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"Les Pères conciliaires, lors de la deuxième session du Concile Vatican II (1962-1965), ont donné à l'Église le mandat de s'engager avec toute la famille humaine, à laquelle elle est reliée, dans une conversation et un dialogue sur ses divers problèmes. Ils pensaient que ce geste porterait « un témoignage de la foi de l'Église et [serait] un témoignage éloquent et une preuve de sa solidarité et de son respect pour le genre humain » [1]. Depuis lors, plusieurs initiatives des Dicastères de la Curie romaine ont cherché à mettre en œuvre le mandat du Conseil. MENSURAM BONAM (MB), le travail qui est présenté ici, s'inscrit dans cette tradition d'initiatives ecclésiales cherchant à dialoguer avec la famille humaine sur ses diverses expériences et sur ses défis. Avec sa publication, Mensuram Bonam espère apporter la lumière de l'Evangile et de la doctrine sociale catholique (DSE) sur le domaine spécifique de l'économie et du monde de la finance que l'on peut appeler la gestion des actifs financiers ou l'investissement. En tant qu'agents d'institutions et en tant qu'individus, les personnes peuvent se voir confier des actifs à investir plutôt que simplement les dépenser. Depuis que la finance a pris un rôle plus important à tous les niveaux de l'activité humaine, la nécessité pour l'Église de réfléchir aux exigences du disciple chrétien, y compris la vocation des personnes à l'intendance dans ce domaine, est devenue plus crucial. Il est important que leur gestion des biens créés, y compris toutes les formes d'activité financière, en particulier la gestion d'actifs, soit orientée de façon à refléter ce don de Dieu à la famille humaine, en servant le bien commun, en respectant la justice et les normes éthiques.[2] Comment l'Église équipe ses fidèles pour un tel exercice : la question nous rappelle l'observation du pape Benoît XVI sur l'Église et la politique. Faisant écho à l'enseignement du concile Vatican II, le

Chargé par France Stratégie d'une enquête concernant la connaissance et les opinions des Français sur la transmission du patrimoine et sur sa taxation, le Crédoc livre ses conclusions dans une publication d'octobre 2018. Deux Français sur trois espèrent transmettre un patrimoine D'après l'enquête du Crédoc, 33% des Français ont bénéficié d'une transmission de patrimoine (28% d'un héritage et 16% d'une donation du vivant). Parmi les bénéficiaires, les propriétaires d'un logement ont plus souvent déjà reçu une transmission. Par ailleurs, les personnes ayant des revenus élevés possèdent plus souvent des biens de valeur, logements ou autres, leur assurant une sécurité supplémentaire par rapport à l'avenir. Les inégalités de patrimoine viennent donc amplifier, voire expliquer les inégalités de revenu. Deux Français sur trois s'imaginent futurs donataires ou héritiers. Ils sont par ailleurs très attachés à l'idée de pouvoir transmettre un patrimoine (le plus souvent leur logement) en particulier à leurs enfants pour les aider à démarrer dans un monde incertain. Les non-diplômés (59%), les titulaires de bas revenus (54%), les ouvriers (49%) et les personnes au foyer (49%) ou encore les locataires (49%) sont plus nombreux parmi les personnes qui ne pensent pas hériter ou bénéficier d'un don. Une taxation à moduler en fonction des liens entre donateurs et donataires Les personnes interrogées souhaitent que la taxation de l'immobilier (le patrimoine le plus répandu) soit moindre que celle du patrimoine professionnel. Ce sont les biens de valeur et le patrimoine financier qui doivent être plus lourdement taxés, alors qu'actuellement une partie des biens de valeur et du patrimoine financier peut être exonérée d'impôt (transmission d'entreprise sous certaines conditions, assurances-vie, oeuvres d'art, etc.). Le barème appliqué à la fiscalité des transmissions se révèle méconnu e

