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"Enseignement de Vianney Vendrely, Chargé de Mission Pastorale pour l'Institution Saint-Pierre de Bourg-en-Bresse.   Des textes pour aller plus loin Concile Vatican II, Déclaration sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes : NOSTRA AETATE   En quoi cette déclaration peut-elle enrichir ma vision de l'Église ? Au sein de l'Église, quelle distinction puis-je méditer entre la place d'un catholique, et celle d'un croyant non-chrétien ? À la lecture, suis-je invité à adopter une posture de dialogue interreligieux plutôt exclusiviste, inclusiviste, ou pluraliste ? À ma place, comment puis-je vivre une fraternité véritablement universelle ?   Proposition de bibliographie L'Évangile est le cœur de toute bibliographie, la Parole par excellence vis-à-vis de laquelle les autres textes ne sont que des notes de bas de page. Mais des notes et des témoignages qui peuvent être d'importants guides dans notre relation avec le Christ, « le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14, 6).  Ainsi, n'hésitons pas à relire les documents du Concile Vatican II, tout particulièrement ceux qui permettent de renouveler notre regard sur l'Église, par exemple Gaudium et Spes, Lumen Gentium, Ad Gentes et Dignitatis Humanae.  Par ailleurs, si nous souhaitons découvrir comment la christologie, connaissance du Christ, peut devenir christophanie, manifestation de Sa vie en nous, nous pouvons étudier l'ouvrage de Raimon Panikkar intitulé La plénitude de l'Homme.  Sans oublier les enseignements récents des papes, comme autant de pistes pour notre quête de sens et notre vie de foi dans le monde d'aujourd'hui : Veritatis splendor, Deus caritas est, Laudato si', Gaudete et exsultate, Christus vivit, Fratelli tutti, etc.   Proposition de prière Seigneur Jésus, inonde-moi de ton Esprit et de ta Vie.  Prends possession de tout mon être pour que ma vie ne soit qu'un reflet de la tienne.  Rayonne à travers

"Le Pape François, au terme de la prière du Regina Cœli du dimanche 17 mai, a évoqué, avec affection, la figure de Saint Jean-Paul II alors que l'on célébrera, ce lundi 18 mai 2020, le centenaire de sa naissance. Le Saint-Père a par ailleurs évoqué la reprise des messes sur la péninsule italienne ce lundi 18 mai."

"Le 2 avril 2005, le pape Jean-Paul II remettait en Dieu son dernier souffle. C'était après les premières vêpres du 2ème dimanche de Pâques, autrement appelé dimanche de la miséricorde. Ce dimanche de la miséricorde, c'est lui, Jean-Paul II, qui l'avait institué pour l'église universelle. Il suivait ainsi la demande de Jésus à une religieuse polonaise aujourd'hui canonisée, sainte Faustine. À Jésus était apparu à cette religieuse, montrant son cœur, et Jésus disait : « Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...] La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde.  » En ces temps où le monde souffre et connaît tant d'angoisse, implorons avec insistance le Christ ressuscité de nous accorder largement sa miséricorde. Au milieu de nos épreuves, redisons avec foi : "Jésus, j'ai confiance en Toi"."

"Du 27 au 29 janvier, les Commissions épiscopales pour la catéchèse des différentes conférences épiscopales européennes sont réunies au siège du Conseil Pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, à Rome. Des rapports ont été envoyés au dicastère en vue de cette rencontre et il en ressort « le grand effort catéchiste dans lequel les différentes églises locales sont impliquées », notamment « le service généreux de nombreux catéchistes et la richesse de la réflexion qui se manifeste dans les documents et dans les indications pastorales » dans la lignée du Concile Vatican II et le chemin entrepris avec les encycliques Evangelii nuntiandi (Paul VI), Catechesi tradendae (Jean-Paul II) et Evangelii gaudium (François). Les différents témoignages et récits d'expériences montrent que « là où l'engagement de rendre compte de la foi devient prioritaire dans la vie de l'Église, il est possible d'individualiser des parcours capables de fournir des réponses aux nombreuses personnes qui, encore aujourd'hui, sont à la recherche d'un sens à leur vie ». Comme par exemple « l'engagement toujours plus fort dans les parcours du cathécuménat, où le catéchisme de l'Église catholique est un point de référence ». "

Diocèses Perpignan Evènement sportif de l'AEP, la Catéchèse et l'EC autour de la première pierre de la chapelle Jean-Paul II CS - Vu le 21/03/2012

"Chers frères et sœurs! C'est demain le centenaire de la naissance de saint Jean-Paul II, à Wadowice, en Pologne."

