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extrait OF : Solde d'emplois positif en 2011 La Bretagne a continué à créer des emplois en nombre suffisant pour compenser largement les suppressions. Avec 3 414 emplois créés en 2011 (soit 0,48 % de sa population active), la Bretagne se place en 6e position des régions les plus créatrices d'emplois, après l'Ile-de-France, les Pays de la Loire… A noter d'ailleurs que les régions les plus performantes dans les services et dans l'industrie se situent à l'Ouest. À l'inverse, les régions de l'Est (à l'exception du Nord-Pas-de-Calais) sont celles qui ont créé le moins d'emplois par rapport à leur population active, selon la 3e enquête annuelle effectuée par le cabinet FIE (France industrie emploi). L'agroalimentaire à la peine À l'inverse, la Bretagne figure aussi parmi les cinq régions qui ont le plus subi de destructions d'emplois : 2 019 emplois, très exactement, y ont été supprimés en 2011, soit 0,28 % de la population active. Précision importante, cette enquête ne porte que sur les emplois en CDI des entreprises de l'industrie et des services de plus de 10 salariés. Un nombre en très nette hausse, par rapport à 2010, qui viendrait principalement des emplois supprimés dans le Morbihan, « dans les PME de l'agroalimentaire, de la construction et de la sous-traitance industrielle ». FIE y constate, de plus, « le projet de destruction emblématique dans le secteur des équipements solaires (NiuSolar) ». En cause, les exportations des entreprises agroalimentaires, traditionnellement excédentaires, stagnent voire régressent. La hausse des coûts des matières premières, ainsi que les contraintes réglementaires, notamment en matière de protection de l'environnement, obèrent la trésorerie des entreprises de la filière, ce qui contraint certaines à se restructurer et à supprimer des postes. Fort heureusement, malgré ce repli subi l'an dernier par l'agroalimentaire, le solde net entre le nom

voir resumé http://veilleagri.hautetfort.com/ Le chiffre d'affaires des produits bio devrait atteindre 4,1 milliards d'euros en 2012, soit 2,4% de la consommation alimentaire française. Leur progression ralentit, passant de 10% par an à 5% en 2012. De 38% en 2009, la part (en valeur) des produits bio « importés » consommés en France est passée sous la barre des 30% en 2012. A présent, 80% des consommateur de bio achètent leurs produits en GMS (contre 65% en 2011).

+ article de la lettre éco : Finances - BA Systèmes à Mordelles (35) maintient une croissance annuelle de 20% Cette année, le spécialiste des chariots automatiques pour l'industrie et la logistique réalisera un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros, il a multiplié ses effectifs par 3 en six ans et vient d'investir 2,3 millions dans l'extension de son usine et de ses bureaux. Son dirigeant, Jean-Luc Thomé, évoque une possible implantation aux Etats-Unis à moyen terme. BA Systèmes continue de très bien se porter. L'entreprise de conception et de fabrication de chariots automatiques sans fil pour l'industrie, la logistique, le portuaire (nouveau créneau), annonce un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros en 2015, en hausse de 20%. Cette croissance sera maintenue l'an prochain. Le développement très soutenu du groupe qui a triplé ses effectifs en six ans pour atteindre 180 salariés ( il continue de recruter) se traduit par un investissement de 2,3 millions d'euros à Mordelles (35) au siège social du groupe. Il a construit 3 000 m² supplémentaires de surfaces industrielles complétées par 800 m² de bureaux. La croissance de BA Systèmes, indique Jean-Luc Thomé, son P-DG et principal actionnaire, est forte en France compte-tenu de la demande des groupes notamment de distribution en moyens de logistique mais aussi à l'étranger. Une réflexion est engagée par Jean-Luc Thomé sur une éventuelle implantation en Amérique du Nord à moyen terme. Chaque année, BA Systèmes réalise et assemble 150 robots automatiques. Sa filiale BA Healthcare spécialisée dans la robotique médicale emploie 20 personnes pour 4 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, elle développe et fabrique le robot Discovery pour General Electric. BA Systèmes

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evient en détail sur les candidatures des 15 métropoles françaises. Un label qui permettra d'utiliser la marque French Tech et qui donnera accès à des subventions pour des opérations d'attractivité internationale et la création de FabLabs. Le but : mettre en réseau les écosystèmes… C'est d'ailleurs finalement la principale vertu du processus : avoir remis en discussion des gens qui ne se parlaient plus !((Reste les problèmes, l'accélération de la mise en concurrence des territoires, la carence en capital risque…

L'Economist Intelligence Unit, en partenariat avec l'entreprise DuPont, a construit un Index de sécurité alimentaire (Global Food Security Index) entendue au sens large, recouvrant les notions d'accessibilité (en termes de prix) et de disponibilité des produits, ainsi que de qualité sanitaire et nutritionnelle. L'accessibilité comprend ainsi, entre autres, la part de budget consacrée à l'alimentation et les prix des produits alimentaires importés. La disponibilité est mesurée par la dépense publique en recherche et développement dans l'agriculture, l'état des stocks ou encore des infrastructures. Quant à la qualité, elle est reflétée notamment par l'existence de normes nutritionnelles, la disponibilité en micronutriments et le degré de diversification des régimes alimentaires. Au total, 25 indicateurs ont été documentés et 105 pays classés selon cet Index. La France se situe à la 4e place de l'index global et à la 2e place pour la qualité sanitaire et nutritionnelle.