"Léguer à l'Église, c'est transmettre l'espérance. Qu'est ce que les legs ? La mission de l'Église est de transmettre les trésors de la foi catholique. Comment cela se fera-t-il demain ? Nul ne le sait et ne peut le dire aujourd'hui.Transmettre la foi, célébrer les sacrements, former des séminaristes, accompagner la fin de vie des prêtres aînés, assumer l'entretien et la construction des églises… représentent une charge financière considérable.Le denier de l'Église pourvoit pour une part seulement à ces charges. Les legs, donations, assurances-vie permettent en particulier de financer des travaux et investissements structurels, mais soutiennent aussi le dynamisme de l'Église sur le plan pastoral.Les legs manifestent l'Espérance en la vie éternelle et disent la volonté des donateurs de contribuer à l'avenir de l'Église. Donner, à la fin de sa vie, c'est exercer sa liberté et sa maîtrise sur ses biens matériels, en s'offrant la possibilité de réserver une part au plus faible (association caritative), ou aux valeurs spirituelles et missionnaires (l'Église). C'est aussi une dernière façon de continuer à faire du bien, comme nous l'avons fait tout au long de notre vie."

"Chaque doyen ou curé, avec ses équipes, de même que chaque responsable de service et aumônier doit pouvoir discerner les projets à mettre en œuvre pour marquer une nouvelle étape dans la vie pastorale à partir du 11 mai. Je vous saurai gré d'informer les membres du Conseil épiscopal, de vos différentes initiatives. Comme évêque, il faut que je puisse rendre compte de nos actions aux autorités civiles et à la société. Les semaines de confinement ont fragilisé notre situation financière. Les services de l'économat et de la communication ne ménagent pas leurs efforts pour y remédier. J'insiste pour que tous aient à cœur d'informer largement sur les possibilités de soutenir la vie diocésaine notamment par le don en ligne. Ce temps de crise nous invite avec toute l'humanité à des remises en question et des conversions quant à nos modes de vie. Comme citoyens, nous avons à participer à ces débats, et comme chrétiens, nous sommes appelés à témoigner de la proximité du Christ à toutes les réalités humaines et à rendre compte des repères qu'il nous a laissés. C'est en ce sens que je vous invite à utiliser et à proposer la fiche de relecture « En temps de crise, Dieu nous parle et nous invite à réagir », rédigée par le Père Mathieu Dervaux en lien avec le Conseil épiscopal." - temps de prière - sacrements de l'initiation chrétienne et du mariage - Visites à domicile et service de la communion eucharisitique - catéchèse et aumônerie de l'enseignement public - réunions de conseils et d'équipes - le service de la charité - les aumôneries d'établissements de santé, de retraite et de prison, les équipes de visiteurs - Enseignement catholique

De nombreux sujets ont été abordés par Mgr Lacombe dont : "L'actualité chargée pour les lois de bioéthique : le projet de loi de bioéthique est arrivé en seconde lecture au Sénat. La mesure emblématique est l'extension de l'accès à la procréation médicalement assistée aux couples formés d'un homme et d'une femme ou de deux femmes ou de toute femme non mariée. La Marche pour la vie du 17 janvier, qui a reçu le soutien de bon nombre d'évêques de France, et notamment du nonce apostolique et du président de la CEF. Des milliers de Français ont manifesté pour défendre la vie et rappeler que l'engrenage qui conduit à l'avortement n'est pas une fatalité. Ils ont ainsi exprimé leur opposition. Les quatre vendredis de jeûne à partir du 15 janvier : les évêques de France ont invité les catholiques et les hommes et femmes de bonne volonté à "se tourner vers Dieu en priant et en jeûnant pour Lui demander la grâce de nous ouvrir les yeux". La semaine de prière pour l'unité des chrétiens qui s'est déroulée du 18 au 24 janvier. Chaque année, le principal temps fort œcuménique demeure la « Semaine de prière pour l'unité chrétienne » qui, depuis 1908, rassemble des chrétiens de toutes confessions du 18 au 25 janvier. (...) Les conséquences de la crise du covid sur les finances du diocèse. Le diocèse a perdu environ 350.000 euros en 2020 en raison de la pandémie mais ses 35 salariés (ETP) ont pu bénéficier du dispositif de l'Etat pour le chômage partiel. L'arrivée d'une communauté de religieuses vietnamiennes appartenant à la Congrégation « Marie Reine de la Paix » à Gémozac, prévue début février 2021. Leur vocation est l'accueil des enfants des nombreuses familles de Gémozac et des environs aux revenus modestes, afin d'assurer le soutien scolaire, le catéchisme, l'œuvre de patronage, l'aumônerie, etc. Elles apporteront également leur soutien aux personnes vulnérab

