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Analyse des recherches sur les TICE - 1 views

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    6) Conclusions a) Quel est l'impact de l'usage des TICE au collégial ? Si l'on adopte exclusivement le critère de la hausse des taux de réussite, la recherche fondée sur des données quantitatives, effectuée dans les 7 dernières années, n'a pas établi un lien de causalité entre TICE et hausse des notes au bulletin. b) Les chercheurs en pédagogie s'entendent généralement pour dire que ce sont les stratégies pédagogiques qui devraient retenir l'attention quand il est question de l'usage des TICE. Le véritable problème consiste à déterminer quelles sont les conditions d'une intégration réussie des nouvelles technologies, le concept de réussite comportant plusieurs dimensions. c) La réflexion sur les nouvelles méthodes d'inspiration socioconstructiviste ou d'apprentissage actif et collaboratif (active learning) semblent produire des résultats spectaculaires sur la réussite et la motivation, et, pour cette raison, elles méritent de faire l'objet d'une large débat dans la communauté collégiale. d) Il faut éviter, en ce qui concerne les enseignants déjà acquis à l'usage des TICE et fort enthousiastes, qu'ils deviennent technocentristes, c'est-à dire « des personnes qui peuvent difficilement s'empêcher de conclure que les TIC sont le " remède " à la majorité des maux que connaît l'école de nos jours » (Viau 2005, p. 3). e) Compte tenu de l'environnement numérique dans lequel les élèves évoluent, la problématique de l'usage pertinent des TICE devra sans cesse faire l'objet de recherches, de discussions, de réflexions et les expériences novatrices devraient être soutenues par le collège. Le constat du CEFRIO doit interpeller la communauté collégiale : « Les TIC sont omniprésentes dans la vie des élèves et des étudiants du Québec : ceux-ci s'en servent continuellement pour se divertir, pour communiquer avec leurs amis ou pour faire leurs devoirs. En fait, les T
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Youdazzle, outil de travail collaboratif - 1 views

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    ...est un nouvel outil qui combine les fonctions de partage de fichiers, les réunions en ligne, le partage d'écran et les discussions en temps réel.
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Embrasser la complexité « InternetActu.net - 1 views

