"Les campagnes générales de vaccination ont permis d'interrompre la circulation de pathogènes grâce au phénomène de l''immunité de groupe, qui pourrait dès lors être considérée comme un objectif des plans de vaccination nationaux", relèvent-ils.Urgences: Près de la moitié des Français n'ont pas le réflexe d'appeler le Samu SANTE - Seuls 56% d'entre eux composent le 15 en cas d'urgence médicale, n'empruntant pas forcément le parcours de soins idéal… Une douleur vive dans la poitrine et c'est la panique. Qui appeler? Les noms défilent: celui du généraliste, SOS Médecin, les pompiers, voire les voisins. En situation d'urgence, le réflexe de composer le 15, le numéro du Samu, n'est pas encore bien ancré chez un peu moins d'une personne sur deux. Selon une étude Ifop*, commandée par la Maaf, seuls 56% des Français appellent le Samu en cas d'urgence médicale. Les autres solutions privilégiées sont, dans l'ordre, le médecin traitant (19%), le taxi pour aller à l'hôpital le plus proche (13%), une association de permanence de soins (7%) ou un autre numéro d'urgence (4%). Cette étude révèle également que l'urgence médicale reste une notion inégalement comprise par les Français. Sac a Dos Longchamp Pliage Pas Cher Leur capacité à évaluer le degré de gravité peut varier considérablement en fonction des situations. «Savoir ce qui est grave, pas grave, ce n'est pas simple pour quelqu'un qui n'a pas cette culture, relève le professeur Pierre Carli, le directeur général du Samu. Quand l'appel nous arrive, on sait faire, c'est notre métier. On va trier, orienter. Il faut éviter qu'on perde nos moyens en les diluant dans des prises en charge qui ne sont pas adaptées.» Limiter le surcoût lié aux erreurs de parcours de soins Pour lui, la question n'est pas de savoir si les gens appellent trop ou pas assez le Samu. Il s'agit plutôt veiller à ce que les gens qui en ont vraiment besoin composent bien le 15. Sac Longchamp Pliage Pas Cher Et à l'inverse, que ceux pour qui l'urgence n'est pas réelle évitent d'y avoir recours. «Ce que nous constatons, c'est qu'il y a des gens qui ne veulent pas déranger, nous avons des appels qui auraient dû nous parvenir plus tôt, poursuit le Pierre Carli. Quand vous appelez le 15, vous allez avoir la bonne prise en charge, la bonne (...) Ces (nombreux) pères "malgré eux" Près d'un quart des hommes se déclarant à l'origine d'une grossesse au cours des cinq dernières années affirment que l'arrivée d'un enfant n'était pas désirée. 22,5 % des hommes à l'origine d'une grossesse ne l'ont pas souhaitée ou prévue. Sac Longchamp Pas Cher C'est ce que montre une nouvelle étude réalisée par Anna Kagesten (université Johns Hopkins, Baltimore, États-Unis) et une équipe de chercheurs français de l'Inserm*. Près de 3 400 hommes âgés de 15 à 49 ans, sélectionnés totalement au hasard en composant des numéros de téléphone, ont participé à cette étude, qui a eu lieu en 2010 dans le cadre du projet de recherche FECOND. Les questions posées portaient sur les grossesses dont ils étaient à l'origine et sur leur envie d'enfant au moment où leur compagne est tombée enceinte. L'étude se concentrait ensuite sur les cinq dernières années, pour tenter d'identifier les facteurs récents à l'origine de grossesses non désirées. Parmi eux, on trouve une situation économique et financière dégradée de l'homme, son jeune âge, une relation instable avec la partenaire, le fait que la grossesse interfère avec les plans professionnels ou encore le rang de la grossesse. Une troisième ou quatrième grossesse est en effet plus souvent non souhaitée. Le niveau d'éducation n'a en revanche pas d'incidence.
Leur capacité à évaluer le degré de gravité peut varier considérablement en fonction des situations. «Savoir ce qui est grave, pas grave, ce n'est pas simple pour quelqu'un qui n'a pas cette culture, relève le professeur Pierre Carli, le directeur général du Samu. Quand l'appel nous arrive, on sait faire, c'est notre métier. On va trier, orienter. Il faut éviter qu'on perde nos moyens en les diluant dans des prises en charge qui ne sont pas adaptées.» Limiter le surcoût lié aux erreurs de parcours de soins Pour lui, la question n'est pas de savoir si les gens appellent trop ou pas assez le Samu. Il s'agit plutôt veiller à ce que les gens qui en ont vraiment besoin composent bien le 15. Sac Longchamp Pliage Pas Cher Et à l'inverse, que ceux pour qui l'urgence n'est pas réelle évitent d'y avoir recours. «Ce que nous constatons, c'est qu'il y a des gens qui ne veulent pas déranger, nous avons des appels qui auraient dû nous parvenir plus tôt, poursuit le Pierre Carli. Quand vous appelez le 15, vous allez avoir la bonne prise en charge, la bonne (...) Ces (nombreux) pères "malgré eux" Près d'un quart des hommes se déclarant à l'origine d'une grossesse au cours des cinq dernières années affirment que l'arrivée d'un enfant n'était pas désirée. 22,5 % des hommes à l'origine d'une grossesse ne l'ont pas souhaitée ou prévue. Sac Longchamp Pas Cher
C'est ce que montre une nouvelle étude réalisée par Anna Kagesten (université Johns Hopkins, Baltimore, États-Unis) et une équipe de chercheurs français de l'Inserm*. Près de 3 400 hommes âgés de 15 à 49 ans, sélectionnés totalement au hasard en composant des numéros de téléphone, ont participé à cette étude, qui a eu lieu en 2010 dans le cadre du projet de recherche FECOND. Les questions posées portaient sur les grossesses dont ils étaient à l'origine et sur leur envie d'enfant au moment où leur compagne est tombée enceinte. L'étude se concentrait ensuite sur les cinq dernières années, pour tenter d'identifier les facteurs récents à l'origine de grossesses non désirées. Parmi eux, on trouve une situation économique et financière dégradée de l'homme, son jeune âge, une relation instable avec la partenaire, le fait que la grossesse interfère avec les plans professionnels ou encore le rang de la grossesse. Une troisième ou quatrième grossesse est en effet plus souvent non souhaitée. Le niveau d'éducation n'a en revanche pas d'incidence.