"L'approche du déconfinement est à la fois source de joie, de libération, mais aussi d'inquiétude, d'autant plus que cette opération très délicate va se faire de manière progressive. La ligne qui est la nôtre depuis le début du confinement est d'être rigoureux dans le respect des consignes de santé publique, par charité pour la protection de tous et par solidarité avec l'ensemble de la société. A partir du 11 mai, l'amorce du déconfinement offre des ouvertures pour tous, qu'il nous faut adapter à notre vie ecclésiale. Pour les résumer, les deux changements principaux sont la possibilité de se déplacer librement dans un rayon de 100 kilomètres et celle de se rassembler jusqu'à 10 personnes. Il devrait y avoir, si l'épidémie ne reprend pas, une deuxième phase fin mai ou début juin, avec une possibilité de rassemblements plus larges. Avec le Père Bruno Cornier, nous avons rencontré cette semaine, en visioconférence, les curés, vicaires et coordinateurs paroissiaux du diocèse, par secteur, pour faire le point sur la vie pastorale de ces deux derniers mois. C'est d'abord une action de grâce pour les nombreuses initiatives et pour l'engagement courageux d'un certain nombre. Nous avons évoqué ensemble les différentes questions qui se posent à nous pour vivre les prochaines semaines. Voici les points de repères pour notre diocèse, en laissant à ceux qui ont la charge pastorale le soin de faire les adaptations nécessaires, dans le respect des consignes sanitaires. La responsabilité de chacun d'entre nous est engagée."

"Les prêtres qui sont aujourd'hui âgés ont aussi été jeunes. Par leur ministère, ils ont nourri la vie des chrétiens, des communautés, des paroisses… Nous avons tous le souvenir de tel ou tel prêtre qui nous a marqué à un moment de notre vie. Nous pouvons leur en être reconnaissant. Même s'ils sont maintenant moins actifs, ces prêtres sont encore aujourd'hui bien présents à la vie de notre Église, toujours prêts à rendre service dans la mesure de leurs possibilités. Je peux en témoigner. Célébrations, rencontres… sont leur quotidien. Ils sont aussi une présence priante précieuse au cœur de notre diocèse. Donnons-leur donc les moyens de vivre sereinement cette nouvelle étape de leur vie. La commission « Vie des prêtres » est là pour les y aider. L'objectif de cette collecte est de donner des moyens pour cela. D'avance, je vous remercie."

Extrait de la retraite animée par Mgr Boulanger, évêque émérite de Bayeux, pour le diocèse de Périgueux pour l'Avent 2020. "Il est bon de se rappeler que nous sommes tous le fruit d'une offrande : Celle de nos parents, de leur vie offerte pour nous faire grandir dans la vie. L'offrande est donc au cœur de la vie. Les plantes ne font que s'offrir pour nous nourrir et même ce bouquet de fleurs en est le symbole. Jésus dans l'évangile de Jean, au cours du lavement des pieds, évoquera le grain de blé qui s'offre. « En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt pas, il reste seul ; s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. (Jean 12,24). Jésus aimait beaucoup les paraboles. Je vous propose cette petite parabole élaborée à partir d'un conte danois." Texte à télécharger sous la vidéo

"Campagne Nationale pour les Legs La mission de l'Église est de transmettre les trésors de la foi catholique. Comment cela se fera-t-il demain ? Nul ne le sait ne peut le dire aujourd'hui. Transmettre la foi, célébrer les sacrements, former des séminaristes, accompagner la fin de vie des prêtres aînés, assumer l'entretien et la construction des églises... représentent une charge financière considérable. Le Denier de l'Église pourvoit pour une part seulement à ces charges. Les legs, donations, assurances-vie permettent en particulier de financer des travaux et investissements structurels, mais soutiennent aussi le dynamisme de l'Église sur le plan pastoral. Les legs manifestent l'Espérance en la vie éternelle et disent la volonté des donateurs de contribuer à l'avenir de l'Église. En son nom je vous remercie. "

