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"Grâce au #Denier de l'#Église des hommes et des femmes peuvent travailler efficacement pour le #diocèse"

"Le diocèse de Valence s'inquiète de la diminution du denier qui s'accentue. Cette année, les fonds ont encore baissé jusqu'à ne plus couvrir que 78 % des besoins de l'Église dans la Drôme. Face à cette situation, l'économe diocésain appelle les fidèles, « s'ils le peuvent », à indexer leurs dons sur l'inflation."

"De nombreux projets de chantiers voient le jour sur le diocèse de Bordeaux. Les églises, les presbytères, les salles paroissiales, sont des lieux indispensables pour que la mission de l'Église soit assurée. Ces lieux doivent être accueillants pour recevoir tous ceux qui y viennent, quelque soit leur demande à la communauté chrétienne. L'Église diocésaine assure seule, sans subvention de l'État ou du Vatican, le poids financier nécessaire à l'entretien de ce patrimoine religieux. Le service des Ressources financière rappelle dans cette vidéo la différence entre les campagnes du Denier et des chantiers diocésains. Merci aux futurs donateurs et à tous ceux qui ont déjà donné !"

"Enregistrer et traiter les dons effectués dans le cadre du denier de l'Eglise et de la collecte paroissiale et assurer au quotidien le suivi de la trésorerie ainsi que le règlement, à échéance, des factures dues."

"Le 15 août 2024, Ambroise Laurent, chargé des questions économiques à la Conférence des évêques de France, est interviewé sur RTL 1. Il proclame : « On prie pour la France le 15 août. Donc, il y a plein de fêtes partout. Les églises sont ouvertes et accueillent beaucoup de monde. Et c'est vrai que les gens sont prêts à donner et à prier ensemble. Les deux vont de pair. » La journaliste fait, avec lui, l'inventaire des recettes : la vente de cierges, mais surtout la quête des « paniers collectés » par lesquels l'Église observe le montant moyen d'un don par carte bancaire, supérieur à celui d'un don en espèces. En ajoutant le casuel, lorsque les catholiques donnent pour la célébration des baptêmes, mariages, funérailles, les offrandes de messe, quand un fidèle paye pour faire dire une messe à une intention particulière, et bien sûr la collecte annuelle du denier de l'Église, on atteint pour l'année 2022 591 millions. Le financier estime ce montant « en augmentation après le gros trou d'air de 2020, année covid, quand les fidèles ne pouvaient pas assister à la messe. Il y a aussi des legs, chaque année, eux, sont classés dans la case ressources exceptionnelles »"