L'archevêque de Poitiers, Mgr Pascal Wintzer vient de rentrer de trois semaines au Vatican. Du 7 au 28 octobre, il a participé au Synode des évêques sur la « Nouvelle Evangélisation ». Un rassemblement de 262 cardinaux, patriarches des Eglises orientales et évêques de tous les continents, 45 experts, 49 auditeurs et observateurs des autres églises chrétiennes. Avec Mgr Claude Dagens, évêque d'Angoulême, Mgr Pascal Wintzer, nommé archevêque de Poitiers en janvier, faisait partie d'une délégation de six évêques élus par leurs collègues de toute la France. Un honneur et en même temps une responsabilité.
"Delémont, 18 avril 2014 (Apic) Mgr Albert Rouet a fait salle comble mercredi 16 avril 2014 au Centre Saint-François à Delémont. Invité par le Service du cheminement de la foi, l'archevêque émérite de Poitiers s'est confié durant deux heures sur ses convictions et la foi qui l'anime."
Jouée les 14 et 15 novembre au TAP de Poitiers, la pièce de théâtre Sur le concept du visage du fils de Dieu suscite la colère des catholiques traditionalistes de la région, qui la jugent « blasphématoires ».
"Hier matin, le cardinal André Vingt-Trois a ouvert l'assemblée plénière de la Conférence des évêques de France par son discours d'ouverture évoquant l'élection du pape François suite à la renonciation du pape Benoît XVI. "Voici le temps des héritiers du concile" a-t-il dit. Il a évoqué la nouvelle évangélisation à tous dans une société française en pleine mutation, insistant sur le rappel des valeurs qui préside à la pensée de l'Eglise, notamment dans le débat sur le mariage de deux personnes du même sexe. Il a dénoncé notamment "l'occultation de l'identité sexuelle" et le passage en force de ce projet législatif."
"Le fait est facilement observable : en France les synodes et démarches synodales, dites parasynodales[1], connaissent un véritable renouveau. Il suffit de dénombrer les démarches actuellement en cours pour s'en convaincre : Autun, Bordeaux, Poitiers, Saint-Brieuc, Créteil, Rodez, Nîmes, Évreux et Pamiers qui expérimente un premier e.synode.
Peut-être la démarche consultative autour du synode romain sur la famille[2] a-t-elle démontré, si c'était encore nécessaire, la maturité des communautés chrétiennes pour s'emparer des questions, même les plus complexes. Par ailleurs, la volonté du pape François de mettre au centre de son pontificat la synodalité de l'Église[3], peut également avoir une influence sur la décision des Évêques de convoquer aujourd'hui un synode ou un parasynode.
Plus certainement, la mise à jour des orientations pastorales, rendue nécessaire par les évolutions rapides qui touchent la société et l'Église, impose une très large concertation afin de pouvoir dans un deuxième temps s'appuyer sur l'implication du plus grand nombre lors de la mise en œuvre[4].
A ce titre l'article du professeur Arnaud Join-Lambert[5] dans le numéro de Documents Episcopat de mai 2016[6] dresse un panorama riche et pose des jalons pour l'avenir de la synodalité dans l'Église Catholique de France."
"Il y a un peu plus d'un an, les troupes de Daech prenaient le pouvoir dans des villes du nord de l'Irak et imposaient aux chrétiens, aux yézidis, et aussi à des musulmans n'observant pas leur propre interprétation de l'islam, de se soumettre ou de partir, la mort étant la sanction pour les récalcitrants. Déjà auparavant, la guerre de Syrie avait vu de telles situations."
"Mais le plus grave n'est pas là… Après tout on ne demande pas à des prélats de savoir compter, mais de nous enseigner la Foi, de nous expliquer l'Evangile.
Malheureusement, nous pouvons lire dans le journal Chemins d'Espérance (plusieurs milliers d'exemplaires distribués) en date du mois de septembre un article « peu orthodoxe » d'Eric Brauns du centre théologique de Poitiers sur l'institution des sacrements. On y lit :
« Les sept sacrements de l'Église catholique ont été codifiés au XIIe siècle et, à la Réforme, nos frères protestants les ont ramenés à deux : le baptême et la Cène. Il y aurait encore beaucoup de questions à approfondir mais le temps manque. On demande souvent : les sacrements ont-ils été institués par le Christ ? La réponse est non, à l'exception de l'eucharistie, "
"Ce dimanche 2 novembre 2014, ce fut au tour de la paroisse Sainte-Clotilde de vivre la liturgie de fondation. Les membres des communautés locales de l'ancien secteur « Plaine et Gâtine » étaient nombreux pour accueillir l'évêque et leurs deux nouveaux prêtres : le frère dominicain Manuel Maïcas, nommé curé, et le père André Petit, nommé prêtre coopérateur."
"Après des Lettres pastorales consacrées, pour celles de 2012 et de 2013 à
l'Eglise, au sujet des paroisses puis des prêtr
es, ensuite au monde rural en
2014, ce nouveau texte que je vous propose réfléchit sur le sacrement qui est
l'ordinaire de la vie chrétienne, son ordinaire dans ce qu'il a pourtant de
toujours exceptionnel
: le sacrement de l'Eucharistie"
"our la presse, Noël, au même titre que la rentrée scolaire ou que le chassé-croisé entre juilletistes et aoûtiens, fait partie des marronniers, c'est-à-dire de ces événements dont il faut parler mais dont on n'attend rien de neuf."