  • Sous cette bannière se regroupe l’ensemble des phénomènes capables de s’organiser spontanément de manière très élaborée, sans intervention d’une intelligence extérieure.
  • Les 17e, 18e et 19e siècles, époque du triomphe de la mécanique newtonienne furent essentiellement consacrés à l’analyse de la simplicité. Les sciences et les mathématiques de l’époque se chargeaient de comprendre les choses prévisibles, constantes, comme les mouvements des objets sous l’influence des forces physiques.
  • Le 20e siècle s’est intéressé à la complexité désorganisée : le hasard, les statistiques…
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  • Le 21e siècle, lui, se heurte à la complexité organisée. Celle justement qui se caractérise par la constitution des réseaux.
  • la théorie des réseaux, notamment l’idée des “petits mondes” qui montre comment un certain type de connectivité peut très facilement permettre une mise en relation globale de tous ces éléments (la fameuse notion des “six degrés de séparation”)
  • “Le cerveau est un réseau constitué de neurones reliés par des axones ; la cellule est un réseau de molécules reliées par des produits chimiques ; les sociétés humaines sont constituées d’individus reliés par des relations amicales, familiales, professionnelles ; les écosystèmes entiers sont des réseaux d’espèces connectées par diverses interactions comme la chaine alimentaire
  • la conviction qu’il existe un “Monde des Idées” donnant forme à l’ensemble des phénomènes
  • Cette croyance selon laquelle la productivité et l’isolement sont importants dans le travail ne remonte pourtant qu’à la révolution industrielle avec l’invention des lieux de production spécialisée, “quand nous sommes passés du moment où les gens étaient payés pour le produit qu’il fabriquait au temps passé à le fabriquer”. “Cette transformation a introduit le problème de l’attention au travail”, explique Stefana Broadbent. “C’est à partir de là qu’on a inventé des systèmes de contrôle de l’attention des gens, en transformant les environnements de travail, en introduisant des superviseurs, des agents de maîtrise chargés de contrôler le travail des autres.”
  • On a la même chose dans le système éducatif : on apprend aux enfants à se concentrer , ce sur quoi se concentrer, ce qui vaut la peine de se concentrer. Il y a beaucoup de discussions et de confusions sur la question de l’attention, estime la chercheuse. “La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”
  • A l’opposé, l’encyclopédie Wikipédia, ou encore le Couchsurfing (ce site par lequel des gens prêtent leurs canapés à des voyageurs du monde entier), montre à quel point les gens ont envie de partager, et besoin de s’entraider.
  • on ne surveille pas comment ils gèrent leur temps. Il y a une rupture sociale considérable dans la gestion de l’attention, liée à la confiance.
  • Le contrôle de l’attention des gens est pourtant voué à l’échec, même si beaucoup d’entreprises continuent à le faire
  • L’environnement de travail réduit le niveau d’implication des gens. L’automatisation implique des travaux de plus en plus dénués de sens avec des fonctions limitées. On demande à bien des employés de concentrer leur attention sur des tâches sans sens et répétitives et on sait qu’on a du mal à concentrer son attention quand on s’ennuie…
  • “on peut se demander si la division arbitraire entre le monde privé et professionnel est une si bonne chose. Chacun sait qu’il est important d’avoir des moments de contacts avec les siens dans la journée. Ce n’est pas un choix indivuel, mais bien souvent un choix social imposé par nos représentations
  • “La multiplication des caméras de surveillance et des politiques de surveillance augmente plutôt qu’elle ne diminue le problème. Or, les gens trouveront toujours une colonne pour se cacher et faire ce qui est interdit. Le problème n’est pas tant d’utiliser un dispositif électronique pour se distraire, mais de concevoir des environnements qui évitent un ennui massif et qui limitent les distractions. Les mobiles, comme l’internet, ou la nicotine peuvent être un bouc-émissaire facile. mais au final, le véritable défi est de savoir comment concevoir des environnements de travail plus chargé de sens
  • “la collaboration de masse va bouleverser l’organisation des gouvernements”. Aujourd’hui, il continue à tracer cette voie mêlant entraide mutuelle, socialisation et participation à la vie de la communauté.
  • Les supermarchés ne sont pas aussi sociaux que les marchés, et les écrans de télévision, les lotissements, les immeubles, ont souvent tendance à isoler les gens, à les anonymiser, à casser les mécanismes d’entraide, d’apprentissage et d’échanges d’antan.
  • Ceux qui ont un statut plus élevé s’attendent à recevoir l’attention des autres et ceux qui ont un statut plus bas doivent porter de l’attention. Mon expérience d’observation des gens sur leurs lieux de travail montre qu’on contrôle la gestion de l’attention des employés de bas niveau, alors qu’on fait confiance aux cadres et dirigeant
  • L’internet est un formidable vecteur de socialisation, estime Ivo Gormley, pour qui “nous avons besoin de nouveaux formats d’entraide mutuelle, et de faire revivre les anciens, nous devons remettre ça dans le courant mainstream” :
  • Lorsqu’un système donne aux gens la possibilité d’agir de manière positive, ils le font avec plaisir, s’y connectent sur la base de similitudes importantes, pas seulement pour faire le bien, mais aussi de manière très individualiste, parce qu’ils ont besoin d’aide, de trouver des gens dans la même situation.
  • Pour Ivo Gormley, si le 20e siècle semble avoir donné raison à Thomas Hobbes, les nouvelles formes de sociabilité et d’entraide mutuelle que l’on voit poindre, notamment via le Net, nous renvoient plutôt à Kropotkine. Et nous aurions probablement beaucoup à gagner à tenter de reconcevoir nos relations, et nos actions, afin de remettre l’entraide mutuelle au coeur des processus.
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Lawrence Lessig : De l'économie de la Culture | ReadWriteWeb France - 0 views

  • ’internet nous a rap­pelé que nous ne vivons pas dans une seule écono­mie, mais dans deux, au moins
  • L’une est l’économie «com­mer­ciale» tra­di­tion­nelle, une écono­mie régu­lée par une règle simple : tout tra­vail mérite salaire. L’autre écono­mie revet bien des déno­mi­na­tions, l’économie des ama­teurs (a), l’économie du par­tage (b), l’économie de la col­la­bo­ra­tion ©, l’économie non com­mer­ciale (d) ou l’économie de pair à pair (e).
  • Comment conti­nuer à faire appel à la main d’œuvre créa­tive de la seconde écono­mie, tout en tirant par­tie de la créa­tion de valeur propre à l’économie com­mer­ciale
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  • «Ces tra­vaux sont pro­té­gés par une licence Creative Commons Attribution-Non com­mer­ciale. L’attribution signi­fie que vous devez mettre un lien en dur sur ce billet, par­tout où cela est pos­sible. Une licence com­mer­ciale est égale­ment dis­po­nible auprès de l’auteur»
  • La seconde écono­mie pense cela dif­fé­rem­ment : cer­tains usages devraient être libres, d’autres sou­mis à autorisation.
  • Certaines pro­duc­tions cultu­relles peuvent se faire de façon col­la­bo­ra­tive dans un mode iden­tique à celui adopté par le logi­ciel libre – Wikipedia. Mais prou­ver que cela s’applique à tous les conte­nus est autre­ment plus dif­fi­cile. Reste a prou­ver qu’il existe véri­ta­ble­ment une dif­fé­rence, mais il est impor­tant d’avoir cette discussion.
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    Différence entre libre et non libre, entre open source et libre, ....
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Entre réel et virtuel, les limites de la vie… à l'école » Article » OWNI, Dig... - 0 views

