Group items tagged

"Monseigneur Renauld de Dinechin, évêque de Soissons, Laon et Saint-Quentin, engage une procédure de recrutement en vue de la nomination du nouvel économe diocésain du diocèse de Soissons, Laon et Saint-Quentin, homme ou femme. En Picardie, le Peuple de Dieu offre le visage du courage et de la bienveillance. Ici nous côtoyons de belles personnes qui privilégient l'être sur le paraître ; on fait confiance aux actes plus qu'aux paroles. Notre région a subi les destructions des deux guerres mondiales, le peuple a trouvé en lui-même l'énergie pour la reconstruction. C'est un peuple résilient. Si les catholiques sont minoritaires, ils témoignent d'un fort engagement dans leur foi et le service de l'Église."

"Le pape François dans l'encyclique « Laudato si' » nous appelle à tendre vers une écologie intégrale mais cela implique des choix : il s'agit, en effet, d'ouvrir le chemin à différentes opportunités qui n'impliquent pas d'arrêter la créativité de l'homme et son rêve de progrès mais d'orienter cette énergie vers des voies nouvelles. Il convient de sauvegarder notre maison commune et de poursuivre le développement intégral de l'homme par la recherche du bien commun. Nos ressources sont limitées et nous ne pouvons pas les gaspiller. Nous devons entendre « la clameur des pauvres et de la terre ». Ce sont les plus vulnérables et les plus fragiles qui souffrirons le plus de cette crise. Il nous faut quitter la société de consommation et vivre autrement. Les mesures écologiques qui ne changent pas le mode de vie ne servent à rien. Il convient de réfléchir à plus d'humanité face à plus de bien-être et de confort matériel. Il nous faut inventer une vie heureuse malgré ces nouvelles contraintes et avoir le souci des plus faibles. La sobriété n'est donc pas simple restriction mais aussi conversion : en ce sens il nous faut tendre vers la sobriété heureuse.   La sobriété peut ainsi être vécue, dans une perspective chrétienne, comme un chemin de libération et non de privation. La forte augmentation des coûts énergétiques nous appelle plus que jamais à revoir notre façon de fonctionner. Même si dans un premier temps, il est important de faire toutes les économies nécessaires pour éviter une explosion de nos dépenses énergétiques, avec l'appui du Conseil Diocésain des Affaires Economiques, je vous invite dans un second temps à vous engager dans une démarche de sobriété énergétique qui s'inscrit dans l'écologie intégrale formulée par le pape François dans l'encyclique « Laudato si '»."

"Le 19 janvier, France 2 a diffusé l'émission Complément d'enquête sur l'indemnisation des personnes victimes de violences sexuelles dans l'Église, laissant supposer une volonté de minimiser l'engagement financier auprès des victimes de la part des diocèses. Décryptage avec Jean Chausse, économe diocésain, sur les chiffres donnés pour le diocèse de Paris."

En 2021, en France, deux tiers des 16 ans et plus déclarent avoir été impliqués comme bénévoles, adhérents ou donateurs dans une association au cours des douze derniers mois. Le bénévolat, don de temps souvent spontanément associé au secteur associatif, est la forme de participation la plus courante, mais pas la seule : il concerne un quart de la population. Plus largement, quatre personnes sur dix ont participé à une association comme bénévoles, militants, volontaires ou adhérents. La moitié de la population a effectué au moins un don au cours des douze derniers mois, souvent pour des sommes annuelles inférieures à 50 € (pour les quatre cinquièmes des donateurs). Les seniors (65 ans et plus), qui disposent de davantage de temps libre, sont plus souvent bénévoles, tandis que les plus jeunes (16‑24 ans) sont plus fréquemment adhérents, notamment car ils sont plus souvent inscrits dans un club sportif. L'héritage familial - avoir un membre de sa famille ou de son entourage impliqué dans une association à l'adolescence - reste déterminant. Le sexe, l'âge, les niveaux de revenus ou de diplômes, ou encore la configuration familiale ont un effet moindre.

Retour progressif à la situation d'avant crise et confirmation des tendances antérieures, tels sont les deux principaux enseignements d'une enquête réalisée par l'IFOP entre le 9 et le 21 janvier 2023, auprès de 3 155 personnes de 15 ans et plus. Rappelons-nous, en janvier 2022, l'IFOP lançait une 5ème enquête auprès des Français de 15 ans et plus dans le cadre du baromètre mis en place par France Bénévolat, depuis 2010, avec l'appui de Recherches & Solidarités. Un an après, l'équipe de R&S a jugé indispensable de voir si ces résultats de janvier 2022 étaient « provisoires » car encore marqués par les effets de la crise sanitaire ou s'ils dessinaient le bénévolat de demain.

Retour progressif à la situation d'avant crise et confirmation des tendances antérieures, tels sont les deux principaux enseignements d'une enquête réalisée par l'IFOP entre le 9 et le 21 janvier 2023, auprès de 3 155 personnes de 15 ans et plus. Rappelons-nous, en janvier 2022, l'IFOP lançait une 5ème enquête auprès des Français de 15 ans et plus dans le cadre du baromètre mis en place par France Bénévolat, depuis 2010, avec l'appui de Recherches & Solidarités. Un an après, l'équipe de R&S a jugé indispensable de voir si ces résultats de janvier 2022 étaient « provisoires » car encore marqués par les effets de la crise sanitaire ou s'ils dessinaient le bénévolat de demain.

Retour progressif à la situation d'avant crise et confirmation des tendances antérieures, tels sont les deux principaux enseignements d'une enquête réalisée par l'IFOP entre le 9 et le 21 janvier 2023, auprès de 3 155 personnes de 15 ans et plus. Rappelons-nous, en janvier 2022, l'IFOP lançait une 5ème enquête auprès des Français de 15 ans et plus dans le cadre du baromètre mis en place par France Bénévolat, depuis 2010, avec l'appui de Recherches & Solidarités. Un an après, l'équipe de R&S a jugé indispensable de voir si ces résultats de janvier 2022 étaient « provisoires » car encore marqués par les effets de la crise sanitaire ou s'ils dessinaient le bénévolat de demain.

"Le 15 août 2024, Ambroise Laurent, chargé des questions économiques à la Conférence des évêques de France, est interviewé sur RTL 1. Il proclame : « On prie pour la France le 15 août. Donc, il y a plein de fêtes partout. Les églises sont ouvertes et accueillent beaucoup de monde. Et c'est vrai que les gens sont prêts à donner et à prier ensemble. Les deux vont de pair. » La journaliste fait, avec lui, l'inventaire des recettes : la vente de cierges, mais surtout la quête des « paniers collectés » par lesquels l'Église observe le montant moyen d'un don par carte bancaire, supérieur à celui d'un don en espèces. En ajoutant le casuel, lorsque les catholiques donnent pour la célébration des baptêmes, mariages, funérailles, les offrandes de messe, quand un fidèle paye pour faire dire une messe à une intention particulière, et bien sûr la collecte annuelle du denier de l'Église, on atteint pour l'année 2022 591 millions. Le financier estime ce montant « en augmentation après le gros trou d'air de 2020, année covid, quand les fidèles ne pouvaient pas assister à la messe. Il y a aussi des legs, chaque année, eux, sont classés dans la case ressources exceptionnelles »"

"Pour la première année, le diocèse de Paris publie un document récapitulatif de l'année 2023-2024. L'Église à Paris marque son inquiétude sur l'avenir de ses finances mais se réjouit de l'engagement des laïcs et des religieux."