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started by luxuriance1 luxuriance1 on 15 Jul 14
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#1 luxuriance1 luxuriance1 on 15 Jul 14Chacun s'est expliqué. Sobrement.En face, les députés sont accusés par certains de vouloir refaire le procès, d'instruire à charge contre les juges. Réquisitoire caricatural. Pour fermes qu'elles soient parfois, les questions des parlementaires n'ont pour but que de disséquer les raisons d'une catastrophe judiciaire. Comment faire autrement si l'on veut éviter qu'Outreau ne se répète ? Comment ignorer qu'aux yeux de beaucoup de justiciables des interrogations dérangeantes se posent désormais. Parmi lesquelles celle-ci, terrible : combien d'autres juges Burgaud sont actuellement en fonction en France ?Les magistrats ne sont pas seuls en droit d'éprouver un malaise aujourd'hui. sac longchamp hoboTous les Français le sont. Il revient donc à leurs élus de trouver les bons remèdes. L'autorité judiciaire procède de la loi. La guerre, disait Clemenceau, est une chose trop grave pour la confier à des militaires. Les magistrats doivent admettre qu'ils ne peuvent être les seuls à s'occuper de la bonne justice. La planète du CAC 40 ou des superprofits et celle des petites et moyennes entreprises Il y a bien deux France de l'entreprise. Chaque jour qui passe avec son cortège de publications de résultats provenant des emblèmes du CAC 40 en fournit une preuve supplémentaire. sac longchamp hobo pas cher Les «superprofits» de Total, les beaux comptes de Danone et de France Télécom ou les résultats avantageux des groupes bancaires font la une de l'actualité économique, voire même politique. L'unité de compte de ces bénéfices est désormais le milliard d'euros. Et les progressions d'une année sur l'autre sont telles que nos champions français donnent l'impression de grimper désormais deux par deux les marches de leur domaine d'activité. Qui s'en plaindrait ? Et quand on ne parle pas de ces comptes hors normes, les grandes entreprises se rappellent au bon souvenir de l'opinion publique soit parce qu'un groupe américain rôde autour de Danone, soit parce que le plus fameux vestige de la sidérurgie européenne est devenu la proie de son principal concurrent. Ce qui, dans un cas comme dans l'autre, suscite la mobilisation immédiate d'une bonne partie du gouvernement. Pour beaucoup, enfin, le monde de l'entreprise rime avec l'écho qui revient chaque année des publications des salaires de patrons du CAC 40. Comme si ces cachets de divas étaient devenus une sorte de baromètre que l'on surveille pour vérifier l'état des moeurs de l'ensemble des chefs d'entreprise. sac longchamp le pliage grand pas cherC'est oublier qu'à côté des 40 entreprises figurant dans l'indice de référence de la Bourse de Paris, et à côté des 600 sociétés cotées qui ont choisi de jouer le jeu de la transparence et d'encaisser les dividendes de la notoriété, la France compte 2,4 millions d'entreprises. Parmi elles, bien sûr, il y a beaucoup de ces très petites entreprises qui disposent de moins de vingt salariés, environ 2,3 millions, soit 96%. Mais il y a aussi 5 000 entreprises de plus de 250 salariés et environ 80 000 autres dont les effectifs sont compris entre 20 et 249. Pour la plupart, le quotidien, les difficultés, les contraintes n'ont rien à voir avec celles de cette aristocratie qu'est devenu le CAC 40.D'abord, elles connaissent une conjoncture beaucoup moins favorable, parce qu'elles sont naturellement plus hexagonales. A la différence des grands groupes, elles n'ont pas les moyens d'aller chercher la croissance dans le monde partout où celle-ci se déroule. Elles sont condamnées à tirer leur épingle du jeu dans une conjoncture française peu flamboyante.
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