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"Rome, la ville éternelle, vous attend ! Pour clore l'Année de la Foi, le diocèse organise un pèlerinage à Rome du 25 au 30 octobre 2013. Plus de 450 pèlerins du diocèse sont attendus, sous la conduite de l'Archevêque de Rennes, Monseigneur Pierre d'Ornellas. Vivez une semaine dense dans des lieux chargés de prière et de spiritualité et découvrez de nombreux sites emblématiques de l'Église."

"L'Année de la foi se conclura à Rome, de façon très significative, avec la présence des catéchumènes du monde, le samedi 23 novembre, à l'appel du pape François: le baptême et la transmission de la foi se retrouvent ainsi au coeur de la conclusion de l'Année de la foi."

"Le pape François consacrera le monde au Cœur immaculé de Marie, à Rome le 13 octobre, aux pieds de la Vierge de Fatima, en lapparition de 1917. La statue originale de la Vierge sera transportée à Rome, suivant le désir du pape François, à l'occasion de la Journée mariale promue par le dicastère de la nouvelle évangélisation le 13 octobre prochain, dans le cadre de l'Année de la foi."

"On attend à Rome au moins 150.000 personnes de 75 pays, dont de nombreux enfants et des personnes âgées pour le pèlerinage des familles à Rome: les familles feront leur profession de foi avec le pape François qui bénira les familles du monde."

"Grand jour de pèlerinage pour les familles samedi sur la tombe de saint Pierre. L'événement est organisé, dans le cadre de l'Année de la foi, par le Conseil pontifical pour la Famille. Son thème : « Famille, vis la joie de la foi ». Dès la mi-journée samedi, la place Saint-Pierre de Rome sera animée de réflexions, de témoignages, mais aussi de musique. Le pape sera sur place pour rencontrer les familles aux alentours de 16h30 (GMT+2). Les festivités se poursuivront dimanche matin avec la célébration eucharistique présidée par François. A cette occasion, trois initiatives ont été mises sur pied. « Pr"

"Les familles du monde entier, avec enfants et grands-parents, sont invitées par le Pape à un grand rassemblement festif et fervent à Rome les 26 et 27 octobre prochains"

"Dans le cadre de l'Année de la foi, Rome accueille depuis samedi matin la statue originale de Notre-Dame de Fatima, en provenance du Portugal. Jusqu'à dimanche soir, quelque 150'000 personnes du monde entier participeront à ces journées mariales, a indiqué Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation. Ces deux journées se déroulent selon le schéma désormais classique des grands rendez-vous de l'Année de la foi, inaugurée un an plus tôt par Benoît XV"

"Un « rouleau de la foi » permet aux pèlerins de l'Année de la foi, à Rome, de laisser un témoignage de foi et une intention de prière."

"Pour la veille de la clôture de l'Année de la foi (11 octobre 2012 - 24 novembre 2013), le pape François rencontrera 500 catéchumènes du monde entier, le 23 novembre prochain, place Saint-Pierre"

"'Année de la foi s'achève, et à Paris, l'Année de l'Appel commence, comme l'explique pour les lecteurs de Zenit le Père Jean Laverton, recteur de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. Un entretien dont nous publierons le second volet, sur l'adoration, demain, samedi 23 novembre, au moment où le pape François affirme que les communautés chrétiennes doivent être des "communautés d'adoration". Il en a lui-même donné l'exemple, le 21 novembre, en participant aux vêpres et à l'adoration eucharistique au monastère Saint-Antoine des bénédictines camaldules de Rome."

"L'un des événements les plus importants de cette Année de la foi, la Journée mariale, vient d'avoir lieu au Vatican. Plus de 150.000 pèlerins étaient attendus pour ces deux jours qui ont culminé avec la prière du pape François pour le monde au pied de la statue de Notre Dame de Fatima, transportée à Rome pour l'occasion."

"« L'Année de la Foi se présente comme une grande occasion pour le monde universitaire et en particulier pour notre jeune université », a déclaré le P. Paolo Scarafoni, Recteur de l'Université européenne de Rome, à l'ouverture de l'Année académique 2012 /2013."

"L'ouverture de l'Année de la foi a été célébrée le 11 octobre à Rome, place Saint-Pierre, pour l'anniversaire de Vatican II, lors de la messe concélébrée avec les derniers pères conciliaires, les pères synodaux et les présidents des conférences épiscopales. "

"par Claude DAGENS, évêque d'Angoulême L'année de la foi Cinquante ans après l'ouverture du Concile Vatican II par le pape Jean XXIII, le 11 octobre 1962, Benoît XVI a ouvert l'année de la foi, le 11 octobre 2012. Ce jour-là, j'étais présent sur la place Saint-Pierre de Rome pour concélébrer la messe présidée par Benoît XVI avec les évêques réunis pour le synode consacré à « La nouvelle évangélisation et la transmission de la foi »."