L'ORESB présente sa première analyse comparative sur 3 promotions de docteurs. Cette étude porte sur les diplômés ayant soutenu leur thèse en Bretagne entre 2005 et 2007. 3 ans après leur Doctorat, plus de 9 docteurs sur 10 exercent une activité professionnelle. Mais la crise économique de 2008 a entraîné des différences dans l'insertion professionnelle des 3 promotions étudiées. En effet, le taux d'emploi des docteurs 2007 est moindre (90,5%) par rapport aux 2 promotions précédentes (93%). De même, les docteurs 2007 sont moins nombreux à exercer un emploi « stable » à temps complet et au statut de «Cadre et Profession Intellectuelle Supérieure » (58% contre 63,5% chez les diplômés 2005 et 63% chez les 2006). Malgré ses obstacles conjoncturels, certaines caractéristiques de l'emploi restent proches d'une promotion à l'autre. Ainsi, les emplois « stables » approchent voire dépassent légèrement les 70%. Il en est de même pour la durée du temps de travail : au moins 95% des docteurs sont à temps complet. Enfin, le salaire net mensuel médian reste stable, variant au maximum de 60 €. Dans chaque promotion, plus de 3 diplômés sur 10 travaillent en Bretagne au moment de l'enquête, soit 3 ans après l'obtention du Doctorat.

"Biotechnologie : Dupont Danisco investit pour le marché médical E-lettre api du 17/09/14 Récupérez ces contacts Le site Dupont Danisco de Landerneau 29 - Dupont Danisco vient d'installer une nouvelle ligne de production sur son site de Landerneau, dédié à la transformation des algues. Encore en phase d'essais, la ligne sera opérationnelle d'ici à 2015. L'objectif de cet investissement d'environ 10 M€ ? Augmenter les capacités de production et capter de nouveaux marchés. Entièrement modernisée et agrandie de 400 m2, l'usine est depuis juin certifiée par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. Cela permet au site de fabriquer une gamme de produits à usage pharmaceutique, destinés, par exemple, au marché du reflux anti-gastrique. 17 emplois créés Jusqu'alors, les alginates transformées étaient destinées à des applications alimentaires, cosmétiques et des excipients pharmaceutiques. L'agroalimentaire représente 90 % des débouchés actuels du site. « Cette nouvelle ligne de fabrication nous a également permis de créer 17 postes », indique Erick Marec, directeur du site de Landerneau (67 salariés). Deux postes sont encore à pourvoir. La société a été soutenue via une avance remboursable de 300 k€ de la région Bretagne et une aide de 71 500 € du conseil général du Finistère. Le site de Landerneau dépend du groupe Dupont depuis le rachat en 2012 de Danisco, société danoise d'ingrédients agroalimentaires. Dupont (36 Mds€ de CA en 2013) emploie 60 000 salariés dans 90 pays, dont 1 800 en France."

"Fermentalg : Les micro-algues de la jeune entreprise pourraient avoir de multiples débouchés. Partager Plus Libourne Gironde Envoyer à un ami Imprimer Partager Facebook Twitter Stubleupon Digg Myspace Delicious Live G bookmarks Reddit Linkedin Pour développer ses produits innovants, Fermentalg, numéro un européen de micro-algues, vient de lever 5 millions auprès de deux investisseurs : Demeter Partners, spécialiste du financement des éco-industries, et ACE Management. Déjà financée par le fonds Emertec et accompagnée par CEA Investissement, Aquitaine Création Investissement et le groupe pétrolier Picoty, Fermentalg sélectionne et cultive depuis 2009, à Libourne, des souches de micro-algues « hétérotrophes » ou « mixotrophes », c'est-à-dire qui ne nécessitent pas ou peu de lumière, mais qui permettent d'obtenir des rendements de 100 à 1 000 fois supérieurs à ceux des cultures traditionnelles « autotrophes », en plein air et en plein soleil. Le comportement des molécules créées est étudié par paliers dans des structures de plus en plus volumineuses, avant de passer au stade industriel. Les fonds déjà levés et à lever devraient permettre à la société de s'attaquer à différents marchés. D'ores et déjà, Fermentalg compte se lancer dans la production de biomasse pour l'aquaculture et, en suivant, dans les compléments alimentaires. Au long des dix années à venir, la cosmétique, les bioplastiques, et - qui sait - le biodiesel pourraient suivre. Libourne · Gironde

