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  En Irak, des hommes sont massacrés par centaines ? C'est trop loin. Je lance donc un appel tragique pour que nous ne restions pas les bras croisés. Je le fais en pensant à mon fils. Il s'appelle Baltasar, comme moi, nom difficile à porter en certaines circonstances. Il n'a jamais voulu en changer. En pensant aussi à mon père, dont je n'ai pas toujours avoué le métier lorsque j'étais étudiant. Il travaillait dans une station-service, au Cerro del Fantasma - le mont du Fantôme - en Andalousie. Sac a main Louis Vuitton moin cherIl était diabétique. Durant deux ans, alors que je poursuivais mes études, je l'ai remplacé de nuit. Je craignais qu'il n'eût un malaise. Le mont du Fantôme a une histoire : celle d'une femme infidèle, surprise par son mari, qui s'était revêtu d'un drap blanc pour apparaître soudain, tel un spectre. Cela finit par la mort des amants. Je pense aussi à ce poème de Miguel Hernández que nous récitions à voix haute à la fin du franquisme, comme pour rattraper le temps perdu :Je suis ici et c'est pour vivretant que mon âme vibrera,et je suis ici pour mourir quand mon heure viendraaux sources du peuple maintenant et depuis toujours la vie, c'est plus qu'une gorgée et la mort, une gorgée seule.Traduit de l'espagnol par Serge Mestre. Sac a main Louis Vuitton pas cher «Je rêve, je suis heureux, puis me réveille en sursaut : Eh merde ! Le tiers provisionnel...»Un Américain tremble devant le fisc des Français, non par peur de la taule, mais parce que vos fonctionnaires entretiennent un certain flou, comme vous tous, en matière d'argent. Dur, dur pour un Anglo-Saxon. Mes appréhensions ont commencé peu avant ma première déclaration. A cause de quelques anecdotes que j'avais entendues, en particulier concernant certains notables, tel Michel Polnareff qui avait préféré s'exiler à Los Angeles plutôt que de donner satisfaction à son percepteur. sac a main Michael KorsIl faut que cela soit grave pour qu'un Français élise domicile dans une ville américaine où l'on sirote un languedoc de table avec le même plaisir qu'un Château Pétrus. La fin du mois de mars approchant, je commençai donc à chercher un moyen pour réduire ma facture fiscale, en toute légalité bien entendu. J'avais croisé un jour, lors d'un cocktail, un ami, Laurent, qui, entre autres activités, écrivait des livres. Un Français plutôt exceptionnel car il était le seul à cette «drinkerie» à ne pas porter de noir et à ne pas voir d'inconvénient à parler fric. C'est vachement facile si tu es auteur, me dit-il. Tu te déclares en BNC.BNC ? Bénéfices non commerciaux.

   

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