Il a exprimé l'espoir que le Hezbollah « sortira victorieux et fier de ce conflit » interne au pays du Cèdre.Soutenu par Téhéran et Damas, le mouvement chiite libanais, que l'Iran a créé à la fin des années 1970, dirige depuis le 1er décembre un mouvement d'opposition qui observe un sit-in illimité à Beyrouth, devant le siège d'un gouvernement, soutenu par les Occidentaux.Israël et les pays occidentaux accusent l'Iran et la Syrie de financer et d'armer le Hezbollah, qui a résisté pendant 34 jours cet été à l'armée israélienne. Une accusation toujours rejetée par Téhéran, qui affirme que son soutien est purement « moral ». Mi-novembre, le guide de la Révolution islamique, Ali Khamenei, a déclaré que le Liban serait « le lieu de la défaite » des États-Unis et d'Israël. « Aujourd'hui, c'est la politique (américaine) qui est condamnée à l'échec dans le monde et la région. C'est une opportunité dont il faut profiter », selon M. chaussure lacoste blanc pas cher Khamenei, qui est responsable de tous les dossiers stratégiques en Iran, dont l'appui au Hezbollah. À FORCE de gaffes et d'inaction, les putschistes thaïlandais sont au plus mal dans l'opinion. Après avoir été accueillis avec des guirlandes de jasmin, les généraux sont déjà confrontés à l'usure. « Sommes-nous gouvernés ? », s'interroge Don Pathan, éditorialiste pour The Nation.Les militaires s'enferrent dans leurs justifications du coup d'État du 19 septembre : ils répètent en boucle que l'homme qu'ils ont renversé, Thaksin Shinawatra, a dévoyé la démocratie, qu'il était corrompu et représentait une menace pour la monarchie. « Faute de pouvoir étayer leurs accusations, les militaires se gargarisent avec ces formules conjuratoires », estime Ji Ungpakorn, professeur de sciences politiques à l'université de Chulalongkorn.Les enquêtes lancées au lendemain du putsch n'ont pas permis d'établir des faits de corruption contre le premier ministre déchu. grossiste lacoste pas cher « Il sera très difficile de l'impliquer dans de vastes affaires de corruption », a déclaré récemment le général Sonthi Boonyaratglin, auteur du coup d'État.La commission anticorruption n'arrive pas à coincer Thaksin sur le scandale qui l'a fait tomber : la vente de son empire Shin Corp à une holding singapourienne sans avoir payé le moindre impôt sur les plus-values. Et l'opération foncière fumeuse dans laquelle a trempé son épouse n'aboutira pas plus, car elle risquerait d'éclabousser l'ancien chef de la banque centrale qui n'est autre aujourd'hui que le ministre des Finances.Quant aux accusations d'abus de pouvoir contre Thaksin, l'actuel premier ministre, Surayud Chulanont, n'est plus si sûr de vouloir les porter devant un tribunal.Il y aurait pourtant matière : 2 500 personnes éliminées dans des circonstances obscures au cours de la guerre contre la drogue en 2003, 85 manifestants musulmans entassés dans des camions de la police et morts de suffocation ou la nuque brisée en octobre 2004, la disparition de l'avocat des droits de l'homme Somchai Neelaphaijit, enlevé par des agents de renseignements. Mais « dans tous les dérapages du gouvernement Thaksin, les forces de l'ordre sont mouillées jusqu'au cou », explique l'analyste politique Thitinan Pongsudhirak.Le spectre du retour de ThaksinObnubilés par le retour de Thaksin, les généraux sont à cran. lacoste pas cher Ils épient les faits et gestes de l'ancien magnat des télécommunications qui se fait un malin plaisir de tourner autour de la Thaïlande. Ces dernières semaines, il a fait de l'équitation en Chine, des emplettes à Hongkong, du golf à Bali. Et multiplie les déclarations contradictoires sur son avenir politique. « J'ai besoin d'un boulot, maintenant que je suis au chômage. » La junte ne rit pas à la boutade. Chaque semaine, les rumeurs les plus folles annoncent que Thaksin s'est introduit par une frontière terrestre, aurait installé son QG dans un casino du Triangle d'or, rumeurs qui entraînent à chaque fois des mouvements de troupes. La loi martiale levée partiellement fin novembre a d'ailleurs été maintenue dans les provinces frontalières.
Khamenei, qui est responsable de tous les dossiers stratégiques en Iran, dont l'appui au Hezbollah. À FORCE de gaffes et d'inaction, les putschistes thaïlandais sont au plus mal dans l'opinion. Après avoir été accueillis avec des guirlandes de jasmin, les généraux sont déjà confrontés à l'usure. « Sommes-nous gouvernés ? », s'interroge Don Pathan, éditorialiste pour The Nation.Les militaires s'enferrent dans leurs justifications du coup d'État du 19 septembre : ils répètent en boucle que l'homme qu'ils ont renversé, Thaksin Shinawatra, a dévoyé la démocratie, qu'il était corrompu et représentait une menace pour la monarchie. « Faute de pouvoir étayer leurs accusations, les militaires se gargarisent avec ces formules conjuratoires », estime Ji Ungpakorn, professeur de sciences politiques à l'université de Chulalongkorn.Les enquêtes lancées au lendemain du putsch n'ont pas permis d'établir des faits de corruption contre le premier ministre déchu. grossiste lacoste pas cher « Il sera très difficile de l'impliquer dans de vastes affaires de corruption », a déclaré récemment le général Sonthi Boonyaratglin, auteur du coup d'État.La commission anticorruption n'arrive pas à coincer Thaksin sur le scandale qui l'a fait tomber : la vente de son empire Shin Corp à une holding singapourienne sans avoir payé le moindre impôt sur les plus-values. Et l'opération foncière fumeuse dans laquelle a trempé son épouse n'aboutira pas plus, car elle risquerait d'éclabousser l'ancien chef de la banque centrale qui n'est autre aujourd'hui que le ministre des Finances.Quant aux accusations d'abus de pouvoir contre Thaksin, l'actuel premier ministre, Surayud Chulanont, n'est plus si sûr de vouloir les porter devant un tribunal.Il y aurait pourtant matière : 2 500 personnes éliminées dans des circonstances obscures au cours de la guerre contre la drogue en 2003, 85 manifestants musulmans entassés dans des camions de la police et morts de suffocation ou la nuque brisée en octobre 2004, la disparition de l'avocat des droits de l'homme Somchai Neelaphaijit, enlevé par des agents de renseignements. Mais « dans tous les dérapages du gouvernement Thaksin, les forces de l'ordre sont mouillées jusqu'au cou », explique l'analyste politique Thitinan Pongsudhirak.Le spectre du retour de ThaksinObnubilés par le retour de Thaksin, les généraux sont à cran. lacoste pas cher
Ils épient les faits et gestes de l'ancien magnat des télécommunications qui se fait un malin plaisir de tourner autour de la Thaïlande. Ces dernières semaines, il a fait de l'équitation en Chine, des emplettes à Hongkong, du golf à Bali. Et multiplie les déclarations contradictoires sur son avenir politique. « J'ai besoin d'un boulot, maintenant que je suis au chômage. » La junte ne rit pas à la boutade. Chaque semaine, les rumeurs les plus folles annoncent que Thaksin s'est introduit par une frontière terrestre, aurait installé son QG dans un casino du Triangle d'or, rumeurs qui entraînent à chaque fois des mouvements de troupes. La loi martiale levée partiellement fin novembre a d'ailleurs été maintenue dans les provinces frontalières.
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