  • Le développement actuel des univers virtuels interactifs est le prolongement de travaux de recherche menés dès l’apparition de l’ordinateur autour d’un mythe célèbre : « l’ordinateur c’est l’homme ». Ce mythe apparu aussi bien avec Türing qu’avec la cybernétique ou encore les théories de l’apprentissage de Skinner (enseignement programmé). C’est donc dire qu’il est ancré dans l’esprit humain à l’égal des grands mythes qui traversent l’humanité et déclinés de manière proche au travers des cultures
  • Si l’ordinateur c’est l’homme, alors l’homme est-il une machine ?
  • En d’autres termes, en libérant le cerveau des tâches répétitives ou consommatrices d’énergie mentale, il suppose qu’il est alors possible de développer les capacités du cerveau qui vont vers le « plus de complexité »
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  • Le cerveau humain, complexe en lui même aurait commencé à projeter cette complexité dans les techniques (et pas seulement les machines) qu’il développ
  • Regardons des usagers en activité au long d’une journée, d’une semaine voire davantage et nous pouvons nous apercevoir que l’objet lui même s’est installé dans le prolongement direct de l’activité mentale, qu’elle soit sociale, professionnelle ou affective…
  • L’homme en externalisant certaines de ses fonctions humaines serait obligé de se « machiniser », en d’autres termes d’utiliser de plus en plus de prothèses pour faire face à la complexité.
  • En développant les univers virtuels et en les fusionnant de plus en plus avec le réel (de la simulation à la réalité augmentée), nous allons nous retrouver avec un problème éducatif nouveau : situer la part de l’humain dans notre environnement !
  • L’espace classe est en train lentement d’éclater comme espace-temps d’apprentissage.
  • Certes le TBI (tableau blanc interactif, ndlr) donne encore du fil à retordre car il est bien centralisateur (de par sa forme même : un écran pour plusieurs). Mais le portable (ordinateur ou smartphone) dans la classe relié au reste du monde va inévitablement questionner la forme scolaire.
  • Comme de plus ces techniques permettent de plus en plus le lien individuel « homme machine » elles posent aussi au système scolaire la question de sa forme collective.
  • L’élève est-il une machine ? Va-t-il le devenir dans nos classes ? L’expérience des Landes (rappelons nous l’enquête de l’an passé après huit années de pratique) nous montre que les choses vont lentement, que la technicisation de l’enseignement est un phénomène lent.
  • Le système scolaire est fortement confronté à la demande de la société au service de laquelle il a été créé
  • Le pessimiste pourra opter pour la première hypothèse et tenter de freiner, l’optimiste pourra opter pour la deuxième en pensant qu’il peut créer du sens
  • Or mettre en route ce rôle de questionneur c’est inviter chacun à se mettre en réflexion sur ces évolutions, à accepter la confrontation, la discussion, la co-construction.
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    l'"homme" devient il un "homme machine" ? Laine, Breton,asimov et deusX inside
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Les forums: ou la fin des études de marché? » Article » OWNI, Digital Journalism - 0 views

  • Les forums ont été, avec l’e-mail, les premiers services à être proposés sur Internet. Cela s’appelait la hiérarchie Usenet, elle fut inventée en 1981
  • Deux éléments ont changé la donne : l’augmentation du nombre d’abonnés Internet, et l’arrivée du web.
  • Les spécialistes de l’informatique théorique ont l’habitude de structurer la connaissance en trois niveaux : la connaissance individuelle (quelqu’un sait), la connaissance collective (tout le monde sait), et la connaissance globale (tout le monde sait que les autres savent)
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  • Moore le disait explicitement, dans son livre Crossing the chasm : « il vaut mieux trois clients qui se parlent que dix clients qui ne se parlent pas.»
  • La connaissance que l’on peut avoir est largement supérieure à tout sondage.
  • Sont donc arrivés dans ces forums des personnes plus inclines à s’exposer, généralement au travers de messages provocants, que d’aider la communauté. Elles portent un nom délicieux : les trolls
  • Le fameux quatrième pouvoir des médias consiste à savoir faire passer du niveau un au niveau deux ; tout le monde (ou presque) ayant lu les journaux, écouté la radio, vu la télévision. La grande puissance d’Internet est de faire passer du niveau deux au niveau trois.
  • Seul le forum de discussion permet de mettre en valeur une telle démarche intelligente, qui passera inaperçue à toute étude de marché. Il est plus difficile de poser la bonne question que de trouver la bonne réponse. Le forum permet souvent de trouver  les bonnes questions.
  • Allons même plus loin : beaucoup de passionnés mettent comme signature automatique leur configuration, que ce soit leur voiture, leur chaîne hifi, ou bien les softs sur leur téléphone portable. Combien d’entreprises dépensent de l’argent pour savoir de quoi sont équipés leurs clients, alors qu’ils le disent spontanément dans les forums
  • La simplicité du bouton «j’aime» de Facebook ne pousse pas à écrire des commentaires réfléchis.
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    Et si les forums étaient le meilleur endroit pour faire des enquêtes qualitatives et quantitatives ?
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