraient un bon millier chaque année à faire des demandes auprès de leur diocèse en vu d'être débaptisés. Mais qu'est-ce qui les pousse, qu'est-ce qui les entraîne à faire ce geste et qu'est-ce que ça leur coûte en leur âmes et conscience ? Deux histoires ..."

"En ce jour du Seigneur, partout dans nos paroisses la prière et la quête pour nos frères et sœurs de Saint Martin. A St Pierre St Paul, lors d'une belle célébration avec les sœurs de Chartres célébrant le jubilé du départ des premières sœurs au 18ème siècle, nous avons évoqué les deux communautés des religieuses de cette congrégation présentes à St Martin depuis 1855 et à St Barth depuis 1932."

"Le père Freddy Hessou a rejoint Saint-martin la veille du passage de l'ouragan Irma pour pallier à l'absence temporaire de curé sur l'île. Il nous raconte comment se déroule actuellement la vie après la catastrophe."

"Au matin du 6 Septembre, l'ouragan Irma frappait lourdement les îles du nord de la Guadeloupe, et notamment Saint-Martin, île franco-néerlandaise. Mgr Riocreux, évêque de Guadeloupe nous a adressé son témoignage. "

"Depuis mardi, ici en Guadeloupe, à 250 kilomètres des iles du Nord, nous suivons le tragique évènement du passage Irma. Les qualificatifs utilisés dans les média sont forts. Et de fait, d'après les informations reçues, c'est une catastrophe pour ces iles de Saint Martin et Saint Barth, en incluant les autres îles touchées, Barbudas et Porto Rico. "

"Aidons et Prions pour Saint Martin et Saint Barth !"

"Devant l'ampleur des dégâts à Saint Barthélémy et à Saint Martin, iles du nord, les mots manquent en face de cette terrible catastrophe. Informé heure par heure sur le passage de l'ouragan Irma, j'ai pu parler au téléphone avec le Père Rossi ce matin, expliquant les destructions, dont celle du clocher de l'église de Gustavia, capitale de St Barth, 9000 habitants.Saint Martin, île française et hollandaise de 70.000 habitants a été très durement touchée. Et les informations montrent que les populations ont beaucoup souffert. Les trois églises, dont celle de Marigot ont été des lieux d'accueil pendant le passage de l'ouragan."

"Deux semaines après Irma c'est l'ouragan Maria qui frappe actuellement les Caraïbes, menaçant Saint Barthélémy et Saint Martin après avoir ravagé la Dominique et frôlé la Guadeloupe."