Faire bref et ne pas hésiter à compléter avec : "Après le rachat du danois SKF Food en 2014, Solina reprend la division arômes du finlandais Paulig Group (150 salariés), fournisseur de mélanges, épices, herbes et marinades pour l'industrie de la viande. Avec cette acquisition, le groupe breton spécialisé dans les solutions aromatiques pour l'industrie agroalimentaire augmente sa présence dans les pays nordiques et en Russie. Paulig group est présenté comme un partenaire stratégique pour Solina. En forte croissance (170 M€ de CA en 2012, 181 M€ en 2013, 250 M€ de CA en 2014), Solina ambitionne de doubler son chiffre d'affaires d'ici à 5 ans pour atteindre 500 M€. Le groupe emploie 800 salariés. Il compte 10 sites de production dont celui de Bréal-sous-Montfort, qui s'étend sur 10 000m2 et dans lequel le groupe a investi 13 M€ en 2013 doublant sa capacité de production."

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L'enquête menée auprès des employeurs bretons met en évidence une certaine méconnaissance des obligations légales en termes de négociation collective et d'élaboration du rapport de situation comparée, notamment dans les établissements de 50 à 300 salariés. Lorsqu'il existe une négociation, elle n'est que très rarement spécifique à l'égalité professionnelle et porte essentiellement sur la rémunération. Pourtant , les actions mises en œuvre par les employeurs répondent davantage à la problématique de la conciliation de la vie professionnelle et de la vie privée, même s'il s'agit finalement de dispositif légaux, comme le congé parental... http://www.drtefp-bretagne.travail.gouv.fr/upload/files/rapport_fina_egal_pro_enquete_pollen_vf_211011_NDxp3vX.pdf

"ique Bourçois s'apprête ainsi à paramétrer différemment l'entreprise afin de continuer l'activité. Une activité créée en 1985 dans le pays de Vannes. Trois licenciements sont prévus. Déjà, l'entreprise est passée de 24 à 17 salariés en quatre ans. « D'autres postes vont passer à temps partiel, comme celui de la comptabilité », indique le dirigeant. D"

En Loire-Atlantique, le CEA fera coup double. En plus de la plate-forme de diffusion des savoirs, il implantera des équipes de recherche au sein de l'Institut de recherche technologique (IRT) Jules Verne, un centre dédié aux technologies avancées de production. Celles-ci plancheront sur des problématiques liées aux matériaux et à la robotique. Membre de l'IRT nantais, le CEA n'avait jusqu'alors pas dédié d'équipes spécifiques en Loire-Atlantique.

+ Frigo magic veut simplifier la cuisine du quotidien Fondée en juin 2015, la start-up rennaise Frigo magic a lancé en avril son application mobile éponyme. « L'objectif est de proposer aux utilisateurs des recettes de cuisine faciles et rapides à préparer partir du contenu de leur frigo dans une optique de réduire le gaspillage alimentaire », résume Sébastien Burel, co-fondateur de Frigo magic avec Christophe Boisselier. Respectivement ingénieur informaticien et sommelier restaurateur, ils sont associés à Olivier Clanchin, le président du groupe Triballat. Car, si l'application est téléchargeable gratuitement, les entrepreneurs ont opté pour un modèle économique basé sur le placement produit. Les produits mentionnés dans l'application sont illustrés par des photos des produits commercialisés par des "partenaires" de Frigo magic. « C'est une alternative aux bandeaux publicitaires trop intrusifs pour les utilisateurs. » La start-up vise les PME et PMI de l'agroalimentaire qui cherchent à communiquer auprès des 18-30 ans, cibles de l'application. 100 000 utilisateurs fin 2015 Trois mois après le lancement sur les plateformes d'Apple et d'Androïd, Sébastien Burel mentionne 5 000 utilisateurs. « D'ici à la fin de l'année, nous visons les 80 à 100 000 utilisateurs en accélérant notre présence sur les réseaux sociaux, les blogs et les médias. Et nous voulons aussi développer notre réseau de partenaires. » Le recrutement d'un community-manager est envisagé. A l'heure actuelle, Frigo magic envisage de poursuivre son développement en fonds propres. Aucun algorithme La start-up travaille actuellement sur de nouvelles fonctionnalités comme le partage ou la mémorisation des recettes. Et étoffe quotidiennement son catalogue de recettes. « Le moteur de l'application n'est pas basé sur un algorithme, mais sur un savoir-faire de cuisinier. Les recettes et leurs alternatives en matière d'ingrédients sont créées manuellem

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