Group items tagged

16'20 > 22'30 : Mgr Papin revient sur le chemin de transformation de la CEF suite à la rencontre provinciale qui s'est tenue début juin : La CEF n'a plus les moyens de faire tout ce qu'elle fait, elle est au service des diocèses, il est donc important que les diocèses identifient leur besoin. Mgr Papin constate qu'il est compliqué d'abandonner. Evoque l'accompagnement du cabinet Nexus qui rappelle que rien de nouveau n'émergera si on n'abandonne pas. Ces questions qui peuvent paraître éloignées des préoccupations des diocèsains sont au contraire très proches car ce sont les mêmes qui se posent au niveau des diocèses et des paroisses.

"Secrétaire général adjoint de la CEF en charge des affaires économiques, sociales et juridiques de 2018 à 2024, Ambroise Laurent considère que l'Église doit reconfigurer sa manière d'être dans la société. Il prône la réduction du nombre de diocèses et la définition de « quelques domaines essentiels pour l'annonce de l'Évangile »."

"Pierre Dionne, économe du diocèse de Chambéry partira à la retraite en mars 2022. Pour pourvoir à son remplacement, Mgr Ballot a confié le recrutement de son successeur à Monsieur Hervé Giaume de la cellule d'aide au recrutement des économes diocésains de la Conférence des Evêques de France (CEF). La fiche ci-jointe vous donnera la description du poste et les compétences nécessaires pour l'exercer, et aussi les coordonnées de Monsieur Giaume et la marche à suivre pour postuler."

"Mgr Fonlupt, archevêque d'Avignon, recrute son économe diocésain. Ce poste basé à Avignon est à temps plein et en CDI (mission de 5 ans renouvelable) est à pourvoir très prochainement. CV et LM sont à adresser par mail au plus tard le 17 septembre à la Cellule Conseil en recrutement de la Conférence des évêques de France (herve.giaume@cef.fr). Nous relayons ci-après l'offre d'emploi."

"Le diocèse de Créteil recherche un(e) comptable en CDI temps plein - salaire à définir selon expérience"

"Les évêques réunis à Lourdes abordent trois domaines en priorité"

"Notre patrimoine immobilier aujourd'hui est de 42.000 M2 bâti, l'entretien annuel 150.000 E et le coût de l'énergie 300.000 E soit 450.000 annuel. Il n'est pas possible de durer avec un tel coût. Il nous faut donc réduire ce coût d'un entretien limité et d'un coût énergivore qui ne fera qu'augmenter. Penser à des lieux de vie paroissiaux plus adaptés, plus visibles, plus économiques et plus fonctionnels est notre objectif. La conséquence est ainsi de nous séparer de bâtiments, vendre et acheter comme à Bar le Duc ; rénover et embellir comme à Dieue ; construire comme à Spincourt. Le coût est de 4, 5 millions sur 10 ans - en sachant que nous atteignons un équilibre, tenant compte des ventes de bâtiments. Il nous faut aussi agir en ne sous-estimant pas la vie économique actuelle qui a vu des devis en quelques mois augmenter de 30 % au moins."

"Description du poste : L'économe diocésain administre les biens et les ressources de l'Église diocésaine et veille à la cohérence entre choix pastoraux et moyens économiques. Il reçoit une lettre de mission de son évêque. En collaboration avec son équipe de 4 personnes, mais aussi du Conseil d'Administration de l'Association Diocésaine et du Conseil pour les Affaires Economiques (CDAE) et sous la responsabilité hiérarchique directe de l'Évêque, il garantit la bonne gestion "

"Le 15 août 2024, Ambroise Laurent, chargé des questions économiques à la Conférence des évêques de France, est interviewé sur RTL 1. Il proclame : « On prie pour la France le 15 août. Donc, il y a plein de fêtes partout. Les églises sont ouvertes et accueillent beaucoup de monde. Et c'est vrai que les gens sont prêts à donner et à prier ensemble. Les deux vont de pair. » La journaliste fait, avec lui, l'inventaire des recettes : la vente de cierges, mais surtout la quête des « paniers collectés » par lesquels l'Église observe le montant moyen d'un don par carte bancaire, supérieur à celui d'un don en espèces. En ajoutant le casuel, lorsque les catholiques donnent pour la célébration des baptêmes, mariages, funérailles, les offrandes de messe, quand un fidèle paye pour faire dire une messe à une intention particulière, et bien sûr la collecte annuelle du denier de l'Église, on atteint pour l'année 2022 591 millions. Le financier estime ce montant « en augmentation après le gros trou d'air de 2020, année covid, quand les fidèles ne pouvaient pas assister à la messe. Il y a aussi des legs, chaque année, eux, sont classés dans la case ressources exceptionnelles »"

"Les états généraux du patrimoine religieux, lancés par la Conférence des évêques de France, durent jusqu'au mois de décembre. Jean-Baptiste de Varax rappelle qu'une utilisation renouvelée des églises paroissiales est possible, afin d'éviter leur disparition du paysage."

"La proposition de Rachida Dati de taxer l'entrée des visiteurs de la cathédrale de Paris pour «sauver toutes les églises de France» est impensable pour le monde catholique."

"Le Collège des Bernardins lance lundi 27 janvier l'Institut des hautes études de finance religieuse, créé notamment pour former les responsables ecclésiaux aux investissements financiers en accord avec la doctrine sociale. Cet institut naît au moment où l'Église développe une réflexion formalisée sur la finance, à l'échelle mondiale."

"La nomination, début juin, d'un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006 comme chancelier du diocèse de Toulouse a provoqué de vives réactions dans l'Église et au-delà. Cette affaire pose la question des fonctions qu'un clerc peut occuper après avoir été condamné pour de tels faits."