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started by luxuriance1 luxuriance1 on 20 Jun 14
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    Et le respect est incompatible avec la violence. Ministre délégué à la Cohésion sociale et à la Parité. Le choix stratégique de Thales Une fois de plus, l'industrie de haute technologie française, en l'occurrence militaire, se trouve confrontée à un problème de choix stratégique majeur pour l'avenir de l'économie française et européenne.C'est un choix difficile à faire dans lequel se trouvent mêlées des considérations de réorganisation des industries de défense en Europe, de longues histoires de liens tissés depuis des décennies et, derrière tout cela, un choix délicat à effectuer. Résumons les termes du débat :Thales est un groupe franco-britannique, de premier ordre, dans le domaine de l'électronique appliqué aux secteurs de la défense. Trois entreprises peuvent raisonnablement espérer en devenir l'actionnaire de référence et transformer ainsi son actionnariat qui est aujourd'hui réparti entre l'Etat français (un peu plus de 30%), le groupe Alcatel (environ 9,5%), le groupe Serge Dassault (près de 6%) le reste étant de manière très minoritaire entre les mains des salariés et pour plus de 44,5% en bourse. Ce groupe qui a un carnet de commande bien garni, qui fait aussi bien de l'aéronautique, du naval, des systèmes aériens et des systèmes terrestres est évidemment au coeur des souhaits de réorganisation de l'industrie européenne. Survetement Gucci Femme
    On pourrait penser que tout cela est simple puisque l'Etat est très présent. Il y a quelques mois, il a incité ce groupe à récupérer 25% de la direction des constructions navales, les anciens arsenaux, et on peut imaginer qu'il devrait fixer de manière claire la stratégie à suivre pour lui conserver un rôle moteur dans nos industries de pointe. Mais, là, les choses se compliquent, car trois industriels européens, dont deux à base française forte, souhaitent en prendre partiellement, puis peut-être un jour totalement, le contrôle. Et l'épilogue de cette aventure, lancée depuis plus de deux ans, aux connotations de politique intérieure et de stratégie internationale, va intervenir dans les semaines à venir. Dans les faits, au-delà des déclarations des uns des autres, rien n'est définitivement joué.On l'a dit, il y a d'abord EADS, ce groupe franco-allemand qui porte une large part de nos fiertés européennes car c'est, sans nul doute, le numéro un européen et le numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et défense. C'est à la fois Airbus et Ariane, entre autres. Survetement Gucci Homme C'est une belle manifestation, au-delà des péripéties, du couple franco-allemand avec, notamment pour Airbus, une coopération renforcée avec les Britanniques et les Espagnols ; en un mot, c'est l'exemple même de ce qu'il faut faire en Europe. Alors se dira-t-on, pourquoi ne pas encore renforcer ce pôle ? Tout simplement, cela reviendrait à dire, par comparaison aux Etats-Unis, que Boeing devrait être présent dans toutes les activités civiles et militaires.Et puis, il y a Alcatel, qui possède, comme on l'a vu, une participation non négligeable dans Thales et qui est, sans nul doute, l'un des leaders mondiaux de la conception, de l'intégration des technologies et services de communication. Là, on tombe sur une entreprise, certes connue, mais moins que la précédente et avec un dessein européen moins lisible.Enfin, il y a un groupe italien, qui, dans l'électronique européenne, n'est pas négligeable, Finmeccanica qui ressemble à Thales, car ses activités portent sur les défenses, l'aéronautique, mais également à EADS à travers les hélicoptères et l'espace. On le voit, le choix n'est pas évident et le défi pour l'Etat souligne un véritable cas d'école de choix stratégique. Au fond, la question est celle de savoir si Thales est d'abord un groupe de l'industrie militaire qui s'appuie sur des technologies électroniques ou si c'est un électronicien qui développe son savoir-faire d'ensemblier et ses technologies «duales» (civiles et militaires). Survetement Jordan Homme
    Selon la vision que l'on a, on choisira plutôt, dans le premier cas, le groupe EADS comme partenaire privilégié et, évidemment dans le second cas, Alcatel comme actionnaire de référence. L'analyse fine du savoir-faire et du coeur de métier de Thales pousse clairement, à le considérer comme un spécialiste de l'électronique. Mais les économistes ont bien d'autres critères qui peuvent servir à la réflexion du décideur final. On peut regarder la complémentarité géographique des acteurs, celle des financements, l'articulation des cycles d'activités respectifs, les clientèles que chacun possède. Enfin, et cela est loin d'être de second ordre, les compétences technologiques qui permettent d'envisager des synergies entre groupes.Sur chacun de ces points, une analyse fouillée permettrait d'évaluer des axes positifs, des solutions de rapprochement envisagées en considérant d'ailleurs toujours que Finmeccanica aurait un rôle, important certes, mais de soutien plutôt que central. Dans cette comparaison des intérêts respectifs de EADS et de Thales, il nous semble qu'un thème doit être pris en compte, venant renforcer la description d'un Thales étant d'abord et avant tout spécialiste de l'électronique.

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