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"Chers amis catéchumènes et accompagnateurs, La période de reconfinement nous oblige à nous rencontrer autrement! C'est avec bonheur et gratitude que nous accueillons le Père Laurent Thibord qui nous invite à déposer nos peurs entre les mains de Dieu , à vivre dans la confiance avec le Christ Confiance en ce temps de l'Avent qui s'ouvre à nous où notre Dieu "L'Emmanuel" vient à la rencontre de chacun d'entre nous Confiance en ce temps d'attente vers le Baptême et la Confirmation Confiance en ces temps troublés par l'épidémie de la Covid où certains d'entre nous et de nos proches sont touchés par la maladie, la précarité. Confiance en Dieu, unis les uns aux autres, malgré les violences qui agitent notre monde, tous frères, enfants d'un même Père. Au nom des membres du service diocésain du catéchuménat Odile Coltat"

"Même si les termes ne semblent pas attractifs, il s'agit d'une belle proposition d'une nouvelle expérience à faire dans la confiance. La confiance en Jésus qui veut me parler. La confiance aux autres avec lesquels je vais vivre un temps festif d'animations diverses dans le partage et la joie. La confiance en moi surtout qui balbutie parfois dans le domaine de la prière, de l'écoute, de ma vie intérieure et qui peut craindre d'aller au large avec le Seigneur. Jésus t'invite à le rejoindre sur la colline pour de nouvelles rencontres"

La fête de l'Ascension, c'est la fête de la confiance : Nous fêtons le Christ qui, au moment de rejoindre son Père, fait confiance à ses disciples. Et quelle confiance ! Il leur demande, ni plus ni moins, de poursuivre son œuvre : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples ». Et, en retour, nous fêtons la confiance que les disciples font à l'Esprit Saint que Jésus leur promet et qui fait d'eux ses témoins : « Vous allez recevoir une force quand le Saint Esprit viendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » La fête de l'Ascension ne consiste donc pas d'abord à se demander comment Jésus a pu monter au ciel, mais d'abord à contempler cette folie d'un Dieu qui n'hésite pas à donner à nous autres, pauvres humains, la mission qui était celle de son Fils ! On a comme le sentiment qu'en la fête de l'Ascension, Jésus nous laisse le terrain libre : « je pars, à vous de jouer ! ». Entre Pâques et Pentecôte, nous fêtons le Christ ressuscité qui rejoint son Père dans la Gloire du ciel, confiant à l'homme qu'il est venu sauver la mission d'édifier son Royaume, un Royaume où mal et souffrance seront vaincus. Mais est-ce à dire que nous sommes livrés à nous-mêmes ? Non… Il nous l'a promis : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. »

"Pourquoi faire confiance à Marie ? En cette année mariale confinée, le Père Éric Juretig, responsable diocésain de la catéchèse, nous livre son témoignage. Placer sa confiance en la Vierge Marie, car elle est notre mère spirituelle, qui accompagne et qui protège notre croissance spirituelle, par l'intercession de Jésus Christ. Elle nous apprend aussi à être une bonne mère pour l'enfant de Dieu que nous portons, et pour celui que portent nos frères et sœurs en humanité."

"Une nouveauté pour l'animation de la catéchèse 2015 : retrouvez les aventures des « Théophile ». Quatre enfants en quête de Dieu à voir sur le site internet, dans la vidéo : « Dieu nous fait confiance ». (Petit film en lien avec le parcours « Seigneur tu nous appelles »)"

"e diocèse de Poitiers, comme d'autres, a entièrement remanié l'organisation de ses paroisses, pour donner plus de responsabilités aux laïcs. Une question de confiance pour le peuple de l'Église, appelé à se prendre en main sans attendre que tout soit décidé au sommet. Avec quelques « poches de résistance » par endroits."

"Il n'a jamais été facile d'être parent et chaque époque présente des difficultés particulières. Il faut cependant remarquer qu'en ce qui concerne l'éducation chrétienne, les parents d'aujourd'hui ne sont guère soutenus par le contexte culturel et social. « C'est pourquoi l'Église considère qu'il est de son devoir de contribuer à redonner aux parents confiance dans leurs capacités propres et à les aider à accomplir leur tâche » (1)."