"Par sa lettre Porta fidei en 2011, le pape Benoît XVI proposait aux catholiques du monde entier de vivre une Année de la foi. Il l'ouvrira en octobre 2012, mais c'est son successeur François qui la clôturera ce dimanche 24 à novembre à Rome. Une soirée marquera l'évènement à Rennes le 25 novembre. Une année mise à profit en Ille-et-Vilaine comme ailleurs pour approfondir les fondements de la foi chrétienne."

"Cinquante ans après l'ouverture du Concile Vatican II par le pape Jean XXIII, le 11 octobre 1962, Benoît XVI a ouvert l'année de la foi, le 11 octobre 2012. Ce jour-là, j'étais présent sur la place Saint-Pierre de Rome pour concélébrer la messe présidée par Benoît XVI avec les évêques réunis pour le synode consacré à « La nouvelle évangélisation et la transmission de la foi »."

"Plusieurs diocèses de France ont clôturé l'Année de la foi en union avec Rome, les samedi 23 ou dimanche 24 novembre, lors de la fête du Christ-Roi."

"Plusieurs diocèses de France ont clôturé l'Année de la foi en union avec Rome, les samedi 23 ou dimanche 24 novembre, lors de la fête du Christ-Roi. C'est le cas à Montpellier (Hérault), où plus d'un millier de fidèles se sont réunis dimanche 24 novembre à la cathédrale à l'invitation de Mgr Pierre-Marie Carré. L'archevêque de Montpellier en a profité pour appeler les fidèles de l'Hérault à constituer des fraternités missionnaires dans le cadre du projet : « Demain nos communautés : semons la fraternité ! »."

"Chers catéchistes, bonsoir ! Il me plaît qu'il y ait, durant l'Année de la foi, cette rencontre pour vous : la catéchèse est un pilier pour l'éducation de la foi, et nous voulons de bons catéchistes ! Merci de ce service à l'Église et dans l'Église. Même si parfois ça peut être difficile, si on travaille beaucoup, si on s'engage et qu'on ne voit pas les résultats voulus, éduquer dans la foi c'est beau ! C'est peut-être le meilleur héritage que nous pouvons donner : la foi ! Éduquer dans la foi pour qu'elle grandisse. Aider les enfants, les jeunes, les adultes à connaître et à aimer toujours plus le Seigneur est une des plus belles aventures éducatives, on construit l'Église ! "Être" catéchiste ! Non pas travailler comme catéchistes : cela ne va pas ! Je travaille comme catéchiste parce que j'aime enseigner… Mais si tu n'es pas catéchiste cela ne va pas ! Tu ne seras pas fécond, tu ne seras pas fécond ! Catéchiste c'est une vocation : "être catéchiste", c'est cela la vocation, non travailler comme catéchiste. Attention, je n'ai pas dit "faire" le catéchiste, mais "l'être", parce que cela engage la vie. On conduit à la rencontre avec Jésus par les paroles et par la vie, par le témoignage. Rappelez-vous ce que Benoît XVI nous a dit : « L'Église ne grandit pas par le prosélytisme. Elle grandit par attraction ». Et ce qui attire, c'est le témoignage. Être catéchiste signifie donner le témoignage de la foi ; être cohérent dans sa vie. Et ce n'est pas facile. Ce n'est pas facile ! Nous aidons, nous conduisons à la rencontre avec Jésus par les paroles et par la vie, par le témoignage. J'aime rappeler ce que saint François d'Assise disait à ses frères : « Prêchez toujours l'Évangile, et, si c'est nécessaire aussi par les paroles ». Les paroles viennent… mais d'abord le témoignage : que les gens voient l'Évangile dans notre vie, qu'ils p

"Les lectures de ce dimanche nous invitent à méditer sur quelques caractéristiques fondamentales de la famille chrétienne. 1. La première : la famille qui prie. Le passage de l'Évangile met en évidence deux façons de prier, une qui est fausse - celle du pharisien - et l'autre qui est authentique - celle du publicain. Le pharisien incarne un comportement qui n'exprime pas l'action de grâce à Dieu pour ses bienfaits et sa miséricorde, mais plutôt l'autosatisfaction. Le pharisien se sent juste, il se sent correct, il se rengorge de cela et il juge les autres du haut de son piédestal. Le publicain, au contraire, ne multiplie pas les paroles. Sa prière est humble, modeste, empreinte de la conscience de son indignité, de ses misères : cet homme vraiment admet qu'il a besoin du pardon de Dieu, de la miséricorde de Dieu."