"Le denier du culte, né en 1906 s'est transformé en 1989 en denier de l'Église. Cet appel au don que nous menons chaque année, et qui se renforce en fin d'année ou à Pâques, pourrait surtout s'appeler le don pour l'engagement. Le don de l'action. Ou le don du service. Cette collecte auprès des fidèles (mais aussi du grand public pas forcément pratiquant, mais respectueux de la tradition catholique et partageant ses valeurs), sert à rémunérer les personnes laïques dans le diocèse qui agissent et s'engagent pour la vie de l'Église catholique en menant des projets, en formant des bénévoles, en organisant la vie des paroisses. Cet argent rémunère aussi les prêtres qui, tout au long de la semaine, y compris le soir, le week-end et les jours fériés, écoutent, soutiennent, agissent au nom de l'Église et pour l'Évangile. Nous vous proposons de découvrir de manière très concrète la mission d'un de nos laïcs qui témoigne pour vous et vous fait prendre conscience de son rôle et donc de l'intérêt de donner pour que son action se poursuive."

"Le pape François dans l'encyclique « Laudato si' » nous appelle à tendre vers une écologie intégrale mais cela implique des choix : il s'agit, en effet, d'ouvrir le chemin à différentes opportunités qui n'impliquent pas d'arrêter la créativité de l'homme et son rêve de progrès mais d'orienter cette énergie vers des voies nouvelles. Il convient de sauvegarder notre maison commune et de poursuivre le développement intégral de l'homme par la recherche du bien commun. Nos ressources sont limitées et nous ne pouvons pas les gaspiller. Nous devons entendre « la clameur des pauvres et de la terre ». Ce sont les plus vulnérables et les plus fragiles qui souffrirons le plus de cette crise. Il nous faut quitter la société de consommation et vivre autrement. Les mesures écologiques qui ne changent pas le mode de vie ne servent à rien. Il convient de réfléchir à plus d'humanité face à plus de bien-être et de confort matériel. Il nous faut inventer une vie heureuse malgré ces nouvelles contraintes et avoir le souci des plus faibles. La sobriété n'est donc pas simple restriction mais aussi conversion : en ce sens il nous faut tendre vers la sobriété heureuse.   La sobriété peut ainsi être vécue, dans une perspective chrétienne, comme un chemin de libération et non de privation. La forte augmentation des coûts énergétiques nous appelle plus que jamais à revoir notre façon de fonctionner. Même si dans un premier temps, il est important de faire toutes les économies nécessaires pour éviter une explosion de nos dépenses énergétiques, avec l'appui du Conseil Diocésain des Affaires Economiques, je vous invite dans un second temps à vous engager dans une démarche de sobriété énergétique qui s'inscrit dans l'écologie intégrale formulée par le pape François dans l'encyclique « Laudato si '»."

"Léguer ou donner à l'Eglise, un engagement au nom de notre foi L'église doit transmettre les trésors de la foi chrétienne aux nouvelles générations. Comment cela se fera-t-il ? Nul ne le sait et ne peut le dire aujourd'hui. Mais ce que nous savons parce que nous le voyons, c'est que des hommes et des femmes sont prêts à rentrer dans cette mission. Cela suppose des moyens de formation et des moyens d'action. Les prêtres et les diacres comme les laïcs associés dans la mission, doivent pouvoir compter sur le soutien de leur Eglise pour leur assurer une vie décente et leur fournir les moyens nécessaires. Le denier de l'Eglise et les quêtes pourvoient pour une part à ces charges fnancières, mais pour une part seulement. Le reste nous vient soit par des legs, soit par des dons. Les dons, même minimes, peuvent être faits par chacun d'entre nous, à tout moment, et selon nos possibilités actuelles. Les legs, quant à eux, permettent, en agissant aujourd'hui, sans se créer de contraintes, de faire une bonne action pour plus tard. + Guy Thomazeau Administrateur apostolique du diocèse de Nice"

