Il n'y pas cinquante solutions. J'ai appartenu à une famille qui trimait. Je fais partie du terroir. Nous n'avions pas d'argent mais nous n'étions pas pauvres, nous mangions bien et nous avions la santé. Quand je suis arrivé, mes parents voulaient une fille. Alors, à la maison, je remplaçais la fille. Je faisais les commissions, les travaux à la ferme. Sac Versace Pour aller chercher, par exemple, le tabac pour mon père, j'empruntais le vélo de ma mère, et je faisais 7 ou 8 kilomètres à bloc. C'est là que j'ai vu que j'étais doué, surtout quand ça montait. Mais comme mes deux frères avaient fait du vélo, ma maman avait peur qu'il m'arrive quelque chose. Mais j'ai réalisé que le cyclisme était la façon de m'en sortir. Vers l'âge de 17 ou 18 ans, j'ai gagné une course dans l'après-midi qui m'a rapporté bien plus que ce que mes parents auraient pu gagner. Je suis passé pro très vite et j'ai connu une autre vie, on me massait, on s'occupait de moi, j'avais du bon matériel.Vous avez gardé ces valeurs tout au long de votre carrière ?Je savais le prix de l'argent. Sac Chanel pas cher On dit : «Poulidor est radin.» Mais moi, je ne voulais pas dépenser tout ce que je gagnais. Je désirais avoir ma propre maison, fonder une famille. Je n'ai pas oublié le temps où je n'avais pas dix balles pour aller au bal. Finalement, le monde de la compétition m'a paru facile, comparé à ce que nous vivions pendant les moissons et les fenaisons. Il fallait se lever à 4 heures et demie du matin, le terrain était vallonné, rocheux, interdisant l'usage de machines de toute façon trop onéreuses.. Sac Gucci pas cher .Mais ce sont aussi de bons souvenirs...J'ai eu la chance de ne pas connaître les problèmes liés à la guerre, on mangeait du pain blanc et de la viande tous les jours.Et vous chassiez à votre façon..
Pour aller chercher, par exemple, le tabac pour mon père, j'empruntais le vélo de ma mère, et je faisais 7 ou 8 kilomètres à bloc. C'est là que j'ai vu que j'étais doué, surtout quand ça montait. Mais comme mes deux frères avaient fait du vélo, ma maman avait peur qu'il m'arrive quelque chose. Mais j'ai réalisé que le cyclisme était la façon de m'en sortir. Vers l'âge de 17 ou 18 ans, j'ai gagné une course dans l'après-midi qui m'a rapporté bien plus que ce que mes parents auraient pu gagner. Je suis passé pro très vite et j'ai connu une autre vie, on me massait, on s'occupait de moi, j'avais du bon matériel.Vous avez gardé ces valeurs tout au long de votre carrière ?Je savais le prix de l'argent. Sac Chanel pas cher On dit : «Poulidor est radin.» Mais moi, je ne voulais pas dépenser tout ce que je gagnais. Je désirais avoir ma propre maison, fonder une famille. Je n'ai pas oublié le temps où je n'avais pas dix balles pour aller au bal. Finalement, le monde de la compétition m'a paru facile, comparé à ce que nous vivions pendant les moissons et les fenaisons. Il fallait se lever à 4 heures et demie du matin, le terrain était vallonné, rocheux, interdisant l'usage de machines de toute façon trop onéreuses.. Sac Gucci pas cher
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