"« Convertissez-vous et croyez à l'Évangile », convertissez-vous, c'est-à-dire croyez à l'Évangile ». Croire à l'Évangile, faire confiance à la Bonne Nouvelle ! Le Christ affronté au mal dans le désert, répond, à chaque tentation, par un verset de l'Ecriture. La Parole de Dieu, accueillie dans la prière, dans l'Eucharistie, à travers des frères rencontrés, est Lumière, Vie, Sagesse pour affronter le quotidien des jours, les drames du monde, les choix à faire dans la vie professionnelle, familiale ou sociale. Oui, nous sommes catholiques, pour beaucoup d'entre nous, par tradition, par culture. Et si ce carême nous aidait à devenir chrétiens, c'est-à-dire habités par la vie du Christ, la Parole du Christ, la confiance au Christ ressuscité qui nous révèle le Père et nous envoie l'Esprit-Saint ?   "

"La Paroisse Saint-Jean aux Portes d'Annecy invite ses paroissiens à vivre un dimanche différemment sur le thème de la confiance"

"Quand on a la foi, que dire à ceux qui ne l'ont pas ? Je voudrais témoigner ici de deux approches sur cette question que je viens de vivre au cours de ce week-end de Pâques. Faire confiance au Christ Lors de la veillée pascale, le pape François a lancé un appel aux non-croyants, leur demandant de s'interroger sur le Christ et "d'accepter de risquer". Comme un parfum du pari de Pascal ?"

"Temps fort pour les enfants en troisième année de catéchisme La troisième année de catéchisme est particulière car « il n'y a rien au bout…» En effet, entre la Première Communion et la Profession de foi, la troisième année semble terne aux enfants et certains arrêtent le catéchisme après la Première Communion. Mais cette année, nous leur avions promis de les surprendre; ils nous ont fait confiance puisque deux seulement ont souhaiter arrêter après leur Première Communion et ce groupe de 26 est très dynamique."

"Un aspect de cette réforme est resté dans l'ombre : celui de la pertinence des interventions de l'après-midi faites par des animateurs inconnus envoyés par des associations non moins inconnues. Comment sont-ils choisis ? Sur quels critères ? Quelle confiance leur accorder ? Je pense à des comédiens improvisés qui sévissaient en mon ancien domicile, idéologisés à mort, sexualistes du premier rang, d'une culture basique empruntée aux modes du moment, n'ayant même pas le bafa qui permettrait au moins de penser qu'ils possèderaient une courte expérience de l'animation auprès des enfants… Une exception parfois, qui n'obligerait personne à la choisir…"

"Une journée riche en catéchèse A Sainte Marie Majeure, Marie, Mère de Dieu, éveille en nous le désir de suivre ses pas Elle nous appelle. Elle a choisi de faire confiance. Elle a dit oui. Elle s'est faite servante. Elle est notre exemple de foi lors de nos missions en Eglise pour proposer la foi aux jeunes. Elle est notamment représentée dans cette magnifique basilique quand elle quitte la terre, dans sa « dormition ». Son fils Jésus tient son âme représentée comme une enfant vêtue de blanc."

"Découvrir ou Redécouvrir les bases de la foi chrétienne sans connaissance préalable juste l'envie de voir. A l'aide d'un apport, d'un échange en toute liberté, expérimenter simplement la confiance du partage dans un petit groupe. Une rencontre par mois environ, avec deux accompagnateurs. Voici les groupes existant, vous pouvez bien sur venir voir. "

"Comment l'enfant peut-il développer son intériorité s'il est agité ou perturbé ? Il a besoin d'un milieu sécurisant offrant repères, écoute et confiance. Telle est la conviction d'Henriette Jeanne-Trapier, thérapeute de l'association Roger-Vittoz."