"En choisissant de développer le thème de la gratuité, ce numéro de rentrée d'ÉDY pourrait sembler indifférent aux préoccupations du moment. Qu'est-ce que la gratuité quand sévit la guerre, que l'inflation renforce l'incertitude du quotidien ? C'est alors peut-être qu'il nous faut réaliser que, sans la gratuité, rien ne serait et pas même notre existence. Nous croyons au don gratuit de Dieu dans sa Création, dans la vie qui nous est offerte ; nous célébrons le don total que le Christ a fait de lui-même pour nous ouvrir la vie éternelle ; nous recevons de la plénitude de l'Esprit Saint la faculté d'agir au cœur d'une Église qui accompagne l'humanité dans son pèlerinage terrestre. Comment donc ne pas reconnaître que la vie n'est pas d'abord constituée par des rapports de droits et de devoirs mais par des relations de gratuité ? Car Dieu n'est jamais dans la logique du donnant-donnant, mais dans celle de la gratuité. Le pape François le rappelait récemment, au sujet du Synode qui "nous a fait aussi mieux comprendre que les vrais défenseurs de la doctrine ne sont pas ceux qui défendent les formules mais la gratuité de l'amour de Dieu". Le temps donné, l'affection discrète, la prière apparemment inutile sont des champs de l'apostolat de la gratuité, celle qui naît de la bonté de Dieu."

"La réalisation en 2002 et 2010 de deux enquêtes assez proches, la première conduite par l'Insee, la seconde par l'institut BVA pour le compte de la Drees, offre l'opportunité d'étudier la participation associative et sa dynamique en ce début de XXIe siècle. À la lumière des données ainsi réunies, les taux d'adhésion apparaissent globalement stables en France, confirmant les constats réalisés au cours des décennies précédentes. 45 % des 18 ans et plus sont membres d'au moins une association. La participation associative reste un comportement sélectif qui s'accroît avec l'âge, les niveaux de diplôme et de revenu. Cette permanence n'exclut toutefois pas quelques évolutions. Celles-ci concernent d'abord les domaines d'adhésion. Le sport ainsi que l'action sociale, sanitaire, caritative et humanitaire attirent plus d'adhérents en 2010, tandis que les associations de loisirs paraissent subir une désaffection relative. Ces évolutions se traduisent également par une tendance plus marquée des adhérents à s'impliquer dans les tâches bénévoles inhérentes à la vie associative. Cet engagement croissant est un facteur de développement du bénévolat qui procède tout à la fois des évolutions sociodémographiques de la population et de modifications des comportements. Ces bénévoles sont confrontés à une demande accrue de compétences à leur égard et sont plus nombreux à suivre des formations dans le cadre de leur engagement. Les contributions volontaires reçues par les associations ne se limitent pas au temps donné, elles peuvent être également en nature ou financières. La dynamique de ces contributions est inégale sur la période considérée. Si le taux de participation aux dons financiers connaît une nette augmentation, celui relatif aux dons de jouets et de vêtements fléchit."

Avec cette édition des chiffres clés de la vie associative 2023, l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP) rend accessible un ensemble d'indicateurs de référence sur la vie associative. Ce recueil est le fruit d'une collaboration avec l'ensemble des producteurs de données sur la vie associative, issus de la statistique publique mais aussi de la recherche et du secteur associatif lui-même. Après une première description du tissu associatif (nombre et créations d'associations), cette publication propose aux lecteurs un portrait des principales dimensions de la vie associative : gouvernance, emploi, bénévolat, adhérents, budget et dons.

"C'est un rendez-vous crucial pour les finances du diocèse de Strasbourg ! Les recettes de la grande quête sont indispensables pour le fonctionnement de l'église d'Alsace. Pour faire vivre les mouvements et les services, pour soutenir les personnes blessées par la vie, pour la formation des prêtres et des laïcs, pour gérer le patrimoine immobilier, et bien sûr pour la vie sacramentelle, le diocèse fait appel à votre générosité. En cette année si particulière qui a vu les recettes des paroisses et des sanctuaires chuter avec l'interdiction des messes en public ou l'annulation des pèlerinages, nous avons, plus que jamais, besoin de vous !   Nouveauté 2021 : La quête numérique Cette année, le diocèse innove dans certaines paroisses ou sanctuaires en lançant la quête numérique qui a déjà fait ses preuves dans de nombreux diocèses en France. Vous pourrez payer votre offrande avec une carte bleue et sans contact. Un panier de quête électronique ou une borne numérique située à l'entrée de l'église vous permettront d'accomplir ce geste d'offrande."