"Jeudi 10 novembre ,dans la dynamique de se retrouver et de partager une journée , une trentaine de catéchistes ont réalisé la" silhouette" du catéchiste 2023…!!! L'intervention du père Martial Leblanc, appuyée sur le Directoire pour la catéchèse, a retracé les origines du Directoire : de Paul VI jusqu'au pape François, en passant par St Jean Paul II, il a évoqué les évolutions progressives."

"L'encyclique de Jean-Paul II sur les taches de la famille chrétienne développe cette mission des parents chrétiens, qualifiée de ministère, et la façon d'y répondre. Un texte de référence pour aujourd'hui encore."

"Il n'y a pas seulement la rentrée des classes, il y a aussi la rentrée du catéchisme, et dans ma tête c'est aussi important. Fides et ratio, la foi et la raison vont ensemble, pour reprendre l'enseignement de Jean-Paul II, prolongé par Benoît XVI, mais aussi notre pape François. Mais si l'école est obligatoire, le catéchisme ne l'est pas. L'organisation ecclésiale repose exclusivement sur le volontariat, ce qui constitue à la fois sa force et sa faiblesse. Sa force, qui nous renvoie à la générosité de tous les agents de la pastorale, sa faiblesse à la difficulté d'établir un maillage qui ne laisse pas à l'abandon des milliers d'enfants, privés de cette parole qui nourrit l'esprit et le cœur. J'ai récemment appris que dans la commune la plus importante du secteur de campagne où je réside durant l'été, pas un enfant n'était inscrit au catéchisme. Il ne faut pas jeter la pierre aux prêtres du secteur qui dépensent sans compter leur énergie sur un espace trop vaste à l'habitat dispersé. Mais le problème est d'ordre national. Même dans le milieu urbain, où les paroisses sont bien visibles et très actives, les statistiques font état d'un recul à mettre en rapport avec la déchristianisation."

"Un évêque, ancien collaborateur à la curie romaine, rencontrait Jean-Paul II après avoir été nommé à la tête d'un diocèse. Le pape l'interroge : « Quel est le plus grand problème dans votre diocèse ? - Oh, Saint-Père, il y en a plusieurs, mais le plus grand, c'est tout de même la conversion de l'évêque ! » Et le pape de répliquer, avec un sourire complice : « Mais alors, c'est comme à Rome ! » Cette anecdote - authentique - répond déjà à la question. Reste à savoir pourquoi il faut sans cesse se convertir."

"Les 27 et 28 novembre, trente ans jour pour jour après la dernière catéchèse de Jean-Paul II sur l'amour humain, l'Institut de théologie du corps de Lyon tient son colloque inaugural. Son objectif ? Former des conférenciers et des formateurs en France."

"'inculturation désigne l'annonce de l'Evangile dans une culture donnée : quasi synonyme de mission, elle est la traduction concrète de l'évangélisation. Selon Jean-Paul II, l'inculturation « signifie une intime transformation des authentiques valeurs culturelles par leur intégration dans le christianisme, et l'enracinement du christianisme dans les diverses cultures humaines »1. Directement liée au réalisme de l'incarnation, l'inculturation est à la fois « l'incarnation de l'Évangile dans les cultures autochtones, et en même temps l'introduction de ces cultures dans la vie de l'Église »2."

"« Lorsque, à 20 ans, je suis entré dans l'Ordre de Saint Dominique, j'ai demandé, comme tout frère dominicain, la Miséricorde de Dieu et celle de mes frères »: dans cet entretien exclusif, Mgr Albert-Marie de Monléon, o.p., évoque le lien entre le dimanche où les nouveaux baptisés - les « néophytes » - de Pâques revêtaient leur vêtement blanc (dimanche « in albis »), et disaient leur gratitude pour le don reçu, et le « dimanche de la Miséricorde » voulu par le Christ et institué par saint Jean-Paul II en ce deuxième dimanche de Pâques."