"Docteure en sciences de l'éducation et animatrice de groupes de créativité, Marie Gilbert vient de publier aux éditions Eyrolles Je fais confiance ! et Je positive !, deux ouvrages préfacés par Jean-Marie Pelt, qui présentent les résultats de ses recherches sur une pédagogie de la réussite. Pour elle, nous avons tout à apprendre de nos enfants, qui savent accueillir le monde tel qu'il est."

"Comment parler de la résurrection du Christ dans une société qui a à peu près perdu toute culture biblique et chrétienne sérieuse  ? La question est grave. On en mesure encore plus l'acuité lorsqu'on s'aperçoit que, selon certains sondages, nombre de chrétiens de nom n'y croient plus  ! Curieusement, on serait prêt à s'intéresser à la métempsycose et à la réincarnation comme des perspectives beaucoup plus plausibles que celle de la foi chrétienne  ! Par ailleurs, on ne peut ignorer une véritable expansion de l'athéisme, associée à un rationalisme issu du matérialisme des Lumières. Au nom de la raison critique, on prétend dissoudre les dogmes à coups d'évidences élémentaires. Sans porter trop de confiance aux statistiques, on ne peut négliger certaines données. Je relève ainsi que, selon l'institut Gallup, la France serait le quatrième pays du monde en nombre de personnes qui se déclarent athées (29 %). Selon le même institut, 37 % des personnes interrogées se considéreraient comme «  religieuses  », tandis que 34 % se déclareraient «  non religieuses  »."

"Voici enfin la reprise du patronage ! Chers jeunes nous seront heureux de vous y retrouvez, chers parents un grand merci pour votre confiance !"

"Le service catéchèse de l'enfance des familles vous propose quelques activités, prières, actions à effectuer avec vos enfants. A travers ces liens que vous pourrez copier-coller sur Internet. Nous sommes conscients que cela peut être inhabituel ou inconfortable. C'est une épreuve collective où malgré tout, nous essayons de nous appuyer sur ce qui est beau, bon, bien autour, et, entre nous. Nous gardons confiance et espérance en Jésus Christ."

"La célébration de la Pâque remonte au temps où Dieu libéra Israël de la main de Pharaon. Cette libération impliqua un exil. Le peuple hébreu dut abandonner tout ce qui lui était familier et se mettre en route. La signification spirituelle de l'évènement devenait évidente : l'esclavage humain était le signe de l'esclavage spirituel, celui dans lequel nous tient le péché. Dieu voulait en délivrer son peuple. Mais pour cela, il fallait que le peuple accepte de tout quitter pour ne suivre que Dieu. Cette libération commença par un repas, un repas que nos frères aînés, les juifs, continuent de célébrer sous forme de mémorial, le Seder de Pessah. Six siècles avant Jésus Christ, le peuple juif connut un autre exil. Il fut déporté par les babyloniens et le Temple de Jérusalem où ils rendaient un culte à Dieu fut détruit. Ils ne pouvaient donc plus offrir les sacrifices prescrits par la loi de Moïse. Alors ils s'interrogèrent sur le sacrifice qui plaît à Dieu et sur la façon de continuer à Lui rendre un culte. La famille et la synagogue devinrent le lieu de la célébration du culte rendu à Dieu. D'une certaine manière, c'est ce qui se passe pour nous. Nous sommes comme exilés, loin de nos églises. Mais c'est une opportunité qui nous est offerte pour que nos maisons, nos foyers (re)deviennent des lieux où l'on prie, où l'on célèbre le Seigneur. Le Concile Vatican II, reprenant l'expression de saint Jean Chrysostome, parlait ainsi des familles comme d'autant de petites églises, d'églises domestiques ! Nous vous proposons ainsi TOUS LES OUTILS À TÉLÉCHARGER CI-DESSOUS pour une semaine de célébrations à vivre à la maison. Le matériel est abondant pour que vous puissiez choisir ce qui vous convient, y compris à l'intérieur d'une célébration. Voici la structure : Les dimanches des rameaux et de Pâques sont structurés comme une célébration du dimanche mais en y incluant un geste. Le