" Vous êtes ici : Accueil / SE FORMER, S'INFORMER / Actualités / Vie du diocèse retour Retour N'oubliez pas la paroisse dans vos cadeaux de Noël Panoramique-Denier-2016 N'oubliez pas la paroisse dans vos cadeaux de Noël C'est une affaire sérieuse. Cette année, les chrétiens sont invités à faire un cadeau de Noël à leurs paroisses. Cette possibilité offerte par le diocèse, spécialement au mois de décembre, doit leur permettre de réaliser des projets qu'elle ne peuvent pas assumer d'ordinaire... Pour toutes les paroisses, comme pour le diocèse, les ressources financières ne viennent que des dons des fidèles. Ceux-ci permettent d'assurer le quotidien des églises paroissiales, de payer les loyers, d'entretenir les locaux et d'assurer la vie matérielle des prêtres et du personnel. "Ainsi, grâce à vos dons, nous pouvons aimer, espérer, transmettre, accueillir, annoncer Jésus-Christ."

"C'est ce même amour qui détermine les prêtres et les diacres à y offrir leur vie, les séminaristes à discerner leur vocation, des laïcs, salariés ou bénévoles, à y consacrer une partie de leur temps ou de leur vie professionnelle. Sans vous, ils ne le pourraient pas. Je me permets donc de faire une nouvelle fois appel à votre générosité, en ce jour où nous inaugurons aussi la collecte du Denier de l'Église. Grâce à vous, prêtres, diacres, séminaristes, laïcs bénévoles et salariés pourront témoigner de ce bel amour du Christ, venu nous sauver, et s'impliquer, sans ménager leur peine ou leur temps, dans les beaux projets qui vont animer la vie de notre Église de Marseille dans les mois à venir : baptêmes et confirmations de centaines d'adultes et de jeunes, toujours plus nombreux, accompagnement des étudiants et des jeunes professionnels aux Journées Mondiales de la Jeunesse à Lisbonne, organisation des Rencontres Méditerranéennes et accueil du Pape François à Marseille en septembre. Toutes nos paroisses et établissements sont mobilisés !"

"En décembre, le diocèse de Séez lance une opération digitale d'appel à dons pour le Denier de l'Église baptisée "La Paix de Noël au cœur du monde": Dans la nuit de Noël, Jésus est venu nous offrir la Paix. Par leurs chants, les anges ont répandu cette Bonne Nouvelle dans le ciel et sur toute la terre : « Paix sur la terre aux hommes qu'Il aime ! » Dans notre société fragilisée par les divisions, comme dans notre Église qui traverse la tempête, ces épreuves nous interrogent profondément : existe-t-il encore des hommes et des femmes prêts à relever le défi de la Paix ? Oui, dans nos villes et nos campagnes, dans nos églises comme dans nos quartiers, ils sont nombreux ces artisans de Paix qui portent au monde un message de justice, d'humanité et d'amour. Plus que jamais, l'Église a besoin d'hommes et de femmes pour être signe de cette Bonne Nouvelle. Elle a donc besoin de moyens matériels pour que ces artisans de Paix puissent agir au quotidien : annoncer la joie de l'Évangile, célébrer les moments importants de notre vie (baptêmes, communion, profession de foi, mariage, funérailles), servir les plus pauvres et les plus fragiles. C'est tout le sens de cette opération de fin d'année d'appel à dons pour le Denier de l'Église."

"Depuis plusieurs années, dans notre diocèse, la fin de l'été est réservée au lancement de la campagne des chantiers diocésains. Le patrimoine immobilier est un élément important de notre diocèse: s'il est témoin du passé, il est surtout l'outil mis à notre disposition pour la vie de l'Église aujourd'hui et demain. Pour accomplir sa Mission, annoncer la Bonne Nouvelle du Christ, témoigner que Jésus est le « Chemin, la Vérité et la Vie » dans le monde et prendre part à la vie des hommes et des femmes, le diocèse se doit de mettre à disposition de ceux qui y œuvrent, des lieux fonctionnels et adaptés, et garantir à tous un bon accès. Nous nous devons de prendre soin des biens immobiliers qui nous ont été confiés en réalisant des travaux d'entretien réguliers ou des mises en conformité. C'est un investissement sur le long terme."