"En cette semaine de l'Octave Pascal, c'est tous les jours Pâques ! Jusqu'au dimanche de la Divine Miséricorde instituée par le pape Jean-Paul II le 30 avril 2000, jour de la canonisation de sainte Faustine Kowalska. Il est célébré chaque année le dimanche qui suit le dimanche de Pâques. Ce jour est dédié à la Miséricorde divine. "

"Contestant la nouvelle orientation que le pape François entend donner à l'Académie pontificale pour la vie, d'anciens membres ont fondé un autre organisme placé sous le patronage de Jean-Paul II."

"Au lendemain du confinement et de la Pentecôte, deux ans après sa nomination à la tête du diocèse de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé, publie une lettre pastorale intitulée Un grand vent de liberté. Datée du 1er juin 2020, quarantième anniversaire de la visite du Pape Jean-Paul II à Issy-les-Moulineaux (pour y rencontrer les évêques de France réunis au Séminaire Saint-Sulpice), cette lettre ouvre des perspectives missionnaires, à partir de l'expérience du confinement en particulier. Elle se focalise sur trois dimensions de la vie de l'Eglise : la fraternité, l'intériorité et la créativité, tout en insistant aussi sur les vocations et la mission. Jalonnée par des séries de question, elle est destinée à favoriser la réflexion et l'engagement de toutes les forces vives de l'Eglise catholique dans les Hauts de Seine pour les mois qui viennent."

"Pour ce premier épisode, le pôle jeune du diocèse nous propose de méditer sur le thème de la "Miséricorde". Comme l'expliquait Jean-Paul II dans son encyclique "Dieu riche en miséricorde", ce terme pouvait mettre "mal à l'aise l'homme qui, grâce à un développement scientifique et technique inconnu jusqu'ici, est devenu maître de la terre qu'il a soumise et dominée".  Vivre de la Miséricorde est une expérience de vie parsemée de questionnement, de bonheur et peut être un chemin assez long. L'Eglise nous appelle à accomplir ce qu'elle appelle les "oeuvres de miséricorde" et sont au nombres de quatorze: sept "corporelles" et sept "spirituelles". "

"Traditionnellement le beau mois de mai est le mois de Marie dans l'Eglise. Quant au mois d'octobre c'est le mois du Rosaire. Depuis quelques années maintenant il est fréquent d'entendre ou de lire à propos de la prière du chapelet de nombreuses critiques et objections. Le pape Jean-Paul II a largement contribué à inverser cette tendance dans notre Église. Il a toujours affirmé que le Rosaire était sa prière favorite et il a même proclamé une année du Rosaire allant d'octobre 2002 à octobre 2003. A cette occasion il a ajouté aux traditionnels mystères du Rosaire (joyeux, douloureux et glorieux) les mystères lumineux : 1. Le baptême au Jourdain ; 2. Les noces de Cana ; 3. La prédication de Jésus ; 4. La transfiguration et 5. L'institution de l'eucharistie. Ces mystères se méditent plus particulièrement le jeudi.  Très simplement j'aimerais vous proposer quelques réflexions pour vous aider à prier le chapelet de manière fructueuse."

"Méditer l' Écriture avec le chapelet  Le Pape Jean Paul II a publié le 16 octobre 2002, à l'occasion du vingt cinquième anniversaire de son Pontificat, une Lettre Apostolique Intitulée « Rosarium Virginis Mariae » le « Rosaire de la Vierge Marie ». Il a déclaré l'année 2003 « Année du Rosaire ». Il a ajouté aux quinze mystères traditionnels (les cinq Mystères joyeux, les cinq Mystères douloureux, les cinq Mystères glorieux) cinq nouveaux Mystères, qu'il appelle « les Mystères lumineux », « les Mystères de lumière » (le baptême de Jésus, les noces de Cana, l'annonce du Règne de Dieu, la Transfiguration, l'institution de l'Eucharistie). Il conseille de les méditer avec Marie le jeudi de chaque semaine."

"Mgr Vincenzo Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie et grand chancelier de l'Institut Jean Paul II, sera en direct de Rome, pour la leçon inaugurale du début d'année à l'INSR de Caen et Rouen sur le thème : « Familles et paroisses, partenaires de la formation intégrale de la personne humaine, à la lumière de l'enseignement du Pape François »."